Les règles peuvent déclencher des symptômes et des désagréments qui varient d’une femme à l’autre. Les saignements plus ou moins abondants peuvent être accompagnés de crampes utérines, de douleurs aux seins, de maux de tête, et créer une véritable sensation de fatigue.
Tous ces changements sont liés aux variations hormonales. Ils sont généralement ressentis les premiers jours des règles, ou 5 à 10 jours avant que celles-ci ne débutent. Dans ce cas, on parle alors de SPM (syndrôme prémenstruel), pendant lequel certaines femmes ressentent des symptômes physiques, mais aussi émotionnels : angoisses, mauvaise humeur, déprime…
Étant donné que les règles reviennent chaque mois, il est primordial de savoir reconnaître les signes pour mieux gérer l’éventuel manque d’énergie et les baisses de moral qu’elles provoquent.
Si vous êtes concernée, n’hésitez pas à en parler à votre gynécologue ou médecin traitant, pour trouver des solutions adaptées à votre cas : changement de méthode de contraception, traitement, cure…
D’où vient la fatigue menstruelle, et quelles en sont les causes ?
Les cycles menstruels sont dictés par les fluctuations d’hormones. Ce phénomène a plusieurs conséquences sur le corps, notamment des variations de l’énergie et de l’humeur.
C’est pendant la phase lutéale que les ressentis sont les plus importants. Juste après l’ovulation, le taux d’œstrogènes baisse naturellement et de plus en plus jusqu’au premier jour des règles. Cette diminution provoque une période de fatigue, voire de déprime. En clair, si vous avez le moral dans les chaussettes avant et/ou pendant vos règles, c’est normal ! L’explication est purement scientifique.
Une autre hormone joue un rôle majeur dans le cycle menstruel : la progestérone. Comme les œstrogènes, elle est en chute libre à la fin de la phase lutéale, ce qui perturbe l’équilibre hormonal et engendre une sensation de fatigue.
Pour rappel, les œstrogènes et la progestérone sont des hormones qui participent au maintien d’un système nerveux normal, à la régulation de l’horloge biologique et elles ont un impact sur la qualité du sommeil. Il est donc logique que tout cela soit bousculé et perturbé lorsque leur taux diminue, en créant un déséquilibre hormonal.
La fatigue avant et pendant les règles peut être causée par d’autres facteurs.
Cette période du cycle menstruel peut être à l’origine d’insomnies et de troubles du sommeil. C’est la chute des hormones (œstrogènes et progestérones, toujours !) qui a un impact sur la qualité du sommeil, en déréglant le mécanisme éveil/sommeil du corps. Ajoutez à cela les éventuels symptômes comme les crampes utérines, la sensation de chaleur ou encore les maux de têtes, et les difficultés à dormir seront d'autant plus importantes.
D’éventuelles carences peuvent également provoquer un état de fatigue pendant les règles. Beaucoup de femmes sont touchées par le manque de fer (anémie), en raison des pertes de sang régulières que subit leur corps. Les carences en fer provoquent une baisse du taux de globules rouges, et un manque d’oxygène dans le sang, ce qui engendre une baisse d’énergie. Des signes visibles comme une pâleur inhabituelle au niveau du visage, des vertiges, des cheveux secs, des ongles cassants, des essoufflements à l’effort, ou encore des maux de tête, en plus de la fatigue, peuvent venir d’un taux de fer insuffisant dans le sang.
D’autres carences peuvent accentuer la fatigue, l’irritabilité et les difficultés à dormir avant et pendant les règles. Par exemple, le manque de magnésium, élément qui contribue aux échanges musculaires et qui favorise la détente et le sommeil.
Enfin, la sensation de faim est fréquente pendant les règles. Ces “fringales” poussent à grignoter des aliments sucrés, comme des gâteaux, ou du chocolat, qui augmentent le pic glycémique considérablement. L’inconvénient, c’est que ce sont des sucres rapides, qui ne restent pas longtemps dans le sang. Par conséquent, une sensation de fatigue peut être ressentie lorsque le taux redescend.
Si vous êtes fatiguées avant et pendant vos règles, adoptez un mode de vie sain et mettez en place ces quelques astuces dans votre quotidien (alimentation, activité physique, sommeil…). Elles vous aideront à mieux vivre cette période et à améliorer votre bien-être.
Pendant vos règles, privilégiez les aliments riches en fer et en nutriments essentiels (fibres, vitamines, oméga 3 et 6…) pour réduire la fatigue et atténuer les symptômes :
Avec ces principaux aliments, vous ferez le plein de vitalité et de nutriments essentiels pour diminuer la fatigue pendant le SPM et les règles.
À l’inverse, la nourriture trop grasse et trop sucrée est à éviter. Elle augmente les crampes, la rétention d’eau et les ballonnements. De même pour l’alcool, le café et le thé. Enfin, attention au lait de vache. Sa consommation doit être modérée, car il peut avoir un effet pro-inflammatoire et accentuer les douleurs.
Par “activité physique”, on ne vous demande pas de réaliser des prouesses et des performances exceptionnelles, mais de maintenir une activité pour votre bien-être physique et émotionnel pendant vos règles.
Privilégiez les activités douces et adaptées (étirements, yoga, pilates…) qui favorisent la détente, et qui équilibrent le corps et calment les douleurs. Ce type de sport est efficace pour favoriser la détente, mieux dormir et avoir un sommeil réparateur.
Un esprit sain dans un corps sain, c’est la clé pour se sentir bien !
Bien dormir et avoir un sommeil réparateur est primordial pour gérer la fatigue pendant les règles. Les troubles du sommeil sont causés par la baisse du taux d’œstrogènes et de progestérone, qui engendrent une diminution de la sécrétion de mélatonine (hormone du sommeil).
Nos conseils pour un sommeil réparateur :
Aidez-vous du spray DREAM de Circles, pour vous aider à mieux dormir et à éloigner le stress accumulé pendant la journée, grâce à sa teneur en mélatonine et en plantes médicinales relaxantes et apaisantes.
Le sommeil pendant les règles peut également être perturbé par les saignements abondants. Pour éviter d'interrompre vos nuits, utilisez des protections hygiéniques adaptées et sûres, comme les culottes menstruelles. Elles ont une meilleure capacité d'absorption, elles améliorent le confort et diminuent le risque de fuites. Confort = meilleure nuit !
Le bien-être émotionnel est un élément crucial pour bien dormir. Essayez de vous détendre avec des techniques de méditation ou de respiration profonde. Prenez du temps pour vous, et privilégiez la lecture, les musiques douces, les lumières tamisées pour mieux dormir.
Pendant vos règles, évitez de dormir sur le ventre pour ne pas accentuer les crampes en écrasant l'utérus. La meilleure façon de dormir est la position fœtale : allongée sur le côté, genoux relevés vers la poitrine.
Enfin, pensez aux remèdes de grand-mère, très efficaces pour soulager les douleurs et favoriser la détente et le sommeil. Par exemple, placez une bouillotte sur votre bas-ventre, ou buvez une infusion avant d’aller dormir.
Si les signes de fatigue sont trop développés, et si les douleurs menstruelles sont trop importantes, nous vous conseillons de consulter un professionnel de santé.
Il faut bien différencier la fatigue de l’épuisement.
La sensation d’épuisement est une fatigue anormale, aussi appelée “asthénie”. Elle est reconnaissable, car elle est très développée, et qu’elle persiste même après le repos. Elle donne l’impression d’être toujours fatigué, avec une perte d’énergie et de motivation extrême, voire des troubles de la mémoire et des douleurs musculaires.
La fatigue anormale possède des conséquences néfastes sur le bien-être psychique : irritabilité, renfermement sur soi, perte d’envie, diminution de la sociabilité… Elle peut être liée à une carence en fer, ou à d’autres problèmes de santé comme une maladie, un trouble du sommeil, une dépression, un burnout…
Un bilan sanguin peut alors être prescrit pour détecter les éventuelles carences et prescrire un traitement adapté en cas de besoin.
Afin de mieux vivre les périodes de SPM et de règles, des traitements existent. Pour les carences, les médecins peuvent prescrire des cures de fer, à prendre sur quelques mois. Les comprimés permettent de faire monter le taux de ferritine dans le sang, ainsi que la teneur en globules rouges, pour réduire la fatigue. En cas de douleurs trop importantes, il existe des traitements anti-inflammatoires. Des cures de compléments alimentaires peuvent également être efficaces pour rééquilibrer les hormones et mieux vivre ces périodes, aussi bien physiquement qu’émotionnellement.
Enfin, faites-vous du bien, écoutez-vous et privilégiez les activités feel good pour vous relaxer et diminuer vos symptômes.
Résumé des points clés pour gérer les règles et le SPM :
Pour terminer, voici quelques conseils et astuces à mettre en place pendant vos règles :
Tout au long de leur vie, les femmes sont impactées par des variations hormonales : la puberté, les menstruations, les éventuelles grossesses, la ménopause… Ce sont des périodes pendant lesquelles il est fréquent de remarquer des problèmes de sommeil.
Le cycle veille/sommeil du corps peut être perturbé par les dérèglements hormonaux, et par différents symptômes ressentis pendant les règles (maux de têtes, douleurs, sensation de chaleur…), la grossesse (crampes, difficultés à respirer, mauvaises positions…) ou la ménopause (stress, sueurs nocturnes, bouffées de chaleur…).
Le sommeil est en lien direct avec les hormones, notamment en raison des taux de progestérone et d’œstrogènes qui fluctuent pendant le cycle.
Chez la femme, le cycle hormonal dure environ 1 mois. Il est composé de trois phases :
Toutes ces phases se suivent et recommencent de la puberté jusqu’à la ménopause. Elles sont influencées par les hormones, qui jouent un rôle sur la qualité du sommeil.
La mélatonine est l’hormone du sommeil. Elle est sécrétée par le cerveau en fin de journée pour signaler au corps qu’il est l’heure d’aller dormir. Elle participe également à la régulation du rythme circadien (l’horloge interne du corps humain).
Le sommeil est impacté par les différentes hormones sécrétées pendant le cycle menstruel : les œstrogènes et la progestérone.
Pendant la première étape du cycle menstruel, la phase folliculaire (de la fin des règles jusqu’à l’ovulation), un pic d’œstrogènes est libéré. Les œstrogènes sont les hormones qui participent à la fertilité, en favorisant l’implantation de l’embryon dans l’utérus. Plus leur taux est élevé, plus la mélatonine est sécrétée par le cerveau. C’est donc la période pendant laquelle le sommeil est de bonne qualité.
Lors de la phase lutéale (après l’ovulation et jusqu'aux prochaines règles), c'est le contraire. Les œstrogènes sont moins présents, ce qui diminue le taux de sérotonine, “l'hormone du bonheur”, qui participe à l’endormissement grâce à un effet relaxant. La température du corps augmente, et tous ces facteurs peuvent engendrer des difficultés à s’endormir, et des problèmes de sommeil tels que des réveils nocturnes ou encore une fatigue accrue.
Pour un sommeil de qualité, les hormones doivent être équilibrées les unes par rapport aux autres. Il est donc naturel de ressentir des difficultés à dormir pendant certaines périodes du cycle. C’est généralement pendant la deuxième partie du cycle que le sommeil est le plus perturbé, notamment pendant les menstruations.
Le sommeil est perturbé pendant deux phases du cycle principalement :
En plus des phases du cycle menstruel, les femmes sont aussi impactées par d’importants changements hormonaux qui peuvent provoquer des insomnies et des difficultés à trouver le sommeil (grossesse, ménopause…).
L'insomnie pendant la grossesse est un trouble fréquent, surtout durant le premier trimestre et le dernier trimestre :
Conseils pour favoriser le sommeil pendant la grossesse :
Attention, en cas de grossesse, les médicaments contre l’insomnie sont déconseillés. Si le problème persiste, il est préférable de consulter un médecin pour trouver une solution adaptée.
La ménopause est une évolution majeure pour la femme. Elle manifeste la fin des règles et l’arrêt du fonctionnement des ovaires. Ce bouleversement hormonal est marqué par la chute considérable du taux d’œstrogènes et l’arrêt total de la fabrication de progestérone, ce qui diminue la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil.
D’autres symptômes associés à la ménopause tels que les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes, l’anxiété, ou encore les douleurs articulaires peuvent dégrader le sommeil. Les femmes peuvent alors remarquer des réveils nocturnes, des difficultés d’endormissement, un sommeil léger et moins réparateur.
Ce manque de sommeil peut avoir des conséquences physiques (fatigue, douleurs…) et psychologiques (irritabilité, manque de motivation, sautes d’humeur…).
Conseils pour améliorer le sommeil pendant la ménopause :
Si les symptômes sont trop développés et difficiles à vivre, il est préférable de consulter un médecin. Des traitements existent pour atténuer les symptômes de la ménopause et améliorer le sommeil.
Astuces générales pour favoriser l’endormissement et la qualité du sommeil.
Pour une bonne hygiène de sommeil, il faut respecter son rythme. Il est propre à chacun, et peut varier d’un individu à un autre en fonction de ses habitudes et de son mode de vie. Il est également conseillé de se coucher et de se lever à des heures régulières, même le week-end, pour ne pas perturber ce rythme et l’horloge biologique du corps.
L’environnement doit être propice pour passer une bonne nuit. Le sommeil peut être perturbé par les influences extérieures : la température, la luminosité, les nuisances sonores… Pour un environnement optimal, il faut privilégier l’obscurité, gérer la température ambiante de la chambre (ni trop chaud, ni trop froid, idéalement entre 15°C et 18°C), et aérer souvent en ouvrant les fenêtres.
Le dîner doit être pris au moins 2h avant le coucher, et il est conseillé d’éviter la caféine et les boissons énergétiques.
Les rituels du soir calmes comme la lecture, les sons et musiques relaxantes, ou encore la méditation sont également efficaces pour favoriser la détente du corps.
Enfin, il est recommandé d’éviter les écrans le soir, car ils génèrent une lumière bleue, signal de réveil qui intègre la rétine et qui affecte la fabrication de mélatonine. Il faut donc éviter les appareils électroniques dans la chambre (télévision, ordinateur, smartphone…) pour favoriser l’endormissement et retrouver un sommeil paisible.
Nos conseils pour un meilleur sommeil :
Certains signes révèlent des problèmes d’insomnie sévère. Il est essentiel de savoir les reconnaître et de consulter en cas de doutes ou de questionnements.
Une insomnie sévère peut être détectée si toutes les conditions pour bien dormir sont réunies mais que le problème persiste. On parle d’insomnie chronique si elle intervient au moins 3 fois par semaine et depuis plus de 3 mois. Lorsque le manque de sommeil se fait ressentir, cela engendre une baisse de vigilance, des risques d’accidents accrus, un manque de concentration, une baisse d’énergie, des somnolences, voire des sautes d’humeur.
Une consultation est recommandée pour définir la cause de l’insomnie, qui peut avoir plusieurs origines : stress, manque d’activité, maladie, facteurs génétiques, bouleversements hormonaux (notamment pendant la ménopause). Dans ce cas précis, des traitements sont disponibles :
Résumé des points clés :
Quoi qu’il en soit, si vous souffrez d’insomnies liées à votre cycle menstruel, ou à une étape cruciale de votre vie, relativisez et prenez soin de vous. Le stress et l’anxiété sont les pires ennemies d'un sommeil de qualité. N’hésitez pas à en parler autour de vous, à partager vos expériences, et si besoin, à essayer des traitements alternatifs naturels (comme la sophrologie ou l’hypnose par exemple).
Les insomnies durant les règles, aussi appelées “insomnies menstruelles”, sont des troubles du sommeil qui surviennent pendant les règles, ou juste avant, lors de la phase lutéale.
Ce phénomène est assez courant. D’après une étude de la National Sleep Fondation effectuée en 2020, près de 30% des femmes seraient touchées. L’explication de ces difficultés à s’endormir est hormonale : durant le cycle menstruel, les taux d’hormones fluctuent et varient, ce qui peut causer certains changements au niveau du corps (augmentation de la température, niveau de stress plus élevé, anxiété…).
Le manque de sommeil a de réelles conséquences sur la qualité de vie : forme, bien-être physique et émotionnel sont impactés.
Afin de mieux gérer les insomnies pendant les règles, des astuces peuvent être mises en place au quotidien : routine du soir, alimentation, gestion du stress… En cas d’insomnies sévères, il est conseillé de consulter un médecin.
Pour bien comprendre le phénomène d’insomnie menstruelle, il est important de savoir reconnaître ses symptômes et ses causes principales.
De la puberté jusqu’à la ménopause, la vie des femmes est dictée par les hormones.
Il existe un lien entre ces fluctuations et les insomnies pendant les règles. En effet, la majorité des troubles ressentis pendant les différentes phases du cycle menstruel proviennent d’un bouleversement de la production hormonale.
Les fluctuations de progestérone et d’œstrogènes impactent le sommeil et empêchent de bien dormir.
Les difficultés à dormir peuvent principalement apparaître pendant deux phases du cycle menstruel : le syndrome prémenstruel et les règles.
Le symptôme prémenstruel (SPM) apparaît lors de la deuxième phase du cycle, la phase lutéale (juste après l’ovulation, et avant les règles). Il peut être plus ou moins développé selon les femmes, et il est parfois accompagné de symptômes comme des maux de ventre, une sensation de mal-être, des nerfs à fleur de peau… C’est une période difficile qui peut durer jusqu’à 2 semaines, et durant laquelle il est possible de constater des difficultés à s’endormir.
Les règles : pendant les règles, le taux de progestérone augmente dans le corps, ce qui a pour conséquence d’élever la température corporelle. De ce fait, la fabrication de mélatonine est réduite. Le problème ? La mélatonine est la molécule du cerveau qui favorise l’endormissement, elle se déclenche lorsqu’il fait nuit. Vous l’aurez compris, la diminution de cette molécule dans votre corps vous empêche de dormir et d’avoir un sommeil de qualité.
Certaines femmes touchées par les insomnies pendant les règles décrivent des symptômes associés, qui accentuent les troubles du sommeil et les difficultés d’endormissement.
Des symptômes psychiques peuvent accompagner les insomnies : réveils nocturnes, fatigue émotionnelle, augmentation du stress, anxiété, irritabilité ou encore sautes d’humeur. Tous ces facteurs peuvent engendrer des difficultés de concentration, et parfois des sensations de faim pendant la journée.
Le manque de sommeil crée une sensibilité accrue à la douleur, surtout pendant les menstruations. Les douleurs de règles se caractérisent par des maux de ventre et à l'abdomen liés aux saignements abondants, des sensations de chaleur intense qui peuvent provoquer des vertiges, ou encore des migraines.
Les douleurs aux seins et les gonflements : ils sont liés aux variations des taux d’hormones. Pendant les règles, les seins peuvent devenir plus sensibles, tendus, et prendre en volume. Parfois, il est donc préférable de changer de position pour pouvoir s’endormir paisiblement et éviter d’accentuer ces douleurs. Pour cela, évitez de dormir sur le ventre, et préférez une position sur le côté ou sur le dos.
Les troubles digestifs, les diarrhées ou les nausées : ballonnements, vomissements, maux de ventre… Ces symptômes désagréables peuvent apparaître chez les femmes pendant les périodes de menstruations. Lorsqu’ils interviennent le soir où la nuit, ils sont susceptibles de compliquer l’endormissement.
L’agitation : enfin, dans certains cas, les règles sont accompagnées d’une sensation psychique particulière, le corps est agité, et les femmes peuvent ressentir un sentiment de colère inexpliqué. Pas top pour une nuit paisible n’est-ce pas ?
Certains facteurs internes et externes peuvent accentuer les difficultés à s’endormir pendant les règles.
Surmenage, stress, anxiété… Les tracas du quotidien tournent en rond dans la tête pendant la nuit, lorsque le corps se relâche, et peuvent vous empêcher de dormir.
Certaines situations de vie particulières (burn out, maladie, perte d’un proche, retard de règles…) ou petites préoccupations du quotidien (travail, famille…) augmentent les possibilités d’insomnies en élevant le niveau de stress.
De mauvaises habitudes de vie impactent de façon négative le sommeil. Par exemple, la consommation d’alcool, de tabac, ou d’aliments trop gras accentue le risque d’insomnie. De même pour le manque d’activité physique, ou encore une température trop élevée dans la chambre.
Si vous souffrez d’insomnies pendant vos règles, notez nos quelques astuces qui vous permettront de retrouver des nuits calmes et paisibles.
Tout d’abord, vous pouvez adopter une routine simple qui est efficace pour favoriser l’endormissement :
Les aliments qui permettent de mieux dormir doivent être riches en tryptophane : un acide aminé qui permet de lutter de façon naturelle contre les symptômes dépressifs, tout en améliorant la qualité du sommeil.
On en retrouve principalement dans les légumineuses (lentilles, pois chiches), les œufs, le riz complet, les poissons gras (sardines, saumon), la banane ou encore les fruits secs (noix de cajou, amandes…).
Si vous avez des difficultés à vous endormir, terminez vos repas du soir en mangeant une banane. En plus d’être très riche en tryptophane, elle contient du magnésium, des minéraux et du potassium, substances essentielles pour bien dormir.
A contrario, certains aliments sont à éviter le soir. Les repas riches en épices, trop gras, ou qui contiennent de la caféine peuvent causer des brûlures d’estomac, et stimulent votre corps. Évitez-les au maximum si vous souhaitez profiter de nuits réparatrices.
Ensuite, pour pouvoir vous endormir paisiblement, nous vous conseillons de préparer au mieux votre corps grâce à des méthodes de relaxation :
Pratiquer la méditation et les techniques de relaxation profonde : prenez conscience de votre corps, de votre respiration. Effectuez de longues inspirations et expirations. Vous pouvez également écouter des musiques ou des sons doux, voire des séances de méditation guidée pour vous détendre.
Mettre en place une activité physique propice à la détente : yoga, étirements, pilates… avant d’aller vous coucher.
Il existe des positions de yoga qui soulagent les douleurs liées aux menstruations, et qui par conséquent aident à l’endormissement. La posture de l’enfant est la plus recommandée : assise sur les talons, genoux collés, les mains placées devant. Descendez petit à petit vers l’avant en suivant votre respiration. Cet exercice exerce un étirement profond du dos, du ventre et des cuisses. Les tensions accumulées tout au long de la journée sont soulagées, le système nerveux se calme naturellement.
Utiliser le spray à la mélatonine DREAM de Circles : ses actifs naturels (tilleul, mélisse, eschscholtzia) favorisent la relaxation et l'endormissement pour des nuits sereines.
Si nos astuces ne suffisent pas pour vous calmer et passer des nuits paisibles, vous souffrez peut-être d’insomnie sévère. Dans ce cas, il faut savoir en reconnaître les symptômes afin de consulter un médecin.
Un problème d’insomnie peut être considéré comme sévère à partir du moment où il est régulier et fréquent. En général, on parle d’insomnie sévère si les difficultés à dormir surviennent plus de 3 fois par semaine, et depuis plus de 3 mois.
Les signes d’insomnie sévère à reconnaître :
Afin d’identifier la nature de votre trouble du sommeil, retenez ces quelques questions que le médecin pourra vous poser lors de votre consultation :
Une consultation médicale est conseillée pour constater une insomnie sévère.
Si l’insomnie est aggravée ou ne s’améliore pas après une première prise en charge, ou encore si le médecin suspecte un syndrome d’apnées du sommeil, ou de jambes sans repos, il peut alors vous diriger vers un neurologue.
Pour effectuer un diagnostic, le neurologue peut faire un enregistrement du sommeil afin d’étudier les activités cérébrales, musculaires ainsi que les mouvements oculaires pendant la nuit. Ces évaluations permettent de dépister une éventuelle maladie nocturne, en prenant en compte les symptômes associés comme des micro réveils, des pauses respiratoires ou encore des mouvements de membres inférieurs.
Si un réel trouble du sommeil est révélé, le professionnel de santé peut alors prescrire un traitement. Des thérapies comportementales comme l’hypnose ou encore la sophrologie peuvent également être efficaces pour régler un problème de sommeil léger à modéré.
Les troubles du sommeil doivent être pris en charge rapidement. À long terme, ils peuvent avoir de lourdes conséquences sur la santé :
Rappel des points essentiels :
Si vous souffrez de troubles du sommeil pendant vos règles, sachez que c’est un phénomène courant qui est causé par les variations des hormones dans votre corps.
La période des menstruations est parfois accompagnée de douleurs, de fatigue physique et émotionnelle. C’est pourquoi le manque de sommeil ajouté à tout cela peut être très dérangeant. Pensez à vous relaxer un maximum, prenez soin de vous, et vos nuits seront plus paisibles !
Nos astuces pour éviter les désagréments liés aux règles et aux troubles du sommeil :
Enfin, si les symptômes persistent, n’hésitez pas à consulter un médecin qui effectuera des examens plus approfondis.
La mélatonine, plus communément appelée “hormone du sommeil”, est sécrétée par le cerveau pour aider à l’endormissement grâce à son action soporifique. Son objectif est de préparer l’organisme au repos et au sommeil. Comme le corps humain est bien fait, elle se déclenche le soir, généralement vers 21h, avec un pic de libération maximal entre 2h et 4h du matin.
Cette hormone est indispensable pour bien dormir. Sa production est naturelle, mais elle peut être perturbée par différents facteurs comme le stress, les dérèglements hormonaux ou une lumière trop intense.
Lorsque le corps ne sécrète pas assez de mélatonine, des problèmes de sommeil peuvent survenir, comme des insomnies ou des réveils nocturnes.
Avant d’approfondir le sujet, une petite définition s’impose !
La mélatonine est une hormone produite par une partie spécifique du cerveau, la glande pinéale. Elle a pour rôle de donner des repères temporaires à l’organisme, et elle est essentielle à la régulation circadienne du sommeil.
Le processus circadien est chargé de l’équilibre du rythme veille/sommeil en l’absence de repères temporels. Il positionne les moments favorables à l’éveil et au sommeil au cours des 24h qui composent une journée. Ce rythme est propre à chacun, et s’adapte naturellement en fonction du mode de vie d’un individu : travail en journée, travail de nuit, horaires décalés… On parle alors d’horloge circadienne. C’est grâce à elle que la sécrétion de mélatonine débute en fin de journée pour préparer le corps au sommeil. En clair, ce processus indique qu’il est temps d’aller se coucher.
La tombée de la nuit est synonyme de sommeil pour le corps. C’est la raison pour laquelle la mélatonine est sécrétée par le cerveau lorsque l’obscurité arrive. De ce fait, elle est largement influencée par l’exposition à la lumière.
En cas de forte exposition à la lumière le soir (soleil, lumière artificielle…), la production de mélatonine est perturbée. C’est aussi le cas avec la lumière bleue, que l’on retrouve dans les écrans de télévision, de smartphone, de tablette ou encore d’ordinateur. Elle peut ralentir la production de mélatonine et retarder l’endormissement. Leur utilisation est donc déconseillée avant le coucher.
Il existe quelques astuces qui permettent d’aider le corps à produire de la mélatonine :
Le rôle de la mélatonine est primordial pour bien dormir et avoir un sommeil réparateur. Découvrez ce qu’il se passe dans votre corps au moment de sa libération.
Produite en fin de journée, l’hormone du sommeil se fixe sur les récepteurs du cerveau et de la rétine, et informe que la lumière baisse. Lorsque le cerveau reçoit ce signal, il comprend qu’il est l’heure d’aller dormir.
La mélatonine est la principale hormone qui permet de s’endormir, mais d’autres mécanismes entrent en jeu pour simplifier l’endormissement :
Ce “cocktail chimique” composé d’hormones et de neurotransmetteurs complète les effets de la mélatonine. Tous ces mécanismes agissent en synergie et sont indispensables pour bien dormir. Ils permettent au corps de se détendre, de se relaxer et de profiter d’une bonne nuit de sommeil réparateur.
La production naturelle de mélatonine peut être complétée par la prise de compléments alimentaires, sous forme de gélules, de boissons, ou encore de spray (aka notre spray DREAM, un mélange de tilleul, mélisse, eschscholtzia, et mélatonine pour réduire le temps d’endormissement, améliorer la qualité du sommeil et obtenir un effet relaxant immédiat).
Ces produits agissent sur la régulation du cycle circadien sans effet sédatif (ce ne sont pas des somnifères !). Ils sont conseillés pour les personnes qui ont du mal à s’endormir, ou qui ont une horloge biologique déréglée. Par exemple, en cas de prédisposition génétique ou physiologique, de travail à horaires décalés, ou encore d’exposition tardive à la lumière.
Le meilleur moment pour prendre de la mélatonine est le soir, environ 30 minutes à 1h avant le coucher. Afin de booster son efficacité, la prise doit être suivie d’un rituel qui favorise la détente et l’endormissement : endroit calme, peu éclairé, sans lumière bleue.
La mélatonine est aussi efficace pour les problèmes de sommeil liés aux dérèglements hormonaux. Il existe des cures Circles pour chaque période de la vie d’une femme :
Quelle que soit la période de votre vie, vous trouverez une cure Circles adaptée à vos besoins. N’hésitez pas à effectuer votre diagnostic hormonal pour découvrir les produits qui répondent à vos préoccupations (sommeil, cycles menstruels, SPM, chute de cheveux…).
Pour les problèmes de sommeil plus importants, tels que l’insomnie liée à un pic de stress ou d’anxiété, ou bien à une pathologie quelconque, il se peut que l’utilisation de mélatonine en compléments ne soit pas suffisante. Dans ce cas, un avis médical est conseillé pour trouver la meilleure solution.
Les compléments et substituts alimentaires à base de mélatonine ne sont pas considérés comme des somnifères. Ils sont donc sans dépendance ni accoutumance. Cependant, il existe quelques précautions à prendre avant de commencer une cure.
La mélatonine facilite l’endormissement et le sommeil en réduisant la chaleur corporelle, qui baisse automatiquement à l’endormissement, de 0,5°C à 1°C. Elle est efficace en cas de réveils nocturnes, d’insomnies modérées, mais aussi pour les décalages horaires (entre 5h et 10h).
Si vous prévoyez un voyage et que vous souhaitez garder votre rythme de sommeil intact, vous pouvez prendre de la mélatonine les deux ou trois premiers jours entre 19h et 20h (heure locale). Ce traitement vous aidera à avancer l’heure du coucher et à repositionner la sécrétion naturelle de l’organisme.
La prise de mélatonine est également conseillée en cas de “travail posté”, c’est-à-dire lorsque le corps est sédentaire, qu’il manque d’activité et de fatigue.
Les traitements à base de mélatonine sont réservés à l’adulte. Une supervision médicale est nécessaire pour les enfants, ainsi que les femmes enceintes et allaitantes.
La consommation de mélatonine est déconseillée sans avis médical en cas d’antécédents d’épilepsie. En effet, elle peut rendre moins efficaces les traitements contre ce trouble, mais aussi contre l’hypertension artérielle ou encore les troubles compulsifs.
Elle est également déconseillée en cas d’asthme, car elle augmente la contraction des bronches en position couchée.
Généralement, pour une consommation sûre et sans danger de mélatonine, il faut que les dosages soient inférieurs à 2 mg par jour. En quantité trop importante, la prise de mélatonine peut entraîner des nausées, des diarrhées, des maux de têtes, des troubles de l’humeur ou encore des somnolences pendant la journée. Si elle est prise au mauvais moment (autre que le soir, 30 min à 1h avant le coucher), il existe un risque de dérèglement de l’horloge biologique. Les heures de coucher et de lever sont alors complètement bousculées.
Certains aliments et habitudes de vie permettent d’améliorer le sommeil. Il s’agit d’adapter son style de vie afin d’augmenter la production de mélatonine, et d’éviter les substances qui ont un effet négatif sur l’endormissement.
Pour bien dormir, il est conseillé de programmer le repas du soir au moins 2h avant d’aller se coucher. Le dîner doit être léger, mais équilibré et composé d’aliments riches en tryptophane : un acide aminé magique qui joue un rôle primordial dans la fabrication de sérotonine dans le cerveau. En clair, c’est votre allié pour bien dormir ! Il prépare le corps au sommeil et régule l’humeur.
On en retrouve dans les œufs, les noix, les noisettes, les amandes, les produits laitiers, les légumes secs, la viande, le poisson, la banane, l’avoine, le quinoa, ou encore le soja.
Nos recommandations alimentaires pour un meilleur sommeil :
Enfin, pour favoriser le sommeil, il est conseillé de se coucher à la même heure chaque soir, d’éviter les lumières fortes et les écrans au moment du coucher, et de mettre en place quelques techniques de relaxation pour favoriser la détente. Pensez également à aérer régulièrement votre chambre, et à y maintenir une température entre 15°C et 18°C tout au long de l’année.
Résumé des points clés et des bienfaits de la mélatonine :
Adopter un mode de vie sain et équilibré tout au long de la journée est important pour préparer le corps à mieux dormir en libérant une quantité suffisante de mélatonine.
Le fait de mieux dormir à des conséquences directes sur le bien-être pendant la journée : bonne humeur, productivité, motivation… À l’inverse, un manque de sommeil peut comporter des risques d’accidents plus développés, en développant une fatigue extrême, plus de stress et d’anxiété, voire un état dépressif.
Les brûlures vaginales se caractérisent par des démangeaisons et des sensations de brûlure au niveau de la zone intime : lèvres, vulve et vagin.
Elles sont parfois accompagnées de rougeurs, d’irritations et de picotements. Cette sensation très désagréable apporte beaucoup d’inconfort. De nombreuses femmes sont touchées au moins une fois dans leur vie.
Les causes des brûlures vaginales peuvent être multiples, et plus ou moins graves. Il existe des facteurs internes (déséquilibre de la flore vaginale, inflammation du vagin…) et externes (infection, maladie sexuellement transmissible, allergie…) qui peuvent déclencher ces troubles.
Une infection se produit à la suite de la pénétration et de la prolifération de bactéries ou d’un virus dans le corps, provoquant un problème de santé. Au niveau du vagin, il en existe plusieurs types :
Les infections à levures : c’est ce que l’on appelle la mycose vaginale, ou “candidose”. C’est la cause la plus fréquente des brûlures vaginales. Elle est causée par la pénétration d’un champignon externe dans le vagin, le Candidas Albican. Cette bactérie prolifère parfois à la suite d’un traitement antibiotique ou corticoïde, ou lorsque le système immunitaire est affaibli. L’infection peut également être déclenchée par un contraceptif comme le DIU en cuivre, qui, dans certains cas, retient les bactéries externes à l'intérieur de l'organisme. Le traitement prescrit pour soigner une mycose vaginale est obligatoirement médicamenteux. Une simple crème apaisante pour calmer les démangeaisons ne suffit pas, d’où l’importance de consulter un médecin. Le champignon doit être éliminé par un antifongique, sous forme d’ovule, de capsule vaginale ou de comprimé à prendre par voie orale. Les symptômes les plus fréquents d’une mycose vaginale sont une sensation de brûlure au niveau de la vulve et du vagin, avec des démangeaisons. Il est également possible de remarquer un écoulement blanchâtre ou jaunâtre du vagin, avec une forte odeur inhabituelle.
Les infections urinaires : la cystite est une infection causée par des bactéries qui pénètrent dans l’urètre et la vessie, et qui créent une inflammation. L’infection urinaire est caractérisée par un besoin fréquent d’uriner, des douleurs dans le bas-ventre est une sensation de brûlure au niveau du vagin. Pour en guérir, il faut un médicament délivré sous ordonnance du médecin.
La vaginose bactérienne : cette affection est courante chez les femmes. Elle est causée par un déséquilibre des bactéries vaginales (microbiome vaginal). Les Lactobacilles, bactéries naturellement présentes dans le vagin, jouent un rôle de protection pour préserver la muqueuse et éviter les infections. Parfois, il peut arriver que leur taux baisse, ce qui permet la prolifération de levures et de bactéries responsables d’infections. C’est le changement d’équilibre des bactéries qui engendre la vaginose bactérienne. Ce trouble est accompagné de pertes vaginales jaunes, vertes ou grises et d’une odeur inhabituelle. Il produit également des brûlures vaginales, des démangeaisons et même parfois des gonflements au niveau de la vulve.
Les MST : les maladies sexuellement transmissibles sont causées par des bactéries et des parasites transmis par voie sexuelle. Il en existe une trentaine, comme la syphilis, l’hépatite B, l’herpès génital ou encore le papillomavirus. Le seul moyen de se protéger efficacement des MST est le préservatif interne ou externe. Certaines MST ne provoquent aucun symptôme, et ne peuvent être décelées que par un dépistage. Dans certains cas, elles peuvent occasionner des troubles tels que des brûlures vaginales en urinant, de la fièvre, une fatigue, des lésions au niveau des organes génitaux ou encore des pertes vaginales inhabituelles. Il est important d’effectuer des dépistages régulièrement afin de se protéger, mais également de protéger son ou ses partenaire(s) sexuels.
Des éléments externes peuvent aussi provoquer des brûlures vaginales : certains composants contenus dans des produits d’hygiène, réactions allergiques, changements hormonaux…
Des affections de la peau et des maladies dermatologiques peuvent déclencher des démangeaisons cutanées et des sensations de brûlure au niveau du vagin.
Par exemple l’eczéma, le psoriasis, la verrue génitale, ou encore la dermatose vaginale… Ces pathologies dermatologiques peuvent toucher la zone intime. Afin de protéger la muqueuse et de réduire les inflammations chroniques, il faut consulter un professionnel de santé qui prescrit le traitement adéquat.
Des traitements sous forme de crème ou de médicaments permettent de soulager les brûlures vaginales causées par des infections. Des astuces naturelles existent également pour atténuer les symptômes.
Certains traitements sont disponibles en vente libre : il s’agit de crèmes et de pommades pour soulager les démangeaisons. Les ovules et les médicaments sont délivrés sous ordonnance. En cas de doute, privilégiez une consultation dès l’apparition des brûlures pour un examen plus poussé. C’est le seul moyen de définir la cause de votre inconfort, et d’éviter les risques de transmission en cas de MST. Évitez l’automédication pour ne pas passer à côté d’un problème plus grave.
Hygiène : l’intérieur du vagin est auto-nettoyant, c’est donc juste la partie externe qu’il faut laver (lèvres et vulve). La toilette doit être douce : il suffit pour cela d’utiliser de l’eau et des soins spécifiques et adaptés, qui maintiennent le pH de la flore vaginale. Les produits chimiques qui contiennent du savon et/ou du parfum de synthèse sont à éviter. D’autres actions du quotidien peuvent être mises en place pour maintenir une hygiène optimale et éviter les bactéries, comme par exemple changer régulièrement sa protection hygiénique pendant les règles, ou encore éviter les sous-vêtements en matière synthétique et les vêtements trop serrés.
Alimentation et nutrition : pour maintenir l’équilibre de la flore vaginale, il est recommandé de privilégier les aliments riches en probiotiques, comme les yaourts, les fromages fermentés, les cornichons ou encore le chou. Vous pouvez également supplémenter votre alimentation avec des compléments alimentaires et des infusions pour améliorer votre confort intime. Le Duo Rééquilibrage Intime Circles est idéal pour rééquilibrer la flore vaginale, éviter les troubles urinaires et les désagréments intimes. Riche en plantes médicinales, cette cure est conçue pour les femmes qui décrivent un inconfort urinaire et/ou digestif, mais aussi en prévention des symptômes déclenchés par les règles ou la ménopause.
Gestion du stress : les émotions négatives ont un impact sur la flore vaginale. Pendant les périodes de stress, le système immunitaire est affaibli, ce qui perturbe l’équilibre hormonal, et déséquilibre la flore intime. Les bactéries responsables des infections ont donc plus de chance de pénétrer dans le vagin.
Remèdes maison : pour soulager la sensation d’inconfort causée par les brûlures vaginales, le rinçage à l’eau froide est recommandé. Il est également possible d’effectuer un bain de siège de quelques minutes, ou de placer une compresse froide d'eau thermale sur la zone pour limiter les démangeaisons. Au quotidien, l'hydratation de la vulve peut permettre d’éviter les sécheresses. Pour cela, il faut choisir un soin hydratant spécifique adapté à la zone intime.
Nous avons répertorié quelques astuces à mettre en place au quotidien pour éviter les brûlures vaginales :
Choisissez des préservatifs et lubrifiants adaptés, en fonction de votre sensibilité et de vos allergies. Si vous ressentez des symptômes inhabituels après utilisation (brûlures vaginales, picotements, rougeurs…) ou un inconfort, consultez un médecin. Il peut s’agir d’une allergie à un composant, notamment au latex, contenu dans la plupart des préservatifs. Enfin, après chaque rapport sexuel, protégé ou non, n’oubliez pas d’uriner afin de réduire le risque de prolifération de bactéries.
La zone intime doit être lavée avec précaution.
Pour une hygiène saine, vous pouvez mettre en place une routine idéale pour cette zone fragile :
Il faut surveiller et reconnaître les signes qui peuvent être l’origine d’un déséquilibre de la flore vaginale, d’une maladie ou d’une infection : brûlures vaginales, pertes inhabituelles (couleur et odeur), inconfort…
Afin d’éviter les risques, il est conseillé d’effectuer un diagnostic précoce, dès les premiers signes. Cela permet d’avoir le bon traitement sans attendre, et de limiter les risques de transmission en cas de MST ou d’infection sexuellement transmissible.
À la suite de l’examen, le professionnel de santé prescrit un traitement médicamenteux par voie orale, sous forme d’ovules ou de capsules.
Les signaux d’alerte à reconnaître :
Résumé des points clé à retenir à propos des brûlures vaginales :
La sensibilisation concernant la santé vaginale est importante dès le plus jeune âge. Des groupes de soutien, des blogs, des forums ou encore des comptes dédiés au bien-être féminin sur les réseaux sociaux permettent d’échanger, de partager ses expériences et d’en savoir plus sur ce sujet tabou, pourtant fréquent chez les femmes.
Décomplexez et déculpabilisez ! Le phénomène des brûlures vaginales peut être causé par de nombreux facteurs, et touche beaucoup de femmes de tout âge. Le plus souvent, il s’agit de pathologies bénignes qui se soignent facilement après une consultation chez le médecin.
Le passage à la ménopause peut être accompagné de troubles dont l’intensité varie en fonction des femmes. Parmi les premiers symptômes, on retrouve les bouffées de chaleur : des sensations de chaleur extrêmes brutales qui apparaissent à tout moment de la journée, et même la nuit. Elles peuvent être accompagnées de sueurs nocturnes, un autre phénomène lié à la ménopause.
La fréquence et la durée des sueurs nocturnes varient en fonction des femmes. La principale cause est hormonale, et elles peuvent être accentuées par plusieurs facteurs comme le stress, l’environnement, l’alimentation…
Les sueurs nocturnes peuvent avoir un impact négatif sur la qualité du sommeil, et augmenter la fatigue. Heureusement, il existe des traitements et des techniques naturelles pour les atténuer.
La ménopause apparaît chez la femme aux alentours de 45-55 ans. Ce bouleversement hormonal marque la fin de la possibilité de procréer, en déclenchant l’arrêt total des menstruations.
Pendant la ménopause, les œstrogènes, hormones ovariennes, baissent considérablement, ce qui déséquilibre l’hypothalamus, la zone du cerveau responsable de la régulation de la température corporelle. Certains désagréments comme des sueurs nocturnes peuvent alors apparaître. Elles se manifestent par une sensation de chaleur importante durant la nuit, accompagnée de frissons, de température excessive, voire de fièvre.
Les sueurs nocturnes pendant la ménopause sont déclenchées par les bouleversements hormonaux, mais des facteurs aggravants peuvent les accentuer : l'alimentation, le stress, l’environnement…
Si vous êtes ménopausée, ou si vous voulez tout prévoir pour vivre la ménopause sereinement, l’une des premières choses à faire et de changer vos habitudes au quotidien afin d'apprendre à mieux gérer vos symptômes.
Les habitudes alimentaires jouent un rôle important sur les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes pendant la ménopause. Afin d’éviter au maximum ces désagréments, il est conseillé de réduire la consommation de boissons trop chaudes, de caféine et d’alcool. La nourriture épicée est également déconseillée, car elle augmente la température corporelle.
Pendant la ménopause, privilégiez les fruits et légumes, les légumineuses, les céréales complètes, les laitages ou encore les poissons gras. Les fibres permettent d’améliorer la digestion et le transit, et les protéines, vitamines et minéraux sont bénéfiques pour le bien-être global.
Pensez par ailleurs aux graines de lin, notre astuce pour réduire les bouffées de chaleur : elles permettent de conserver un taux normal d’oestrogènes dans le sang et sont ainsi efficaces pour lutter contre les sueurs nocturnes. Vous pouvez en consommer facilement en saupoudrant vos yaourts ou vos salades, une à deux fois par jour.
Les sueurs nocturnes ont un impact négatif sur la qualité du sommeil, et peuvent accentuer la fatigue des femmes qui sont touchées. Ce manque de sommeil peut alors déclencher d’autres symptômes psychiques comme des sautes d’humeur, de l’anxiété, voire un état dépressif. Pratiquer une activité physique régulière, ou encore des séances de relaxation permettent de favoriser l’endormissement, et donc d’améliorer la qualité de vos nuits.
Vous pouvez également mettre en place un rituel simple avant de vous coucher : aller au lit à des heures régulières, prendre une douche tiède, baisser la température de la chambre…
Enfin, l’environnement dans lequel vous vous trouvez pour dormir est très important pour passer une bonne nuit de sommeil. Tout d’abord, gérez la température ambiante de votre chambre : elle doit se situer entre 16°C et 18 °C. Chaque matin, aérez la pièce pendant quelques minutes pour renouveler l’air et chasser l’humidité.
Au niveau de votre linge de lit, il est conseillé de choisir des matières naturelles comme le coton ou le lin. Ces tissus sont légers et agréables, ils permettent une meilleure circulation de l’air. Privilégiez un pyjama fin, et un matelas doté de face été et hiver.
Toutes ces astuces permettent de réguler efficacement la température corporelle, et l’évacuation de la transpiration. En cas de sueurs nocturnes, il est préférable de mettre en place ces conseils, pour un confort optimal.
Des traitements hormonaux existent pour réduire les sueurs nocturnes, mais ils sont à prendre avec précaution.
Bien que très efficaces, les traitements hormonaux THM comportent des risques : ils sont déconseillés en cas d’antécédent de cancer du sein ou d’accident vasculaire cérébral, et ils multiplient les risques de phlébite ou d’embolie pulmonaire.
Le traitement hormonal doit être surveillé. Une mammographie est obligatoire avant la prescription, et l’état de santé de la patiente est réévalué régulièrement à l’aide d’un examen clinique ou d’un bilan sanguin au moins une fois par an. Ces diagnostics permettent de définir la poursuite ou l’arrêt du traitement.
Des solutions alternatives existent pour atténuer les symptômes liés à la ménopause : plantes, mode de vie, alimentation, relaxation… Circles a mis au point une gamme ménopause pour vous aider à mieux appréhender cette période de changements. Le Trio Ménopause Sereine réunit plusieurs cures de produits 100 % naturels, formulés à base de plantes médicinales, de vitamines et de minéraux. MENO, a été pensé pour accompagner les femmes à mieux vivre leur ménopause en atténuant leurs troubles physiques et psychiques : bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, irritabilité, fatigue, nervosité, sautes d’humeur… Grâce à ces cures, vous pourrez vivre cette période si particulière de façon plus calme et sereine.
La sauge est une plante de la famille de la menthe. Elle présente plusieurs propriétés : antioxydantes, antiseptiques, antimicrobiennes, antifongiques ou encore anti-inflammatoires.
Elle possède de nombreux bienfaits pour rééquilibrer les hormones, ainsi que le système digestif et la santé globale. Elle est efficace pour soulager les troubles de la ménopause.
Cette plante médicinale aux multiples vertus peut être consommée de plusieurs manières pour lutter contre les troubles liés à la ménopause :
Pour vivre une ménopause sereine, il est conseillé d’adapter un nouveau mode de vie plus sain, et d’éviter les excès. Il est préférable d'ajuster son alimentation, de boire suffisamment d’eau, de pratiquer une activité physique régulière et des exercices de relaxation.
Si vous ressentez des sueurs nocturnes, quelques astuces peuvent vous permettre de les atténuer et de vous soulager. Par exemple, gardez un verre d’eau fraîche à côté de votre lit pour pouvoir vous hydrater à tout moment pendant la nuit. De même pour les compresses fraîches : placez-en quelques-unes à proximité et, en cas de sueur, maintenez-les sur votre décolleté, vos joues ou votre front. Votre corps baissera en température et les sueurs pourront s’atténuer. Enfin, n’oubliez pas de respirer lentement pour garder un rythme cardiaque normal et vous apaiser.
L’alimentation joue un rôle important sur les effets physiques de la ménopause. Afin d’atténuer les sueurs nocturnes, hydratez-vous toute la journée, ainsi que le soir au coucher avec de l’eau fraîche. Évitez les repas trop épicés, l’alcool et la caféine qui augmentent la température corporelle.
Il est important de mettre en place une routine du soir qui vous permettra de passer une bonne nuit de sommeil :
Si vous souffrez de symptômes, ou si vous vous posez des questions sur la ménopause, n’hésitez pas à échanger avec d’autres femmes.
Des sites, profils sur les réseaux sociaux, forums ou encore blogs sont spécialisés dans le bien-être des femmes. Ils rassemblent des articles, des témoignages, des conseils, des expériences… qui peuvent vous aider à vivre certaines périodes de votre vie que vous avez du mal à gérer seule.
Prenez le temps de comprendre vos symptômes, de vous écouter et de définir vos besoins afin d’adopter une stratégie efficace pour gérer votre ménopause.
Si les symptômes sont trop pénibles, et qu’ils ne sont pas apaisés par les solutions naturelles, n’hésitez pas à consulter un médecin.
Il pourra vous donner des conseils pour atténuer vos sueurs nocturnes, ou vous guider vers des médecines alternatives.
Les sueurs nocturnes font partie des symptômes les plus courants de la ménopause.
Si elles ne sont pas traitées, elles peuvent être la cause d’un manque de sommeil important.
Récapitulatif des solutions et traitements en cas de sueurs nocturnes :
Importance d’une approche personnalisée :
Les sueurs nocturnes disparaissent avec le temps. Circles vous accompagne pour apprendre à gérer cette période et à vivre la ménopause sereinement !
Parce qu'on n’est pas du genre à se laisser gâcher les fêtes de fin d'année par nos règles ou le syndrome prémenstruel, voici venue notre botte secrète : une recette de tisane contre les règles douloureuses et/ou abondantes, en version Noël.
Règles ou pas règles, cette année, on sera bien sous le sapin !
La tisane FLOW, c'est un peu notre petite chouchoute : grâce à sa formule unique composée de sept plantes médicinales aux bienfaits reconnus par la science, cette infusion participe à soulager efficacement tous les symptômes qui accompagnent les règles : les douleurs, mais aussi le syndrome prémenstruel, les troubles digestifs, les flux abondants, les maux de tête, des cycles irréguliers...
En plus, parce qu'on vous réserve toujours de belles surprises, on vous a concocté une recette pimpée à base d'épices qui permettent de booster encore plus son efficacité :
1° Dans une casserole, à feu doux, faire chauffer environ 300 ml d'eau
2° Ajouter 2 à 3 tranches d'orange, les épices choisies, et remuer doucement
3° Laisser mijoter jusqu'à ce que l'eau soit frémissante (5 à 10 minutes)
4° Ajouter 2 à 4 cuillères à café de la tisane FLOW (selon la quantité d'eau utilisée)
5° Laisser infuser encore environ 5 minutes, filtrer
Déguster en famille ou entre ami.e.s !
(Psst, promis, on ne dira rien si tu y ajoutes une goutte de rhum pour mieux supporter tonton Gilbert !)
Circles vous souhaite de belles fêtes de fin d'année, et nos meilleurs vœux pour 2024 !
Les bouffées de chaleur sont fréquentes chez les femmes, surtout après 65 ans. C’est un phénomène qui peut être dérangeant au quotidien, et avoir des conséquences sur l’estime de soi et les relations avec les autres.
Elles se caractérisent par une sensation de chaleur soudaine et intense principalement au niveau du visage, du cou, et parfois du thorax. Les bouffées de chaleur peuvent survenir pendant la journée ou pendant la nuit, et sont souvent accompagnées de frissons ou de sueurs.
Plusieurs causes peuvent expliquer les bouffées de chaleur après 65 ans : changements hormonaux, surmenage, stress, prise de certains médicaments, maladies chroniques…
Comprendre l’origine des bouffées de chaleur permet de mieux les gérer, et d’éviter au maximum les conséquences néfastes qu’elles peuvent avoir sur la qualité de vie.
La bouffée de chaleur est une sensation de chaleur intense passagère, qui se manifeste subitement pendant la journée et/ou pendant la nuit. Dans certains cas, elle peut s’accompagner de rougeurs sur le visage, le cou et le décolleté, et de sueurs provoquant une transpiration excessive.
La fréquence des bouffées de chaleur dépend des femmes et de leur mode de vie, leur alimentation, leur âge, si elles souffrent d’une maladie chronique ou si elles sont sous traitement. La durée est variable, généralement, ce sont des épisodes très intenses mais assez courts.
Savoir reconnaître les signes des bouffées de chaleur :
En plus de ces signes reconnaissables, les bouffées de chaleur peuvent impacter le bien-être global des personnes touchées. Parfois, elles déclenchent une fatigue excessive, des insomnies, une irritabilité ou encore de l’anxiété.
Plusieurs causes peuvent expliquer le phénomène de bouffées de chaleur après 65 ans :
Chez les femmes, le bouleversement hormonal de la ménopause provoque une baisse du taux d’œstrogènes. Ces hormones ovariennes sont responsables de la régulation de la température du corps. Plus elles baissent, plus le mécanisme de régulation thermique est perturbé, ce qui peut causer des changements de température corporelle brutaux, intenses et plus ou moins fréquents. Chez les hommes, c’est l'andropause qui intervient et qui bouleverse l’équilibre hormonal. Avec l’âge, la baisse du taux de testostérone peut développer plusieurs symptômes comme une baisse d’énergie, une diminution de la masse musculaire ou encore des bouffées de chaleur.
Certains médicaments peuvent provoquer des bouffées de chaleur, notamment les traitements anti-œstrogéniques ou les chimiothérapies. Des maladies chroniques comme l'hyperthyroïdie ou le diabète peuvent également produire cette sensation de chaleur intense. L'hyperthyroïdie est la surproduction d’hormones sécrétées par la thyroïde, ce dysfonctionnement augmente la température corporelle. Quant au diabète, il provoque des épisodes d’hypoglycémie : le corps compense alors la baisse du taux de sucre dans le sang en créant de la chaleur. D'autres pathologies comme la rosacée, une maladie dermatologique, peuvent créer des bouffées de chaleur. Dans ce cas, elles sont déclenchées lors de changements de température, ou de l’ingestion de certains aliments.
Une alimentation trop épicée, trop salée, la consommation excessive de caféine et de tabac peut accentuer les bouffées de chaleur, tout comme certaines allergies ou intolérances alimentaires. Le surmenage, le stress et les émotions vécues au quotidien peuvent créer divers symptômes de crises d’angoisse comme des bouffées de chaleur, une transpiration intense, des tremblements, des vertiges… Ces désagréments sont parfois accompagnés de troubles du sommeil et de fatigue excessive.
Ressentir des bouffées de chaleur peut avoir des conséquences physiques et psychologiques qui sont plus ou moins difficiles à gérer au quotidien.
La chaleur intense qui envahit le corps pendant les bouffées de chaleur est incontrôlable. Elle peut survenir pendant la journée, mais aussi la nuit. Cela engendre du stress et de la fatigue. Dans certains cas, la sensation est tellement ingérable qu’elle peut provoquer des vertiges, voire un malaise vagal.
Le mal-être physique se fait également ressentir après les bouffées de chaleur. En effet, lorsque la sensation de chaleur intense se calme, le corps se refroidit soudainement. Cela peut être la source d’un inconfort : frissons, tremblements… Parfois, le changement brutal de température peut même produire une hypothermie (température corporelle en dessous de 35 °C).
Les sueurs et la transpiration excessive qui accompagnent parfois les bouffées de chaleur peuvent créer de l’anxiété, voire un état dépressif. En effet, dans certains cas, elles génèrent une perte d’estime de soi et un sentiment de honte qui rendent les relations sociales plus complexes.
Il existe quelques astuces à connaître pour réduire les bouffées de chaleur. Elles sont efficaces pour apprendre à mieux gérer ce désagrément au quotidien, dans toutes les situations :
Ces astuces permettent d’améliorer le confort des personnes qui sont touchées par les bouffées de chaleur. Elles sont simples à mettre en place et contribuent au bien-être physique et psychologique.
Les bouffées de chaleur sont souvent pénibles à vivre au quotidien. Des stratégies peuvent être mises en place pour les atténuer et réduire les effets que celles-ci produisent sur le corps.
Tout d’abord, il est conseillé de modifier son style de vie, en adoptant une alimentation équilibrée, en réduisant sa consommation d’épices, de sel et de caféine. Il faut maintenir une glycémie stable pour éviter le manque de sucre dans le sang, qui peut provoquer des bouffées de chaleur. Pour cela, les aliments riches en fer et en zinc tels que les légumineuses et les fibres sont à privilégier.
La pratique d’un exercice physique régulier augmente la sensation de bien-être grâce à la libération d’hormones comme l’endorphine, la dopamine ou encore la sérotonine. L’important est de trouver une activité qui fait du bien. Parmi les plus conseillées pendant cette période, on retrouve les pratiques douces comme le yoga, le pilates, la natation.. ou bien les activités extérieures : marche, vélo… Il est recommandé d’éviter les efforts physiques trop intenses.
En cas de bouffées de chaleur nocturnes, accompagnées de sueurs, les draps en coton sont à privilégier, avec un matelas qui possède des faces “été” et “hiver”. La chambre doit être aérée régulièrement, et à une température de 19-20°C.
Enfin, la gestion du stress et de l’anxiété est primordiale pour mieux gérer les bouffées de chaleur. Il existe une technique de relaxation efficace pour maîtriser sa respiration et ralentir son rythme cardiaque. C’est la “cohérence cardiaque”. Il suffit d’inspirer et d’expirer en comptant jusqu’à 5 jusqu’à l’apaisement. Cette astuce permet d’éviter l’hyperventilation et la panique. Elle peut être pratiquée à tout moment, en cas de bouffée de chaleur incontrôlable ou de sensation de crise d’angoisse soudaine. Des thérapies comportementales comme l’hypnose ou encore la sophrologie auraient également un effet bénéfique sur les bouffées de chaleur.
Pratiquer la cohérence cardiaque :
Si ces astuces ne sont pas suffisantes pour atténuer les bouffées de chaleur et les autres symptômes liés à la ménopause, il faut consulter un médecin. Des traitements médicamenteux ou des remèdes naturels existent pour les soulager.
Des traitements médicamenteux permettent de gérer les symptômes de la ménopause et de réduire les bouffées de chaleur. Néanmoins, ils ne sont pas sans risques. Des alternatives naturelles peuvent être utilisées.
Tous ces traitements peuvent être plus ou moins efficaces pour réduire les symptômes ressentis lors de la ménopause. L’amélioration du bien-être pendant cette période dépend de chaque femme et des signes qu’elles décrivent.
Plusieurs analyses permettent au médecin de diagnostiquer le traitement idéal en cas de bouffées de chaleur :
Points clés à retenir :
Les règles anniversaires sont de légers saignements qui peuvent apparaître au début d’une grossesse, généralement lors du premier mois. Ce ne sont pas de vraies règles, car celles-ci s’arrêtent à partir de la fécondation.
Phénomène assez rare, il existe plusieurs signes pour identifier les règles anniversaires. Celles-ci durent 1 à 2 jours uniquement, sont de couleur assez claire ou marron, mais pas rouge vives comme les menstruations classiques. Elles sont dans la plupart des cas sans danger, ne durent pas longtemps et ne sont pas accompagnées de douleurs.
Plusieurs autres particularités peuvent expliquer la perte de sang pendant la grossesse. En cas de doute, il est recommandé de consulter un médecin.
Les règles anniversaires peuvent avoir plusieurs origines. Il est important de savoir les identifier afin d’écarter tout risque pour le bon déroulement de la grossesse.
Aussi appelée “métrorragies”, les règles anniversaires sont des pertes de sang qui peuvent intervenir lors des premiers mois d’une grossesse, en général au moment des règles classiques, ou légèrement plus tôt. Ces saignements touchent environ une femme sur quatre.
Il faut bien distinguer les règles anniversaires des menstruations classiques. En effet, bien que ressemblantes, elles possèdent tout de même des caractéristiques qui permettent de les différencier :
Les menstruations classiques sont causées par la détérioration de la paroi utérine, en cas d’absence de fécondation. Elles ont lieu tous les mois de la puberté jusqu’à la ménopause. Les règles sont propres à chaque femme : leur couleur, leur durée, ou encore les symptômes qui y sont associés peuvent varier en fonction de l’âge, du mode de contraception, des habitudes de vie…
Afin de mieux appréhender cette période, souvent accompagnée de douleurs et d’inconforts, Circles a formulé naturellement FLOW, une infusion qui participe à améliorer le confort pendant les règles. Enrichie en plantes médicinales, elle permet de réguler les cycles, d’apaiser les crampes abdominales et d’éviter les troubles digestifs ou de transit.
L’infusion FLOW est recommandée pour les femmes qui présentent un inconfort menstruel, pendant les règles, mais aussi pendant la ménopause, ou en cas de SPM ou de SOPK. Elle est adaptée aux personnes souffrant d’endométriose. En revanche, FLOW est déconseillée aux femmes enceintes et/ou allaitantes.
Dans la plupart des cas, les règles anniversaires sont déclenchées lors de la nidation de l’embryon dans l’utérus. On les appelle aussi “hémorragies d'implantation”. À cette étape de la grossesse, de petits vaisseaux peuvent se rompre et provoquer des saignements. Ceux-ci sont anodins et indolores.
Ce phénomène n’est pas systématique, il est même est plutôt rare. Si vous remarquez de légers saignements, ne paniquez pas. Ils ne présentent a priori aucun risque pour votre grossesse, mais pensez tout de même à consulter votre médecin.
Afin d’identifier les règles anniversaires, il est important de reconnaître les premiers signes : couleur du sang, durée des pertes, flux, symptômes…
Les règles anniversaires peuvent se manifester environ 10 jours après la fécondation, dans le premier trimestre de la grossesse. Le flux est léger, et la durée des pertes ne doit pas dépasser 2 jours. La couleur du sang n’est pas rouge, mais plutôt rosée ou marron. Elles sont indolores et vous ne présentez aucun autre symptôme associé aux menstruations classiques (maux de tête, crampes abdominales, bouffées de chaleur…).
Oui. N’oubliez pas que le test de grossesse n’est pas fiable à 100%. Un test sanguin est indispensable pour savoir si vous êtes enceinte ou non. Il est conseillé d’en effectuer un dès que la possibilité d’une grossesse est envisagée (rapport non-protégé, retard de règles…).
Si votre test est négatif et que vous remarquez une anomalie au niveau de vos menstruations (couleur inhabituelle, moins de symptômes, durée plus courte…), il s’agit peut-être de règles anniversaires. Dans ce cas, vous pouvez savoir si vous êtes enceinte grâce à une prise de sang.
Les règles anniversaires sont anodines et ne présentent aucun risque pour la grossesse. Elles ne doivent pas vous inquiéter tant qu’elles sont peu abondantes, courtes et indolores.
Cependant, si les saignements sont plus abondants, accompagnés de douleurs et/ou de fièvre, il peut s’agir d’une complication plus grave. Dans ce cas, il est recommandé de consulter un médecin au plus vite.
Les règles anniversaires interviennent généralement lors du premier mois de grossesse, elles sont liées au phénomène de nidation de l’embryon qui provoque ces légers saignements.
Si les pertes de sang sont plus abondantes, et accompagnées de douleurs durant le deuxième ou le troisième trimestre, il faut immédiatement consulter son gynécologue. Ces anomalies peuvent présenter un risque de fausse couche ou de grossesse extra-utérine.
En cas de doutes ou de questions sur l’origine des saignements qui peuvent apparaître pendant la grossesse, il est conseillé de prendre rendez-vous avec un médecin.
Certains symptômes nécessitent une consultation en urgence :
Dès l’apparition d’un ou plusieurs de ces signes reconnaissables, il faut une prise en charge médicale rapide.
En cas de doute, ou de symptômes, il faut prendre un rendez-vous avec son/sa gynécologue. Seul.e lui/elle pourra établir un examen et une échographie pour vérifier s’il existe un risque pour le fœtus.
À la suite de cet examen, plusieurs diagnostics sont possibles : anomalies génétiques, anomalies de la cavité utérine, malformation de l’utérus ou encore perturbations hormonales. Tous ces facteurs peuvent être à l’origine des saignements, et nécessitent une attention particulière, voire un traitement.
Les saignements peuvent également être causés par une grossesse extra-utérine, c’est-à-dire si l'ovule est fécondé en dehors de l’utérus. Ce phénomène peut entraîner un risque de rupture de la trompe utérine. Le médecin prescrit alors un traitement pour la conserver intacte jusqu’à l’accouchement.
Enfin, si les saignements sont soudains, abondants et accompagnés de fortes douleurs dans le ventre (crampes pelviennes) et le bas du dos, il faut se rendre chez son médecin de toute urgence. Il peut s’agir d’une fausse-couche. Plusieurs signes doivent alerter :
L’intervention d’un.e gynécologue est indispensable pour gérer la fausse-couche et prescrire les traitements adaptés. Un soutien psychologique est conseillé car la fausse-couche est un phénomène difficile à vivre qui peut laisser des séquelles.
Il n’existe pas toujours d’explications concernant les fausses couches ou les grossesses extra-utérines. Toutefois, pour éviter au maximum les risques pendant la grossesse, il faut réduire sa consommation de café, et arrêter totalement l’alcool et le tabac. Au contraire, les aliments riches en vitamines B12 et B9 sont vivement conseillés. Être en situation d’obésité peut également présenter des risques pour les femmes enceintes.
Rappel des points-clés et des signes à reconnaître en cas de saignements pendant la grossesse :
1° Les règles anniversaires :
2° Anomalies qui nécessitent un examen chez le médecin :
Il est important de connaître les premiers signes anormaux pour déceler un éventuel problème et effectuer un diagnostic chez le gynécologue.
Si vous remarquez une perte de sang pendant votre grossesse, il est normal de ressentir de l’inquiétude. Retenez bien que tant que les saignements sont légers, ne durent qu’un à deux jours, et qu’ils apparaissent lors du premier trimestre de grossesse, il s’agit probablement de règles anniversaires. Ce phénomène est anodin, et ne présente aucun risque pour vous, ni pour votre bébé.
N’hésitez pas à en parlez autour de vous, à vos amis, votre famille, ou à consulter des blogs pour partager vos expériences et mieux comprendre les règles anniversaires en dialoguant avec d'autres femmes enceintes.
Nos conseils pour vivre une grossesse sereine :
Avec le froid, il est important de bien se couvrir pour être au chaud : leggings rembourrés, collants ultra chauds, grosses couvertures, pyjama thermo-régulé... Le grand dilemme de l'hiver, c'est que notre entrejambe est un peu une diva : s'il fait trop froid, on risque de choper une infection urinaire, s'il fait trop chaud et qu'on transpire et que notre vulve ne respire pas suffisamment, c'est le terrain idéal pour une bonne vieille mycose.
C'est pourquoi, en période hivernale plus que jamais, il est vital de suivre quelques règles pour veiller au bien-être de notre vulve quelle que soit la témpérature.
Il y a bien du vrai dans la phrase tant répétée par nos mères : "Couvre-toi, tu vas attraper une infection urinaire !" Pour faire simple : le froid réduit l'irrigation sanguine, particulièrement au niveau des muqueuses, ce qui peut favoriser les infections urinaires et autres déséquilibres intimes.
Le conseil Circles : Quand les températures baissent, n'hésitez pas à dégainer ce qu'il faut : double collant, legging thermo-chauffant, plaid de grand-mère, tous les moyens sont bons !
Exit les matières synthétiques, qui 1/ sont non respirantes, 2/ peuvent être des nids à microbes et 3/ peuvent contenir des perturbateurs endocriniens qui risquent de pénétrer via les muqueuses. Le tout peut être unfacteur de mycoses ou d'irritations, surtout si on y ajoute des couches de vêtements en mode oignon.
Le conseil Circles : Même si elles ont la réputation d'être un peu moins jolies, on préfère les culottes en coton bio, qui laissent la vulve respirer et réduisent le risque de développer des irritations.
Dormir nue est idéal pour laisser la vulve respirer, en hiver autant qu'en été ! Ça peut paraître surprenant, mais même quand il fait froid, l'idéal est de dormir nue (à condition d'avoir une, voire deux bonnes couvertures), car le corps régule sa température de façon autonome (ce qui est d'ailleurs aussi super efficace pour lutter contre les suées nocturnes pendant le SPM ou la ménopause 😉).
Le conseil Circles : si vous ne vous sentez pas de dormir complètement nue, ou que vous êtes très frileuse, un bas de pyjama un peu flottant (en coton ou fibres naturelles, à porter sans culotte) fait l'affaire aussi !
Parce que oui,l'alimentation impacte aussi la santé et l'équilibre de la vulve. La majorité des déséquilibres de la vulve (cystites, mycoses, irritations...) ont un lien direct ou indirect avec l'alimentation, que ce soit à cause de troubles digestifs ou d'un déséquilibre des muqueuses... Favoriser une alimentation riche en fibres, en pro- et prébiotiques permet d'aider à prévenir les irritations et infections en tout genre.
Le conseil Circles : en prévention, en cure équilibrante ou en solution SOS, il est toujours bon d'avoir une infusion COMFORT à portée de tasse 😉
Certaines vulves sont plus sensibles que d'autres (ou plus sensibles avant ou pendant les règles). Dans ce cas, même le coton peut irriter, car il peut avoir tendance à absorber l'humidité (= déssécher). Si c'est votre cas, vous pouvez : 1/ Ppter pour des sous-vêtements en laine mérinos (c'est pas donné, mais c'est l'une des matières les plus respirantes et en plus ça tient chaud) ou en Modal (une fibre à base de bois de hètre), 2/ utiliser une huile ou un baume dédié pour renforcer la barrière cutanée de la zone intime et protéger la vulve des irritations et du déssèchement, 3/ en prévention ou en solution SOS, faire un bain de siège apaisant et anti-bactérien, dont voici la recette.
Pour la décoction :
Le ménopause est un bouleversement hormonal important dans la vie d’une femme. Elle est à l’origine de changements physiologiques et physiques, et peut être accompagnée de symptômes tels que des bouffées de chaleur, une sensation d’irritabilité, des troubles du sommeil ou encore des vertiges.
Il est important de bien comprendre ce qui se passe pendant la ménopause pour mieux gérer ses éventuels symptômes.
La ménopause marque l’arrêt total des règles. Il apparaît chez la femme, généralement aux environ de 45-55 ans. On peut parler de ménopause à partir de 12 mois après les dernières règles.
Plusieurs signes reconnaissables peuvent alerter sur une pré-ménopause naissante :
La ménopause fait partie des grands changements hormonaux qui se manifestent chez la femme. Pendant cette période, les taux d’oestrogènes et de progestérone, les hormones dont le rôle est de permettre au corps de procréer, diminuent.
Leur niveau est de plus en plus bas, jusqu’à disparaître totalement. A ce moment-là, la ménopause démarre. Elle marque l’arrêt total des périodes de menstruations ainsi que l’arrêt de la fertilité.
La pré-ménopause et la ménopause sont des étapes délicates dans la vie d’une femme. Les hormones affectent le bien-être à la fois physique et psychique et les changements physiologiques peuvent être accompagnés de désagréments comme des maux de tête, des bouffées de chaleur, des ballonnements ou encore des vertiges.
Plusieurs facteurs expliquent les sensations de vertiges pendant la pré-ménopause :
La baisse du taux d’oestrogènes et de progestérone est un changement considérable et brutal. Ces hormones ont un champ d'action qui va bien au-delà du cycle menstruel, puisqu'elles agissent également sur la peau, les cheveux, la confiance en soi, l'énergie, l'humeur...
Cette chute peut donc provoquer plusieurs modifications physiologiques :
En plus des fluctuations d’hormones qui apportent leur lot de désagréments, d’autres facteurs propres à chaque femme peuvent accentuer les vertiges, comme par exemple :
Tous ces facteurs sont psychologiques, ce qui ne veut pas dire qu'ils sont moins réels pour autant ! Ils sont déclenchés par le cerveau lors de situations de stress ou d’anxiété. Même s’ils peuvent paraître effrayants et ingérables au début, ils peuvent être contrôlés et atténués avec l’aide de compléments alimentaires spécial ménopause, de techniques de relaxation ou encore en pratiquant une activité sportive régulière.
La durée de la pré-ménopause est variable selon les femmes, tout comme les troubles qui l'accompagnent. Il faut donc apprendre à gérer ces changements pour pouvoir vivre cette période plus sereinement.
Il existe des habitudes et des astuces à mettre en place au quotidien dès les premiers signes.
Pendant la ménopause, il est important de s'écouter et de prendre soin de soi. Pour cela, faites attention à votre alimentation : ce que vous mangez et buvez a un impact sur votre bien-être et sur les bouleversements qui affectent votre corps. La pratique d’un exercice physique régulier est indispensable pour garder une forme physique et mentale, ainsi que pour réduire le stress et l’anxiété. Enfin, limitez au maximum la consommation d’alcool, de tabac et de café pour éviter de perturber votre sommeil.
Circles a mis au point une cure complète qui réunit trois produits pour mieux appréhender la ménopause : le Trio Ménopause Sereine, composé de RESET, MENO et LUST.
Le trio est idéal dès l’apparition des premiers signes de la pré-ménopause (bouffées de chaleur, cycles irréguliers, vertiges…), cette cure de compléments alimentaires améliore le confort et le bien-être global et hormonal pour une préménopause plus apaisée. Les vitamines, les extraits de plantes et les minéraux, agissent en synergie pour favoriser une ménopause calme et sereine, en aider à la détente et la relaxation. L’activité hormonale est régulée, la fatigue est réduite, et l’apparence de la peau, parfois sèche et fragilisée, est améliorée.
Des alternatives médicinales comme l'acupuncture, l’hypnose ou encore la sophrologie peuvent également être efficaces pour mieux vivre la ménopause et apprendre des techniques de relaxation. Les résultats ne sont pas prouvés, mais de nombreux témoignages de femmes affirment se sentir mieux grâce à ces moyens de médecines douces.
En plus des vertiges pendant la pré-ménopause, d’autres symptômes et signes reconnaissables peuvent apparaître : bouffées de chaleur, changements d’humeur, difficultés à trouver le sommeil…
Ces signes sont parmi les premiers remarqués par les femmes. Ils annoncent l’arrivée de la ménopause et sont très fréquents :
Les perturbations hormonales de la ménopause provoquent fréquemment des troubles de l’humeur, comme l’irritabilité ou un état dépressif. Tant qu’ils sont raisonnables et contrôlables, ce sont des symptômes hélas assez communs. Afin de mieux les vivre et les atténuer, il est conseillé de pratiquer une activité physique, de prendre soin de soi et d’en parler à ses proches.
Des troubles du sommeil peuvent également se manifester : réveils nocturnes, sueurs, difficultés à s’endormir… Si cela vous arrive, essayez de vous coucher au maximum à des heures régulières, de dormir dans une pièce ventilée pour éviter les bouffées de chaleur et maintenir une température corporelle normale.
Pour lutter contre les troubles du sommeil liés à la ménopause, faciliter un sommeil profond et réparateur et lutter contre les sueurs nocturnes, nous avons créé le Duo Ménopause & Sommeil. Composé de notre cure MENO et de notre spray à la mélatonine et aux plantes relaxantes DREAM, le duo est idéal pour :
Bien que les symptômes de la pré-ménopause soient parfois difficiles à vivre, ils ne sont pas irréversibles. Certaines habitudes permettent de mieux les gérer.
L’alimentation joue un rôle important pendant la ménopause. Elle doit être équilibrée pour éviter au maximum les carences ou l’hypoglycémie, qui peuvent décupler les symptômes ressentis. Certains aliments ont des effets bénéfiques et permettent de mieux vivre ces changements. D’autres au contraire sont à éviter.
Pour mieux vivre la ménopause et éviter de développer d’autres symptômes plus graves, il est conseillé de contrôler son alimentation, et de privilégier :
Certains aliments, et habitudes alimentaires doivent être limités, voire éliminés pour mieux vivre la ménopause et éviter de développer d’autres symptômes ou de les accentuer :
L’exercice physique permet de maintenir une forme physique et mentale stable, et également de réguler l’activité hormonale pendant la ménopause. C’est aussi un moyen de prévenir les risques d’ostéoporose, de troubles du sommeil, de maladies cardiovasculaires ou encore de réduire le stress et l’anxiété.
Le but premier est de trouver une activité que vous aimez et qui vous fait du bien. Il est conseillé de pratiquer au moins 30 minutes d’activité physique dynamique par jour. Cette activité peut être réalisée au quotidien : en privilégiant la marche, le vélo, les escaliers… ou dans la pratique d’un sport comme le step, la gymnastique ou le fitness par exemple.
Une activité plus douce qui permet de relaxer le corps et l’esprit peut également être pratiquée pour maintenir la concentration et l’équilibre : yoga, pilates, natation, assouplissements…
La pratique d’une activité physique favorise la production d’endorphine dans le corps, et libère une sensation de bien-être grâce à la dopamine. Celle-ci limiterait les bouffées de chaleur. Les exercices pratiqués, qu’ils soient dynamiques ou doux, jouent un rôle important sur le bien-être physique et mental.
Si les symptômes s’aggravent et impactent trop votre quotidien, il faut tout de suite consulter un médecin. Celui-ci pourra trouver un traitement adapté pour mieux gérer la ménopause et la vivre plus sereinement.
Dès que les symptômes deviennent trop dérangeants, ou si des douleurs apparaissent, il vaut mieux consulter un médecin ou son gynécologue. Un diagnostic poussé sera effectué et si besoin un traitement médicamenteux peut être prescrit. Le médecin peut également donner des solutions naturelles pour atténuer les symptômes et vivre la ménopause de manière plus apaisée.
Certains symptômes de la ménopause peuvent être plus difficiles à gérer, et impacter la vie des femmes :
Plusieurs traitements principaux peuvent être prescrits par le médecin :
La prescription de THM (traitement hormonal) comporte des risques. Il est conseillé surtout pour les cas extrêmes. Il est délivré uniquement après un examen clinique, à renouveler tous les ans.
Le traitement hormonal THM peut être efficace sur tous les symptômes de la ménopause : bouffées de chaleur, sécheresse vaginale, ostéoporose… Il est surtout recommandé pour les femmes qui vivent une ménopause précoce (avant 40 ans) ou qui souffrent de faiblesse osseuse.
C’est un traitement qui comporte des risques. Il serait dangereux et pourrait causer des cancers du sein, de l’endomètre, des thromboses veineuses ou même des accidents vasculaires cérébraux. Bien que ces cas soient rares, le médecin doit prévenir la patiente avant toute prescription. Il faut noter que c’est un traitement temporaire : des bilans obligatoires doivent être effectués fréquemment pour définir s’il doit être poursuivi ou arrêté.
Les prescriptions et traitements sont différents pour chaque femme et varient en fonction de son âge, sa santé générale, ses symptômes, son mode de vie, ses antécédents…
La ménopause nécessite une approche personnelle et adaptée pour être mieux vécue. En cas de doutes ou de questions, n’hésitez pas à consulter un médecin qui saura vous conseiller au mieux.
Il ne faut pas oublier que la ménopause peut être un véritable bouleversement dans la vie d’une femme, surtout si elle est accompagnée de symptômes. Les impacts physiques et psychiques peuvent mettre plusieurs mois à se résorber. C’est la raison pour laquelle le soutien des proches est recommandé. En plus d’avoir un effet bénéfique sur le plan émotionnel, il peut également permettre de revaloriser l’image que les femmes ont d’elles-mêmes pendant cette période.
Différentes techniques permettent d’atténuer le stress et l’anxiété qui peuvent apparaître lors de la ménopause. L’important est de choisir des solutions qui vous font du bien, et avec lesquelles vous vous sentez mieux.
La pratique d’activités propices à la détente et à la relaxation telles que le yoga, la méditation ou la sophrologie, harmonisent le corps et l’esprit, et favorisent le contrôle de soi. Ces pratiques contribuent à ralentir le rythme cardiaque, à évacuer les tensions et à atténuer les troubles du sommeil.
Exercice de relaxation simple à effectuer à tout moment de la journée, en cas de stress ou de mal-être :
Si vous en ressentez le besoin, parlez de vos troubles à votre famille et/ou vos amis. Cette étape est propre à chacune. Généralement, elle permet d’éviter les conflits et de mieux gérer les changements. Parler des symptômes ressentis, qu’ils soient physiques ou mentaux, génère une meilleure compréhension de la part des proches.
C’est une solution qui permet de se sentir moins seule et de se rassurer. Les groupes de soutiens permettent de partager les expériences de chaque femme qui vit ou qui a vécu une ménopause plus ou moins facile.
Conseils sur l’alimentation, sur les exercices physiques, sur le quotidien… N’hésitez pas à partager vos expériences et votre vécu. Ils seront accueillis avec bienveillance et sans aucun jugement. Ces groupes ont un seul et unique but : aider à mieux gérer les symptômes et partager des astuces pour vivre la ménopause sereinement.
Aujourd’hui, grâce aux groupes, aux articles de blog et aux réseaux sociaux, vous pouvez vous renseigner facilement sur les symptômes fréquents et vous rendre compte que vous n’êtes pas seule à les vivre. Vous pouvez également mieux préparer votre ménopause. C’est un moyen de relativiser et de prendre conscience que cela ne dure qu’un temps, et que tout fini par passer et s’atténuer.
La fertilité est définie par la capacité à concevoir un enfant. Chez la femme, la "fenêtre" de fertilité, soit la période pendant laquelle un rapport sexuel peut mener à une grossesse, est d’environ 5 jours par mois. Pour tomber enceinte, il est important de bien comprendre et analyser et comprendre sa période de fertilité et d’ovulation, et de connaître les éléments qui permettent de booster sa fertilité.
Il existe des différences entre la fertilité féminine et masculine. Elles ne fonctionnent pas de la même façon, et se distinguent selon plusieurs critères :
Certains facteurs internes ou externes peuvent influencer la fertilité et augmenter les risques de difficultés à tomber enceinte :
Il existe des astuces pour booster sa fertilité naturellement et augmenter ses chances de tomber enceinte. Elles consistent à changer ses habitudes alimentaires, apprendre à gérer son stress, pratiquer une activité physique et éviter les substances qui ont des effets néfastes sur le corps et le système reproductif.
Avoir une alimentation saine et variée est primordial pour l’équilibre du corps, afin d’éviter les carences et préparer son corps à concevoir un enfant dans les meilleures conditions. Il est important de gérer son poids, et d’être stable.
Certains nutriments sont indispensables à la bonne santé reproductive, car ils jouent sur le fonctionnement de la thyroïde, les ovaires, l’hypophyse… Des éléments essentiels dans la reproduction. Il est donc conseillé d’avoir une alimentation saine et variée pour booster sa fertilité.
3 groupes de nutriments sont à privilégier pour avoir plus de chances de tomber enceinte :
Il peut être difficile d'apporter à son corps tous les nutriments et actifs nécessaires pour favoriser la fertilité naturellement. Pour cette raison, nous avons développé des cures naturelles à base de plantes et de minéraux essentiels, qui apportent les bienfaits nécessaires pour naturellement équilibrer les hormones du cycle menstruel, favoriser une ovulation saine et régulière et booster naturellement la fertilité.
Le Duo Rééquilibrage & Love contient nos deux cures BALANCE et LUST, qui agissent en synergie pour naturellement équilibrer le cycle et stimuler la fertilité.
Le mauvais gras, le sucre, le café en excès et l’alcool ont des conséquences néfastes sur le corps et le système reproductif. Leur consommation augmente le risque d’obésité, ce qui peut engendrer des difficultés à tomber enceinte. En effet, chez les femmes en surpoids, l'équilibre hormonal est souvent perturbé, et la fertilité peut être diminuée. De manière générale, les aliments irritants et inflammatoires sont néfastes pour l'équilibre hormonal, ce qui affecte fréquemment le cycle et donc la fertilité. L'ovulation peut alors être irrégulière ou de moindre qualité, ce qui peut causer des troubles de la fertilité par la suite.
Le stress est un autre facteur important pour la fertilité. Il diminue les chances de tomber enceinte en bouleversant le système hormonal. Le cortisol, l’hormone du stress déclenche des décharges d’adrénaline, ce qui met le corps tout entier en état de danger et de vigilance immédiat. Un stress chronique peut causer un état inflammatoire permanent, affectant la production des oestrogènes et de la progestérone, ce qui peut perturber le cycle menstruel dans son ensemble.
Il est important de s’écouter et de prendre soin de soi pour apprendre à se détendre et se relaxer. Pour cela, n’hésitez pas à vous autoriser des séances de méditation pour lâcher prise, mais aussi pour renforcer la production d’hormones spécifiques à la reproduction.
Se relaxer permet de réduire le niveau de stress et de poser son rythme cardiaque. Une position de yoga simple à effectuer chez soi est efficace pour augmenter ses chances de tomber enceinte, en jouant un rôle positif sur le physique et le psychique :
Cette position ouvre le bassin, ce qui améliore la circulation sanguine des organes reproducteurs et génitaux, tout en favorisant la détente et la relaxation.
Les hormones du stress augmentent les risques de dérèglements hormonaux et ont un effet néfaste sur la fertilité. Lorsque le corps est en situation de stress et/ou d’angoisse, il privilégie les fonctions vitales (cœur, cerveau, muscles…), et le système reproductif est donc mis au second plan.
Trop de stress peut engendrer une modification des cycles menstruels, un dérèglement hormonal et même une diminution de la mobilité des trompes, ce qui perturbe le transport des ovules et des spermatozoïdes.
Pratiquer de l’exercice physique permet de maintenir un poids stable, garder la forme et équilibrer ses hormones. Une activité sportive régulière est bénéfique pour aider à se sentir bien physiquement et mentalement.
Chaque femme doit choisir une activité qui correspond à ses capacités physiques, et surtout dans laquelle elle se sent bien. Il est conseillé de pratiquer environ 150 minutes d’activité physique modérée par semaine, et de trouver son équilibre.
Pour booster sa fertilité, le renforcement musculaire et le yoga sont efficaces. Ce sont des activités qui permettent de maintenir une santé globale et un poids stables. Elles agissent également sur la gestion du stress.
En revanche, les activités trop intenses et excessives sont déconseillées. Trop d'effort peut causer un état d'épuisement physique et mental, ce qui peut être frein dans la fertilité, et perturber le cycle menstruel et l’ovulation.
Les entraînements sportifs et les exercices physiques favorisent le maintien de l’équilibre hormonal. Lorsque vous effectuez une activité sportive, votre corps libère plusieurs hormones “du bonheur” (dopamine, sérotonine, endorphine…). Ce cocktail explosif favorise la sensation de bien-être.
La pratique sportive améliore également la santé globale, autant physique que mentale, ce qui offre de meilleures conditions pour la fertilité. Enfin, le cycle menstruel est régulé, le poids est équilibré, et la santé reproductive est optimale.
Des facteurs peuvent être néfastes à la fertilité et la reproduction. Ils sont à éviter pour booster sa fertilité et multiplier ses chances de tomber enceinte.
Le tabac et l’alcool sont les pires ennemis de la fertilité. Ils affectent la fécondité.
Le tabac réduit la fertilité et augmente les délais de conception. Il élève les risques de fausse couche et de mortalité pré-natale. Il peut également causer des problèmes au niveau de l’implantation de l’embryon.
L’alcool augmente le risque d’infertilité, le délai de conception et la possibilité de faire une fausse couche.
Il est conseillé de réduire ou d’arrêter totalement l’alcool et le tabac dès les premiers essais bébés pour avoir plus de chances de tomber enceinte et booster sa fertilité.
Les perturbateurs endocriniens sont des agents chimiques capables d’interférer dans le système hormonal. Ils ont des conséquences négatives sur la fertilité et favoriseraient la stérilité. Ces substances sont présentes dans de nombreux produits cosmétiques : maquillage, shampoing, dentifrice, vernis à ongles…
Toxiques pour la reproduction, les perturbateurs endocriniens sont à éviter au maximum pour booster sa fertilité et éviter les risques. Pour cela, il faut consulter la liste d’actifs cosmétiques et savoir les reconnaître :
Afin d’éviter les risques avant et pendant la grossesse, il est conseillé de privilégier les cosmétiques sans perturbateurs endocriniens. Il faut être vigilant et savoir décrypter les étiquettes.
Les produits les plus sûrs sont les cosmétiques naturels, car ils répondent à un cahier des charges très strict concernant les actifs et ingrédients utilisés. Choisissez-les avec le moins d’ingrédients possibles. Plus la liste est courte, plus le produit est sûr !
Notre astuce pour éviter au maximum les perturbateurs endocriniens : écarter les actifs qui commencent par “B” ou par “P” comme par exemple le poly paraben, le BHA ou encore le BHT… Réduisez votre routine beauté et ne gardez que l’essentiel pour éloigner les risques.
Chaque femme est différente et peut avoir un cycle menstruel régulier ou pas, avec des règles plus ou moins abondantes, avec ou sans symptômes. Pour booster sa fertilité, il faut connaître son corps et savoir déceler les signes qui annoncent l'ovulation pour tomber enceinte plus facilement.
La période d’ovulation est la période la plus fertile, où le corps est propice à la fécondation. Le cycle menstruel débute le premier jour des règles et se termine au premier jour des règles suivantes. On considère qu'un cycle menstruel sain dure entre 21-35 jours et ne varie pas de plus de 4-5 jours d'un cycle à l'autre.
La phase lutéale (la phase entre l'ovulation et les règles) a une durée à peu près fixe de 14 jours. L’ovulation intervient donc environ 14 jours avant les règles, et dure environ 5 jours. Pour connaître la date approximative de son ovulation, on peut calculer environ 14 jours avant la date prévue des prochaines règles, à condition d'avoir un cycle régulier.
Des aides existent pour calculer sa période d’ovulation plus facilement et ainsi avoir plus de chances de concevoir un enfant :
Des signes annoncent l’arrivée de la période d’ovulation. Ils sont différents selon les femmes. Certaines en ressentent quelques uns, d’autres un peu plus, d’autres encore aucun !
Parmi les signes les plus fréquents, on retrouve :
Certaines situations anormales peuvent définir un problème de fertilité. Dans ce cas, il est conseillé de consulter un médecin.
A partir du moment où un couple a des difficultés à faire un enfant depuis plus de deux ans, malgré un suivi et des rapports sexuels réguliers, il est conseillé de consulter un professionnel de santé. C’est le gynécologue qui prendra en charge les examens et les prescriptions médicales possibles.
En cas de difficultés à procréer, un bilan de fertilité est effectué. Chez la femme, il consiste à vérifier l’absence de troubles de l’ovulation, et le bon fonctionnement de l’utérus et des trompes. Chez l’homme, un spermogramme est prescrit pour vérifier si le sperme contient assez de spermatozoïdes avec une mobilité suffisante pour féconder l’ovule.
Ce sont des traitements et des assistances prescrits par le médecin pour booster la fertilité en cas de bilan négatif.
Il existe différents types de traitements prescrits par les médecins. Principalement, ils servent à stimuler l’ovulation. Il peuvent être donnés sous la forme de médicaments (Clomifène, Citrate ou Clomidol), efficaces en cas de dérèglement hormonal, ou par injection (Bromocriptine).
Si les traitements ne fonctionnent pas, il faut alors privilégier la solution de la procréation médicalement assistée (PMA).
C’est un traitement de PMA qui consiste à introduire un échantillon de sperme directement dans l’utérus de la femme (provenant de son conjoint ou d’un donneur).
L’insémination artificielle augmente les chances de tomber enceinte car avant d’être injecté, le sperme est traité en laboratoire, et seuls les spermatozoïdes assez mobiles pour féconder sont sélectionnés. Ensuite, une stimulation ovarienne est effectuée, et le dépôt de l'échantillon a lieu au moment de l’ovulation.
Il s’agit d’une reproduction en laboratoire de la fécondation et des premières étapes du développement de l’embryon.
La FIV comporte plusieurs étapes :
Le parcours pour booster la fertilité est différent en fonction de chaque situation. Il doit être adapté aux besoins et aux envies du couple.
En cas de difficultés à concevoir un enfant, un bilan de fertilité doit être effectué avec un médecin pour définir le traitement ou l’aide le plus adapté à la situation. Il est important de savoir d'où vient le problème pour pouvoir le traiter.
Enfin, le soutien des proches et de la famille est primordial pendant ces périodes qui peuvent être difficiles à vivre. Lâchez prise, et prenez soin de vous !
La sensation de jambes lourdes est un phénomène normal qui peut survenir pendant les 9 mois de grossesse, soit dès le début de la grossesse. Il est lié à une mauvaise circulation sanguine, due aux changements physiques et physiologiques qui impactent le corps pendant cette période.
La grossesse chamboule le corps des femmes, et la sensation de jambes lourdes peut être causée par plusieurs facteurs qui impactent la circulation sanguine :
Toutes ces raisons peuvent expliquer que le phénomène de jambes lourdes soit très commun tout au long de la grossesse. C’est une manifestation fréquente chez les femmes enceintes, qui généralement s’amplifie pendant les 9 mois jusqu’au terme, au fur et à mesure que le ventre s’arrondit.
Les symptômes à reconnaître si vous pensez souffrir de jambes lourdes :
La grossesse a un impact direct sur la circulation sanguine. Dès le deuxième trimestre, le ventre devient plus volumineux, l’utérus s’élargit et grandit. Il va alors appuyer sur la veine cave, une veine située sur le côté droit du corps, chargée de ramener le sang des membres inférieurs dans le cœur. Cette compression rend le retour veineux plus difficile, le sang stagne dans les jambes, ce qui engendre la sensation de jambes lourdes. Ce phénomène est physiologique, il est quasiment inévitable. D’autant plus qu’il est accentué par le bouleversement hormonal généré par la grossesse, qui peut affaiblir la tonicité des vaisseaux et créer des oedèmes.
Pour soulager les jambes lourdes, le but premier est d’activer la circulation sanguine pour favoriser le retour veineux et éviter que le sang stagne dans les membres inférieurs.
Cette astuce permet de faire remonter le sang vers le cœur et le haut du corps. Elle consiste à surélever légèrement les jambes et/ou les pieds. Pour cela, il suffit de placer un coussin sous les chevilles lorsque vous êtes allongée sur le canapé ou sur le lit. Il est également possible de remonter les pieds du lit de 10cm uniquement sur le bas, ou encore de placer les pieds sur un mur à la verticale quelques minutes, le temps de relancer la circulation sanguine.
Les techniques de massages sont efficaces pour soulager les jambes lourdes. Le but est d’effectuer des mouvements circulaires sur les mollets en remontant des pieds jusqu’aux cuisses. Toujours de bas en haut pour activer le retour veineux. Ces techniques favorisent également la détente musculaire et la relaxation.
Le conseil Circles :
Si vous en possédez, vous pouvez utiliser une pierre de Gua Sha pour stimuler la circulation sanguine et faciliter le retour veineux des jambes. Placez le Gua Sha en position de départ légèrement inclinée sur le bas de vos jambes et remontez doucement en appuyant légèrement et en gardant le Gua Sha incliné, des chevilles jusqu'au haut des cuisses. Le bonus : cette technique serait également efficace pour atténuer les marques de cellulite et détendre les muscles des membres infériueurs !
Il est préférable d’éviter les vêtements trop serrés, les chaussures à haut talon ou encore avec des lanières, qui ont tendance à comprimer les veines et les vaisseaux, ce qui provoque des gonflements et une mauvaise circulation sanguine. Privilégiez les chaussures avec une semelle plate ou peu de talon, et des lacets ou des scratchs qui permettent d’adapter et de régler la largeur de la chaussure en fonction de l’état du pied.
Tout comme on applique du froid pour éviter un hématome après un choc, le froid contribue à atténuer la réponse inflammatoire et aide à réduire les gonflements des jambes et la sensation de lourdeur due à une mauvaise circulation dans les jambes.
Le froid peut aider à tonifier les vaisseaux sanguins et faciliter le retour veineux. Si vous souffrez de jambes lourdes, vous pouvez faire un bain de pied (pas trop) chaud, puis un bain de pied froid (alternative : doucher vos pieds à l'eau chaude, puis l'eau froide). Pour ce faire, plongez vos pieds environ 5 minutes dans de l'eau chaude, puis dans de l'eau froide. Terminez par sécher vos pieds (sans repasser par l'eau chaude) et mettez des chaussettes en laine pas trop serrées.
Le bonus : cette technique est également efficace en cas de pieds froids (si si !) et aide à faciliter l'endormissement !
La nutrition joue aussi un rôle important pour soulager les jambes lourdes et réactiver la circulation sanguine pendant la grossesse.
Pour réduire la sensation de jambes lourdes, il est important d’avoir une alimentation saine et équilibrée, de privilégier certains aliments et d'en limiter d'autres.
Privilégier :
Éviter :
Une bonne hydratation est primordiale au quotidien, particulièrement pendant la grossesse. En effet, l’eau est un véritable allié de la santé du fœtus et le bien-être de la future mère. Il est conseillé aux femmes enceintes de boire jusqu’à 2 litres d’eau par jour, de préférence faible en nitrates. L’hydratation permet de lutter contre le phénomène de jambes lourdes en favorisant l’élimination et le drainage des déchets, tout en évitant les infections urinaires et la constipation. Cela parait évident, mais répétons-le, la consommation d’alcool est très néfaste pour le fœtus, et elle est totalement interdite pendant la grossesse.
Certaines habitudes alimentaires doivent être évitées, voire proscrites pour minimiser les effets des jambes lourdes pendant la grossesse :
Privilégiez plutôt des boissons sans café, comme le MOCHA RITUAL, notre alternative saine et sans café, à base de cacao et chicorée et au reishi adaptogène.
Vous pouvez aussi régulièrement boire COMFORT, notre infusion drainante conçue pour aider à renforcer l'équilibre intime et urinaire. Elle contient des plantes drainantes, qui aident à éliminer les toxines et soutient la fonction rénale. Son bon goût de lavande apaisant lui confère également des propriétés relaxantes.
Même pendant la grossesse, il est primordial de garder une activité physique régulière. Des mouvements simples et adaptés aux femmes enceintes peuvent être pratiqués pour favoriser le retour veineux et réduire la sensation de jambes lourdes.
La marche est l’activité idéale pour améliorer le retour veineux en cas de jambes lourdes. En effet, au contact du sol, les veines situées sous les voûtes plantaires s’écrasent et les muscles du mollet se contractent. Cela propulse le sang efficacement dans les membres supérieurs du corps et dans le cœur.
D’autres activités adaptées à la grossesse comme le vélo d’appartement, le yoga prénatal ou encore la gymnastique douce permettent également de maintenir la santé physique tout en améliorant la circulation sanguine.
Des mouvements et exercices simples peuvent être pratiqués par les femmes enceintes à tout moment de la journée pour soulager les jambes lourdes et relancer la circulation sanguine :
Sans contre-indication particulière, les femmes enceintes peuvent pratiquer une activité aquatique. En plus de diminuer les maux de grossesse comme les nausées ou les œdèmes, elles réduisent le stress et l’anxiété en favorisant la détente des muscles. Enfin, le fait de pratiquer une activité dans l’eau apporte une sensation de légèreté immédiate et soulage les jambes lourdes.
Des solutions naturelles peuvent soulager les jambes lourdes pendant la grossesse et apaiser les symptômes bénins.
Les bas de contention peuvent être prescrits par un médecin, une sage-femme ou un gynécologue. Avec une ordonnance, ils sont totalement remboursés par la sécurité sociale. Lorsqu’ils sont portés, les bas de contention favorisent le retour veineux en raison d’une compression permanente au niveau des pieds et des mollets, ou sur toute la jambe s’il s’agit de collants. Leur prescription est particulièrement recommandée pour les femmes qui travaillent debout en position statique pendant de nombreuses heures consécutives.
En pharmacie, il existe des crèmes spécifiques pour soulager les jambes lourdes pendant la grossesse. Elles sont composées de substances vasculoprotectrices et veinotoniques comme les flavonoïdes, la troxérutine ou encore la diosmine, ou bien formulées à base de plantes médicinales qui activent la circulation sanguine.
Certaines huiles essentielles peuvent être utilisées localement, mélangées à une huile végétale neutre. C’est le cas de l’huile essentielle de pamplemousse ou de lentisque pistachier, qui ont des propriétés de décongestionnant veineux et lymphatique. L’application s’effectue par de légers massages en partant du pied et en remontant vers la cuisse. Attention, l’utilisation des huiles essentielles pendant la grossesse doit être contrôlée. Demandez conseils à votre médecin ou pharmacien.
La phytothérapie peut être efficace en cas de jambes lourdes pendant la grossesse. Il s’agit de médecine alternative, avec des produits formulés à base d’extraits de plantes aux vertus diverses :
Ces plantes peuvent être consommées en tisanes, huiles essentielles ou compléments alimentaires. Demandez un avis médical avant de commencer le traitement.
Si les symptômes persistent, et sont accompagnés de douleurs, d'œdèmes ou de varices, il faut immédiatement consulter un médecin qui pourra prescrire le traitement adéquat.
Certains signes doivent alerter en cas de jambes lourdes pendant la grossesse. Si vous remarquez l’un d’entre eux, consultez votre médecin ou gynécologue :
Après auscultation, le médecin prescrit à la patiente un traitement pour soulager ses jambes lourdes :
Tous ces traitements, médicamenteux ou non, ont pour but de relancer la circulation sanguine pour éviter l’accumulation de sang dans les membres inférieurs, et ainsi soulager les sensations de jambes lourdes.
Seul un médecin peut prescrire le traitement adapté en fonction du problème. Il existe plusieurs solutions en fonction des symptômes et des antécédents de la personne concernée. Certains traitements ou solutions naturelles sont déconseillés aux femmes enceintes et nécessitent un avis médical.
Pendant la grossesse plus que jamais, pensez à écouter votre corps ! Prenez soin de vous, et si vous avez un inconfort lié à des symptômes de jambes lourdes, choisissez la solution naturelle qui vous convient le mieux. Si cela ne suffit pas, n’hésitez pas à en parler à votre médecin.
Les stratégies à retenir pour mieux gérer les sensations de jambes lourdes pendant la grossesse :
Si vous êtes enceinte, pensez à trouver une activité physique adaptée comme la marche, le yoga prénatal ou encore la gymnastique douce. En plus de vous maintenir en forme, ces sports vont favoriser la relaxation et évacuer le stress et l’anxiété. Essayez d’avoir une alimentation équilibrée, pas trop grasse ni sucrée, et surtout buvez beaucoup d’eau.
Si vous souffrez de jambes lourdes, et qu’aucun de nos conseils vous soulagent, consultez votre médecin.
Avoir la peau sèche est un trouble cutané fréquent pendant la grossesse. Cette sensation de tiraillement et de déshydratation peut parfois être accompagnée de rougeurs, de desquamations ou encore de démangeaisons. Ce phénomène peut provenir de plusieurs facteurs, mais il est en partie causé par les hormones qui rendent la peau plus fragile et sensible pendant cette période.
Prendre soin de sa peau pendant la grossesse est important pour éviter les sécheresses et d’autres désagréments et risques liés au soleil ou à l’utilisation de produits cosmétiques inadaptés.
Les changements hormonaux pendant la grossesse sont de vrais bouleversements pour l’équilibre de la peau. Ils peuvent être à l’origine de modifications telles que l’apparition d’acné, de sécheresses cutanées, voire d’une évolution totale du type de peau.
A cause des hormones de la grossesse, le film hydrolipidique, qui a un rôle de barrière protectrice, est altéré et fragilisé. C'est un processus normal et naturel, qui se traduit souvent par le fait que la peau devient fragile, sensible, et se déshydrate plus facilement.
Les hormones sont responsables de tous les petits maux qui peuvent survenir pendant la grossesse : fatigue, nausées, jambes lourdes, peau sèche… Ces désagréments sont en partie causés par la quantité d’œstrogènes, une hormone indispensable dans le fonctionnement du système reproductif, qui augmente considérablement pendant la grossesse. C'est ce qui se passe quand la peau devient sèche pendant la grossesse : un taux d’œstrogènes élevé fragilise les fibres du derme, et cela a un impact direct sur l’hydratation de la peau. Elle a tendance à être moins élastique, plus sèche, déshydratée et sensible au soleil. C’est ce qui explique également le risque de vergetures plus élevé pendant la grossesse.
En plus des changements hormonaux, l’altération du film hydrolipidique de la peau peut être la conséquences de facteurs externes ou internes : la génétique, un air extérieur froid ou sec, une hygiène corporelle excessive, une eau trop calcaire ou encore des produits cosmétiques inadaptés.
Plusieurs signes et symptômes sont reconnaissables en cas de peau sèche pendant la grossesse. Il faut savoir identifier une peau sèche, et la différencier d’une peau déshydratée (parce que ce n'est pas la même chose !) pour mieux la traiter.
Les peaux sèches ont tendance à tirailler, elles peuvent être accompagnées de démangeaisons, de sensations d’inconfort, de rougeurs ou encore de desquamations. Cela peut amener à des gerçures, une peau rugueuse ou même des lésions cutanées causées par les grattages fréquents.
Il faut différencier la peau sèche et la peau déshydratée.
Peau sèche : c’est un type de peau, au même titre que la peau grasse ou la peau mixte. La peau sèche est en manque de nutrition et de corps gras. Elle tiraille, elle est fine et manque généralement de douceur, car son film hydrolipidique est altéré. Cela peut même causer des plaques de sécheresse ou des desquamations.
Peau déshydratée : c’est un état de peau, comme la peau mature, sensible, ou fatiguée par exemple. Elle est en manque d’eau, et doit être hydratée. La peau déshydratée l'est généralement suite à un évènement extérieur qui lui a fait perdre de l'eau, par exemple à cause d'une forte chaleur ou d'un air très sec. Il est possible de remarquer une peau déshydratée en cas de tiraillement après la douche ou en extérieur. La sensation d’inconfort peut survenir uniquement sur certains endroits du visage ou du corps. Sur certaines zones, comme la zone “T” (front, nez, menton), les pores peuvent être dilatés.
Une peau peut être sèche ET déshydratée !
Certaines habitudes et routines de soin peuvent être mises en place pour éviter ou traiter la peau sèche pendant la grossesse.
L’eau joue un rôle essentiel au quotidien, mais surtout pendant la grossesse. Elle a plusieurs missions. Elle aide à véhiculer les nutriments, vitamines et minéraux responsables de la croissance du fœtus, de former un volume suffisant de liquide amniotique, et également de pallier les besoins importants pour la maman en calcium et magnésium.
Une femme enceinte doit donc boire davantage d’eau, minimum 1,5 et 2L d’eau par jour, et plus en cas de forte chaleur. Boire suffisamment d’eau aide à réguler la tension artérielle, favoriser le bon fonctionnement des reins et éviter certains désagréments liés à la grossesse comme les infections urinaires ou la constipation.
On trouve des sources naturelles d'hydratation dans nos verres, mais aussi dans nos assiettes, via l’alimentation ! Pour maintenir une quantité suffisante d’eau dans le corps pendant la grossesse, il est conseillé de privilégier les fruits et légumes comme les agrumes, la tomate, le concombre ou encore le melon et la salade verte. Ils sont naturellement riches en eau, car ils en contiennent entre 80% et 90%, mais également en magnésium, potassium et vitamine C, des nutriments essentiels au bon fonctionnement neuromusculaire.
Les soins externes sont tout aussi importants pour garder une peau hydratée. Il existe des types de crèmes à privilégier en cas de peau sèche pendant la grossesse. Il s’agit de textures onctueuses, de type baume, huile ou crème riche. La peau a besoin de nutrition, d’hydratation et de réconfort, elle doit être cocoonée !
Pour le démaquillage, il vaut mieux éviter au maximum les eaux micellaires qui ont tendance à assécher la peau. En cas de peau sèche, le double nettoyage avec une huile et un gel lavant doux est davantage adapté, car il permet de nettoyer en douceur sans trop aggresser la peau.
Pour le visage :
Chaque semaine, la routine peut être complétée par un exfoliant doux qui va permettre de nettoyer et de retirer les peaux mortes, puis par l’application d’un masque hydratant et/ou nourrissant à base d’aloe vera, de miel ou d'avoine, à laisser poser quelques minutes pour réconforter la peau en profondeur. Après ces étapes, la peau est réhydratée, nourrie et le teint est plus lumineux.
Pour le corps :
Les femmes enceintes ont la peau plus fragile et plus sensible aux risques liés au soleil. Il est important d’adapter ses habitudes en termes d’expositions solaires, mais aussi d’utiliser les produits cosmétiques adaptés pendant la grossesse.
Le soleil peut avoir plusieurs conséquences néfastes sur la peau, surtout pendant la grossesse :
Il est primordial de se protéger efficacement pour prendre soin de sa peau pendant la grossesse et éviter au maximum ces désagréments. Pour cela, l’hydratation et la nutrition de la peau au quotidien sont importantes, ainsi que l’application d’une haute protection UVA/UVB (indice UV50 non négotiable) chaque jour, et à renouveler en cas d’exposition prolongée. Enfin, en cas de forte chaleur, il est préférable d'éviter les sorties entre 12h et 16h si vous êtes enceinte, et protégez vous toujours avec un chapeau et des lunettes de soleil. Si vous êtes enceinte, pensez surtout à boire beaucoup d’eau pour rester hydratée, et ainsi préserver votre santé et celle de votre futur bébé.
Pendant la grossesse, la peau est plus sensible. Les produits choisis doivent être doux, et le plus naturel possible. Il est conseillé d’éviter au maximum les cosmétiques contenant des ingrédients controversés ou des ingrédients irritants comme le parfum ou les huiles essentielles pour éviter les irritations. Certaines substances sont déconseillées pendant la grossesse, ces matières sont à éviter absolument pendant toute la période de la grossesse.
Quelques conseils pour gérer les peaux sèches et sensibles :
Il existe des produits cosmétiques et des cures adaptés aux femmes enceintes et allaitantes. Pour prendre soin de vous pendant cette période importante, nous vous recommandons de choisir des produits naturels, sûrs et adaptés.
Au niveau des produits cosmétiques (soins lavants, crèmes, baumes, maquillage…) il vaut mieux privilégier les ingrédients naturels, sans parfums et doux.
Pour améliorer votre confort tout au long de la grossesse, des cures Circles sont disponibles, et compatibles pour les femmes enceintes et allaitantes :
MOCHA RITUAL : une poudre cacao-chicorée naturelle aux bienfaits divers, à boire en boisson chaude, idéale pour remplacer le café. Elle favorise l’équilibre mental, aide à lutter contre le stress et à être plus sereine. Cette cure est adaptée à toutes les femmes, à tout moment de l’année, même pendant la grossesse.
Le bonus : naturellement riche en prébiotiques grâce à la chicorée, le MOCHA RITUAL est idéal pour réguler le transit et la digestion.
COMFORT : c’est notre infusion riche en plantes médicinales aux propriétés diurétiques et apaisantes, adaptée à la grossesse. Idéale pour l’équilibre intime et urinaire car elle est anti-inflammatoire et antibactérienne, la cure COMFORT est aussi efficace pour aider à naturellement renforcer le système immunitaire. COMFORT est également idéale pour apaiser le corps et l'esprit, grâce à la présence de lavande, une plante qui aide à favoriser naturellement la détente.
Pensez aux remèdes naturels de grand-mère pour prendre soin de votre peau sèche ! Ils sont sains et purs, et s’adaptent à la grossesse, sans risques. Parmi les plus efficaces, on retrouve :
Enfin, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de professionnels de santé (pharmaciens, médecins…) ou de la peau (dermatologues, esthéticiennes…) pour trouver les produits cosmétiques adaptés aux peaux sèches pendant la grossesse, et les habitudes de vie à mettre en place : s’hydrater, consommer des aliments riches en vitamines et en eau, appliquer une routine de soin hydratante et non agressive, ou encore utiliser des cures naturelles pour favoriser le bien-être à différents niveaux : digestion, peau, stress…
Si le problème persiste, il peut s’agir d’eczéma de grossesse. En général, cette pathologie se manifeste dans les plis du corps : coudes, genoux, cou, mains… et sur les zones de frottement, avant le troisième trimestre. Elle est reconnaissable par certains signes comme l’apparition de plaques rouges sur le corps avec de fortes démangeaisons, qui ne sont pas calmée par l’application d’une crème nourrissante classique. Si vous ressentez ces symptômes, consultez votre médecin. Il vous examinera, posera un diagnostic et pourra ainsi vous prescrire un traitement adapté aux femmes enceintes.
Avec le changement de saison, le changement d'heure, le retour du froid, du vent et de la dépression saisonnière, notre système immunitaire peut être affaibli. Au bureau, à l'école ou dans le métro, les virus et les microbes circulent et profitent allégrement du fait que notre système immunitaire n'est pas toujours au top de sa forme.
Pour vous aider à naturellement booster vos défenses immunitaires et prendre soin de votre bien-être mental et physique, on vous partage aujourd'hui 3 nouvelles recettes pour vous aider à utiliser le GOLDEN RITUAL autrement et profiter quotidiennement de ses vertus inégalables pour booster l'immunité !
Commençons par le début, qu'est-ce que le GOLDEN RITUAL ? Le GOLDEN RITUAL est inspiré du traditionnel golden milk, ou "lait d'or", une boisson millénaire issue de la tradition ayurvédique, bien connue pour ses divers bienfaits pour la santé : santé de la femme, équilibre hormonal, bienfaits pour la peau, pour le sommeil, contre le stress...
Mais le GOLDEN RITUAL, ce n'est pas que un golden milk version Circles ! Il contient en plus un ingrédient spécial — plus précisément, un champignon adaptogène — qui mérite d'être connu et apprécié de tous !
Dans le GOLDEN RITUAL, le golden milk ou "lait d'or" version Circles, nous avons choisi de l'enrichir en maïtaké, un champignon adaptogène dont les multiples bienfaits pour booster les défenses immunitaires ont été démontrés par la recherche scientifique.
Le maïtaké, de son nom scientifique Grifola frondosa, est un champignon comestible originaire du Japon, de Chine et d'Amérique du Nord. Il est parfois appelé "champignon dansant", non pas pour des capacités particulières à danser ou bouger au rythme du vent, mais parce qu'on raconte que les gens dansaient de joie lorsqu'ils en trouvaient, en raison de sa valeur et de ses prétendus bienfaits pour la santé.
Le maïtaké peut être consommé en cuisine, comme un aliment 'normal', mais il est également très utilisé en médecine traditionnelle à cause de ses incroyables propriétés médicinales, notamment ses effets immunomodulateurs, antidiabétiques et anticancéreux (plutôt pas mal pour un seul champignon !).
Pour vous aider à comprendre pourquoi il n'y a pas une, mais 7 bonnes raisons (et encore, on a essayé de se limiter à l'essentiel, car il y en a d'autres !) de consommer du maïtaké et comment il peut devenir votre meilleur allié bien-être et immunité au quoitidien, on a rassemblé ici le détail de ses bienfaits.
Le maïtaké est surtout connu pour sa capacité à renforcer les défenses immunitaires. Comment ça marche ? Pour faire simple : il booste la production des cellules qui constituent le système immunitaire : les lymphocytes et les interleukines (secreted proteins) ce qui améliore la réponse immunitaire de l'organisme contre les aggresseurs (virus et bactéries). Des études prometteuses semblent indiquer que le maïtaké pourrait même avoir la capacité d'aider l'organisme à l'identification et la destruction de cellules cancéreuses.
Le maïtaké doit ses bienfaits anti-inflammatoires, principalement à la présence de polysaccharides et d'autres composés bioactifs. En améliorant la réponse immunitaire, le maïtaké contribue à réduire l'inflammation chronique. Cet effet anti-inflammatoire du maïtaké en fait un ingrédient très utile pour contribuer à prévenir ou apaiser les symptômes liés à certaines maladies inflammatoires ou auto-immunes, notamment pour aider à cibler la douleur comme en cas d'endométriose ou d'adénomyose.
On entend parler de plus en plus de l'importance de réguler sa glycémie (= le taux de sucre dans le sang) et de l'impact de la glycémie sur le maintien d'un poids stable, d'un équilibre hormonal sain, pour lutter contre les fringales ou la fatigue... Le maïtaké contient des molécules qui contribuent à naturellement améliorer la sensibilité à l'insuline et, par conséquent, à réguler le taux de sucre dans le sang.
Cet effet régulateur de la glycémie est également bénéfique pour aider à réduire l'acné et lutter contre l'inflammation liée à l'alimentation.
Pauvre en calories, riche en bienfaits et très riche en fibres, le maïtaké est ultra bénéfique pour réguler la glycémie (ça, on sait) mais également augmenter la sensation de satiété et réguler l'appétit. Pour cette raison, une tasse de GOLDEN RITUAL le matin est idéale pour lutter contre les fringales et réguler l'appétit tout au long de la journée ;)
En plus de cet effet "rassasiant", certaines études suggèrent que les polysaccharides présents dans le maïtaké pourraient avoir un effet modulateur sur le métabolisme des lipides, ce qui favorise la perte de poids.
Le maïtaké est une source naturelle de vitamine D, une vitamine essentielle à la santé articulaire et osseuse, au bon fonctionnement du système immunitaire et à la bonne humeur. La source principale de vitamine D pour le corps humain est la lumière naturelle du soleil, mais nous avons fréquemment tendance à être carencés en vitamine D en hiver, à cause du manque de luminosité. Une carence en vitamine D peut se traduire par une humeur dépressive, une plus grande fragilité aux virus ou aux bactéries, des os et des articulations moins résistants, une fatigue importante et une chute de cheveux.
En période automnale/hivernale, il est important de veiller à un apport suffisant de vitamine D par l'alimentation ou en supplémentation pour combler au manque de luminosité, surtout pour les femmes préménopausées ou ménopausées.
Le maïtaké comporte de nombreux bienfaits pour les femmes atteintes par le Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK). Comme déjà évoqué, ce champignon possède des propriétés qui peuvent améliorer la sensibilité à l'insuline, souvent altérée dans le SOPK, contribuant ainsi à la régulation de la glycémie.
Bien que les recherches soient encore en cours, le maïtaké pourrait également avoir un impact positif sur l'équilibre hormonal et présente des propriétés anti-inflammatoires qui pourraient être bénéfiques pour les symptômes associés au SOPK. Enfin, ses effets bénéfiques pour soutenir la perte de poids pourraient également être avantageux pour les femmes atteintes de ce syndrome, car la résistance à l'insuline peut souvent se traduire par une prise de poids inexpliquée ou par de grandes difficultés à perdre du poids.
En plus de son effet anti-inflammatoire et régulateur de la glycémie, le maïtaké aide à prendre soin de la peau en interne. Le maïtaké est très riche en nutriments, il contient diverses vitamines — vitamine B6, vitamine D, vitamine C — et en antioxydants, qui combattent les radicaux libres responsables du vieillissement cutané et aident à lutter contre le stress oxydatif. de ses propriétés anti-inflammatoires qui peuvent atténuer certaines affections cutanées, et de sa capacité à produire de la vitamine D, essentielle pour le renouvellement cellulaire.
Une étude a même démontré que les bienfaits de "protecteur cellulaire" du maïtaké contribuent à protéger la peau des effets néfastes de l'exposition au bisphénol A (BPA), un perturbateur endocrinien présent dans de nombreux produits qui contiennent du plastique. Dans le cadre de cette étude, le maïtake semble avoir aidé à protéger la peau de l'inflammation et des dommages causés par le BPA.
En bref, on ne vous a pas menti, le maïtaké le maïtaké porte bien son surnon de "champignon dansant", nous aussi on va se mettre à danser de joie au moment de préparer notre prochaine tasse de GOLDEN RITUAL !
Traditionnellement, le GOLDEN RITUAL se boit en boisson cocooning avec du lait, mais on peut aussi le déguster de différentes manières, afin de varier les plaisirs et se faire du bien autrement chaque jour.
Voici nos 3 recettes pour utiliser le GOLDEN RITUAL autrement et profiter de ses bienfaits pour au quotidien.
Les ingrédients
Préparation
Ingrédients
Préparation
Ingrédients pour un pain (16 tranches) :
Préparation :
Variante : Avant la cuisson, ajouter 30 g de chocolat noir haché (70 % de cacao) à la pâte.
Le changement de saison et les variations de températures du passage de l'été à l’automne peuvent engendrer une chute de cheveux plus ou moins accentuée selon les personnes. C’est un phénomène normal et naturel, car tout au long de la vie, les cheveux se renouvellent sans cesse, et ils sont impactés par plusieurs facteurs internes et/ou externes.
Jour après jour, les cheveux naissent, poussent, puis meurent et tombent. Il est donc normal de perdre entre 50 et 100 cheveux environ quotidiennement. A l’arrivée de l’automne, au même titre que les feuilles qui tombent des arbres, la chute de cheveux à tendance à être plus fréquente. Cette perte est directement reliée au renouvellement cellulaire qui s’accélère pendant cette période.
Pour mieux comprendre le phénomène de chute de cheveux, il faut d’abord s’intéresser au cycle de vie du cheveu. Celui-ci est découpé en 3 phases :
Tous les cheveux sont destinés à mourir et à tomber pendant la phase télogène, c'est simplement la fin du cycle de vie du cheveu. Mais le changement de saison, surtout l’automne peut accentuer ce phénomène car pendant l’été, les cheveux sont plus fragilisés en raison d’une surexposition au soleil, aux températures élevées, ou encore à l’eau de mer ou au chlore de la piscine. Si vous avez pensez constater une augmentation de la chute de vos cheveux à l'automne avec le changement de saison, vous ne rêvez sans doute pas, l'explication est là.
Plusieurs éléments peuvent accélérer la chute de cheveux en automne comme par exemple les hormones, ou encore les facteurs extérieurs qui les fragilisent au quotidien, notamment pendant l’été.
Le bon fonctionnement du corps et de l’organisme est dicté par tout un tas d’hormones différentes. Un changement hormonal ou un déséquilibre peut causer une perte de cheveux. Par exemple, après la grossesse, suite à un arrêt pilule ou pendant la ménopause.
L’automne est marqué par le changement de saison : les températures baissent, il fait plus froid, plus humide, la lumière devient plus rare. Ces facteurs peuvent être accompagnés par une augmentation du stress, une fatigue immunitaire plus importante, voire des carences... Tous ces facteurs peuvent également avoir un impact sur la santé capillaire et causer une chute de cheveux plus importante.
Afin de mieux appréhender cette saison, il est conseillé de prendre soin de bien manger, car une alimentation saine, va aider à booster les défenses immunitaires et augmenter la résistance de l'organisme aux agressions quotidiennes du froid ou des virus saisonniers.
En supplément, n’hésitez pas à préparer votre corps avec nos cures naturelles pour booster vos défenses immunitaires et soutenir votre santé capillaire grâce à nos cures de la gamme Peau & Cheveux.
Le GOLDEN RITUAL est une boisson inspirée de la tradition ayurvédique. Riche en épices anti-inflammatoires, le GOLDEN RITUAL contient également du maitaké, un champignon adaptogène dont l'efficacité pour réguler la glycémie et soutenir le système immunitaire a été démontré par plusieurs études au cours des dernières années. Le maitaké est également une source naturelle de vitamine D, aka la vitamine du soleil, qui nous manque cruellement quand arrive la saison froide et que le temps d'ensoleillement commence à baisser. Bref, le GOLDEN RITUAL, c'est LA boisson à adopter pour bien faire face à l'automne et au froid et renforcer ses défenses immunitaires !
Le Trio Peau & Cheveux, c'est notre trio de choc : il contient les cures CLEAR et GROW, respectivement dédiées à la santé de la peau et des cheveux. Les cures agissent en synergie pour cibler la cause hormonale des troubles cutanés comme l'acné, les rougeurs ou les irritations et de la chute de cheveux. Elles aident à détoxifier le corps, soutenir la santé de la peau et des cheveux en interne et lutter contre les carences potentielles qui peuvent être à l'origine des déséquilibres. Notre infusion détoxifiante RESET vient compléter le trio : équilibrante et apaisante, elle aide à atténuer les rougeurs et les irritations de la peau et du cuir chevelu. Elle contient de la prêle, une plante naturellement riche en silice, un minéral essentiel qui aide à stimuler la production de collagène de la peau et de kératine, pour une peau souple et régénérée, des cheveux en pleine santé et des ongles fortifés.
Comme la peau, l’exposition des cheveux aux UV comporte des risques. Les UV attaquent les écailles du cheveu, ce qui fragilise son film hydrolipidique protecteur. Le cheveu risque alors de perdre en kératine, il s’affine et devient cassant. Les effets néfastes des UV comportent aussi des conséquences sur le cuir chevelu. Il devient plus sensible et sec, ce qui peut faire apparaître des coups de soleil plus fréquents, et des pellicules.
Pour éviter ces désagréments, il faut protéger son crâne et ses cheveux des UV et les entretenir quotidiennement avec les produits adaptés :
Il s’agit d’habitudes à adopter au quotidien pour prévenir et traiter la chute de cheveux en automne : alimentation, soins adaptés… Comme la peau, les cheveux demandent un peu d'attention et de soins quotidiens pour être sains toute l’année.
Voici quelques conseils pratiques pour prendre soin de vos cheveux et mettre toutes les chances de votre côté pour qu'ils restent en bonne santé !
La fibre capillaire est constituée à 95% de kératine, une protéine naturelle produite par le cheveu. Pour garder des cheveux en bonne santé et ralentir leur chute, certains aliments et nutriments sont à privilégier. Leur teneur en Oméga, vitamines ou encore minéraux peuvent contribuer à booster la fabrication de kératine, et ainsi maintenir des cheveux forts et sains.
Liste des aliments et nutriments principaux à consommer pour éviter la chute de cheveux :
Pour une alimentation saine, il est conseillé de privilégier ces aliments, tout en limitant la consommation de sucre et de graisses non saturées. Bien manger, c’est tout une organisation. Afin d’éviter les produits transformés, essayez de préparer vos repas en avance. Cette astuce facilite le quotidien et permet de gagner du temps en cuisine.
Nos cures de compléments alimentaires 100% naturels peuvent vous aider à apporter des bienfaits, des minéraux et des vitamines pour un bon fonctionnement de l’organisme et des cheveux sains et équilibrés.
La santé des cheveux est impactée par l’intérieur de l’organisme, mais aussi par les éléments extérieurs comme les produits de soin quotidien. Pour en prendre soin, choisissez une routine capillaire adaptée à votre type de cheveu.
Pour renforcer la fibre capillaire, privilégiez les soins riches en kératine qui vont restructurer le cheveu et refermer ses écailles pour un aspect plus lisse, brillant, et soyeux.
L’huile de ricin, riche en vitamine E, est idéale pour booster la pousse et freiner la chute tout en renforçant les cheveux de la racine jusqu’aux pointes. De temps en temps, vous pouvez l’appliquer pure sur votre cuir chevelu et vos longueurs, masser légèrement pour stimuler la circulation sanguine, laisser poser puis rincer.
Ingrédients :
Contre la chute de cheveux, vous pouvez appliquer un masque à l'huile végétale de moutarde, mélangée à 2-3 gouttes d'huile essentielle de cèdre d'atlas.
Appliquer ce masque sur le cuir chevelu, sur cheveux secs, avant de vous laver les cheveux et laisser poser quelques heures sous une serviette en microfibre. L'huile de moutarde et l'huile essentielle de cèdre d'atlas sont réputés pour leur effet anti-chute et tonifiant du cuir chevelu, qui va aider à stimuler la pousse de nouveaux cheveux.
La chute de cheveux en automne est quasi inévitable. Si vous êtes concernée et que vous paniquez à chaque fois que vous voyez les cheveux s'accumuler dans votre brosse à cheveux, pas de panique, rappelez-vous que c'est un phénomène normal et récurrent. Heureusement, il existe des astuces à connaître pour mieux l’appréhender et la gérer.
Après l’été, n’hésitez pas à passer par la case coiffeur. L’élimination des pointes sèches et abîmées va relancer la pousse. Ensuite, évitez au maximum les coiffures trop serrées comme les queues de cheval et les chignons très stricts, qui tirent sur les cheveux et risquent de les fragiliser. Pour l’attache, privilégiez les chouchous en soie naturelle, ou les pinces, plutôt que les élastiques, qui exercent trop de pression sur les cheveux et peuvent les fragiliser.
Au quotidien, le lavage est idéalement réalisé 1 à 2 fois par semaine en fonction du type de cheveu. Choisissez un shampoing doux et adapté, et cette étape ne doit pas durer plus de 5 minutes. Enfin, séchez votre cuir chevelu et vos longueurs avec une serviette douce et propre, sans frictionner. Si vous utilisez un sèche-cheveux et/ou un autre appareil chauffant, maintenez-le(s) à température raisonnable.
Bien que la chute de cheveux soit naturelle, et fasse partie des phases du cycle du cheveu, il existe des situations pendant lesquelles la consultation d’un professionnel de santé est nécessaire. Si la chute est sévère, et dure plus de 3 mois, il vaut mieux prendre un rendez-vous avec un dermatologue ou un trichologue (un spécialiste du cheveu). La chute de cheveu peut sembler être une préoccupation "superficielle" mais ça ne l'est pas ! Une chute de cheveux anormale peut être l'indicateur d'un problème de santé plus profond (carences, maladie, fatigue, déséquilibre hormonal, trouble thyroïdien...). Le spécialiste peut vérifier l’état des cheveux et du cuir chevelu pour définir la cause de la perte de cheveux excessive (hormones, stress, carence, maladie…) et trouver le traitement adapté.
Les signes et les symptômes qui doivent alerter :
Le professionnel de santé prescrit généralement une prise de sang en premier lieu, pour pouvoir analyser les éventuelles carences ou maladies génétiques qui pourraient expliquer la chute de cheveux.
Pour conclure, il est important de retenir que la chute de cheveux en automne est un phénomène normal et naturel lié au changement de saison et à l’exposition répétée au soleil durant l’été. C’est inévitable, il faut donc vivre avec !
Afin de mieux la gérer, il faut se préparer et anticiper la chute de cheveux qui surgit en automne. Pour cela :
Pour garder des cheveux beaux et forts, même en automne, adoptez une attitude proactive, pensez à préparer votre organisme avec une cure de compléments alimentaires. En fonction de vos besoins, les cures agissent sur les déséquilibres hormonaux, boostent l’immunité, participent au maintien d’un métabolisme sain…
Enfin, la clé pour mieux gérer la chute de cheveux en automne, c’est l’anticipation ! Tout ce que vous consommez, vos habitudes, ce que vous appliquez sur vos cheveux ont des conséquences. Ne négligez pas la qualité de votre alimentation, ni de vos soins pour garder une chevelure de rêve.
Les hormones féminines exercent une grande influence sur le cycle menstruel, mais aussi sur la santé en général.
De la puberté jusqu’à la ménopause, chaque mois, le corps se prépare pour une éventuelle grossesse, et les variations d’hormones ont un but unique : la reproduction. Les différentes phases ont toutes leur mission : le début du cycle est marqué par les menstruations, puis est suivi par la préparation, l’ovulation et l’attente.
Généralement, un cycle menstruel dure 21 à 35 jours. Les cycles peuvent être réguliers ou irréguliers en fonction de chaque femme, on considère qu'un cycle est "sain" ou "normal" s'il dure entre 21 et 35 jours et que la durée ne varie pas de plus de de 5 jours d'un cycle à l'autre. Certains éléments influent sur la régularité des cycles et peuvent perturber l'équilibre hormonal (prise de contraception, stress, fatigue…).
Las variations hormonales tout au long du cycle provoquent des changements dans l'organisme, ce qui peut parfois se traduire par des symptômes comme l’irritabilité, les douleurs de ventre, les migraines, voire l’anxiété ou un état dépressif, le plus souvent avant les règles, pendant ce qu'on appelle le syndrome prémenstruel, mais aussi plus rarement après la fin des règles, ce qu'on désigne alors par le nom de syndrome post-menstruel. Pour pouvoir trouver des solutions et enfin trouver un bien-être hormonal, il faut d’abord en comprendre le fonctionnement, et les rôles de chaque hormone.
Le fonctionnement du corps féminin est très complexe. Plusieurs types d’hormones sexuelles participent au cycle menstruel. Les hormones féminines sont secrétées par les ovaires, à partir de la puberté jusqu’à la ménopause, qui marque l’arrêt définitif du cycle menstruel.
Les œstrogènes font leur apparition au moment de la puberté. Ce sont les hormones responsables du développement des organes féminins : utérus, seins, épaississement de la paroi du vagin. En résumé, elles préparent le corps à pouvoir concevoir un enfant. Mais pas que. En effet, les œstrogènes jouent plusieurs rôles clés, ils sont essentiels dans le bon fonctionnement de l’organisme féminin. Ils agissent sur le cerveau, aident à la consolidation des os, améliorent la qualité de la peau et des cheveux, et féminisent la voix.
Grâce aux œstrogènes le cycle menstruel se déroule correctement. Le pic est atteint lors de la phase folliculaire, c’est-à-dire pendant l’ovulation. Ils sont également à l’origine de la création de la glande cervicale, qui favorise le transport des spermatozoïdes et maintient une flore vaginale normale. Après les règles, ils contribuent à l’épaississement de la muqueuse utérine pour préparer une éventuelle grossesse, et jouent un rôle dans la fabrication de lait lors de l'allaitement.
Mais les œstrogènes jouent également un rôle important dans le bien-être hormonal féminin et sur le plan émotionnel : ce sont les hormones de la "bonne humeur" et du bien-être, elles ont un effet énergisant et motivant. Aussi, elles agissent sur la confiance en soi, à la fois interne (motivation, bonne humeur), mais aussi externe, car les œstrogènes donnent à la peau un aspect glowy, des cheveux brillants...
La progestérone est une hormone complémentaire avec les œstrogènes. Plus précisément,La progestérone est une hormone complémentaire avec les œstrogènes. Tout le long du cycle, elles agissent ensemble pour un équilibre hormonal réussi. Car si les œstrogènes dominent la première partie du cycle menstruel (pendant la phase folliculaire jusqu'à l'ovulation), la progestérone elle, domine le cycle à partir de l'ovulation jusqu'à 2-3 jours avant les règles. La progestérone est particulièrement importante chez la femme durant la période où elle peut procréer, car c'est elle qui permet de maintenir une éventuelle grossesse, entre la puberté et la ménopause. Elle agit sur la muqueuse de l’utérus pour qu’elle soit prête à recevoir un embryon et prépare les glandes mammaires pour la production de lait. Elle régule et équilibre la production d’œstrogènes. Sans elle, le développement de l’utérus serait trop important, ce qui pourrait engendrer des risques d’hémorragies génitales et des tumeurs. Pendant la seconde moitié du cycle, après l’ovulation, on note une augmentation importante du taux de progestérone. Lors de cette période, il est possible de constater une augmentation de la température corporelle, c’est un phénomène normal et naturel. Elle sert à maintenir l'endomètre, le préparant à accueillir un potentiel embryon. S'il n'y a pas eu fécondation, la progestérone baisse progressivement jusqu'à "épuisement", ce qui va déclencher les règles.
La FSH et la LH sont deux hormones produites par le cerveau durant le cycle menstruel. Elles ont pour rôle de contrôler l’activité des ovaires. Focus sur ces hormones clés de la fertilité :
Hormone folliculostimulante (FSH) : c’est l’hormone de la fertilité, elle est présente chez la femme comme chez l’homme. Au niveau féminin, elle est active dès la première phase du cycle ovarien, la phase folliculaire, qui commence dès le premier jour des règles jusqu’à l’ovulation. C’est à ce moment-là qu’une neurohormone est créée par l’hypothalamus, la GnRH (ganadrophin releasing hormone). Ensuite, une réaction se produit en plusieurs étapes :
Hormone Lutéinisante (LH) : comme la FSH, elle joue un rôle important dans la fertilité. Elle fait partie des hormones gonadotrophines, cheffes d’orchestre des glandes reproductrices. La LH est sécrétée par l’anthéropophyse, son pic déclenche l’ovulation. Ensuite, comme pour la LSH, plusieurs étapes se mettent en place :
Le cycle menstruel est régulé et orchestré par différentes hormones présentes dans le corps de la femme. Il se compose en 3 phases :
Dès le premier jour de la phase folliculaire, le nouveau cycle est enclenché. Il est marqué par l’arrivée des règles, des saignements liés à la perte du revêtement de l’utérus. Les menstruations se manifestent en l’absence de grossesse, à partir de la puberté et jusqu’à la ménopause qui marque leur arrêt définitif.
On compte parfois les règles comme une phase distincte, alors que les menstruations marquent en réalité le début du cycle et font partie de la phase folliculaire.
C’est la première phase du cycle. Pendant cette période, surtout au début, le taux d’oestrogènes et de progestérone est au plus bas. Les deux hormones s’allient pour contribuer à l’évacuation des couches de la muqueuse utérine, ce qui crée des saignements : les règles. Au contraire, le taux de FSH augmente en raison du développement de nombreux follicules qui contiennent des ovules. La préparation à l’ovulation est alors enclenchée, et les oestrogènes sont produits.
La phase ovulatoire intervient environ 14 jours avant le premier jour des premières règles. C’est la période pendant laquelle il y a le plus de chance de tomber enceinte. Pendant cette partie du cycle, la production d’hormones de la fertilité (LH et FSH) atteint un pic, ce qui stimule la libération de l’ovule sous 16h à 32h après le début du pic. Les oestrogènes, quant-à eux, baissent, alors que la progestérone augmente. Pendant cette phase, la libido est au max, stimulée notamment par un pic de testostérone, une hormone dite androgène (= masculine) qui agit fortement sur la libido. C'est scientifique ! Le corps se met en mode “procréation”.
Enfin, la dernière phase du cycle menstruel est la phase lutéale. Elle est marquée par une baisse considérable des hormones LH et FSH. La progestérone reste élevée, et les oestrogènes augmentent pour épaissir la muqueuse de l’utérus, ce qui le prépare à une éventuelle fécondation. Si l’ovule est fécondé, la grossesse débute. Sinon, la muqueuse utérine se dégrade et est évacuée, ce qui produit les règles, et un nouveau cycle commence.
Chaque femme est différente, et leur réaction face aux cycles menstruels le sont aussi. Les effets des hormones évoluent tout au long du cycle et agissent sur la santé générale. Durant les plusieurs phases, il est possible de ressentir un impact sur le corps et l’humeur : migraines, douleurs abdominales, sautes d’humeurs, changements physiques, libido changeante… Les émotions peuvent être plus difficiles à gérer, et tous ces symptômes peuvent être accentués par un déséquilibre hormonal. Heureusement, il existe des solutions pour mieux gérer ces bouleversements.
Quelques jours avant le début du nouveau cycle et donc des règles, il est possible de ressentir des changements physiques : tensions dans les seins, maux de ventre, migraines, fatigue excessive, hypersensibilité… Certaines femmes remarquent même des tensions mammaires ou gonflement de la poitrine ou du bas du ventre. Ces symptômes sont liés au SPM : le syndrome prémenstruel. Il intervient avant le début des règles. Le taux d’hormones élevé et l'action des androgènes pendant cette période peut également produire un changement au niveau de l’état de la peau : elle devient plus grasse, et des imperfections peuvent apparaître.
Pendant la phase lutéale, il peut arriver que l'on soit plus irritable, sensible, voire énervée ou triste sans raison particulière. Certaines femmes développent des signes d’anxiété, de dépression ou des sautes d’humeur. Ces émotions sont contrastées et peuvent être difficiles à gérer. La bonne nouvelle, c'est qu'il existe une explication scientifique : les variations d'humeur et d'émotions sont liées à la chute du taux d’oestrogènes, ce qui ralenti la production de sérotonine dans le cerveau, substance chimique responsable de la “bonne humeur”. Pendant cette période compliquée, prenez soin de vous et continuez les activités qui vous font du bien.
La chute du taux d'œstrogènes avec la préménopause, la phase qui précède le début de la ménopause est également ce qui explique un certain nombre de symptômes caractéristiques de cette période de la vie d'une femme : anxiété, troubles du sommeil, irritabilité, sautes d'humeur, phases dépressives...
Une femme vivra en moyenne 500 cycles menstruels au cours de sa vie, il est donc important de savoir les appréhender et les gérer.
Nos conseils pour mieux gérer les symptômes tout au long du cycle menstruel :
Tous les symptômes du cycle menstruel peuvent être causés ou accentués par un déséquilibre hormonal. Trop ou pas assez d'une hormone dans le sang peut causer un déséquilibre de tout le système endocrinien et engendrer des problèmes de santé et affecter la qualité de vie au quotidien. En cas de doute, un rendez-vous chez le médecin est indispensable. Ces taux sont vérifiables grâce à une prise de sang.
Nos compléments alimentaires peuvent vous aider à équilibrer naturellement vos hormones et favoriser un bien-être menstruel et global durable. En accord avec les besoins spécifiques du corps de la femme, nous avons mis au point la cure BALANCE, une cure pensée pour aider à naturellement équilibrer les hormones du cycle menstruel et améliorer le bien-être menstruel et global. En 3 à 6 mois, les signes du SPM sont réduits. La teneur en ginkgo favorise un équilibre mental et nerveux, et le magnésium réduit la fatigue. Un complexe de plantes, minéraux et vitamines, idéal pour retrouver l’équilibre hormonal normal du cycle menstruel et soulager les symptômes qui peuvent apparaûtre pendant ou avant les règles et à tout moment du cycle.
La cure BALANCE convient aux femmes qui arrêtent une contraception à base d’hormones comme la pilule, dont l'arrêt peut déclencher un déséquilibre hormonal. La cure BALANCE peut être complétée par la cure CLEAR, afin de cibler spécifiquement l'acné hormonale déclenchée par un déséquilibre des hormones, y compris en cas d'excès d'androgènes ou de SOPK.
Maintenant que vous connaissez un peu mieux votre corps, vos hormones et le fonctionnement de votre cycle menstruel, vous comprendrez mieux vos symptômes à l’avenir. Écoutez-vous, c’est ok de ne pas être au top, c’est ok d’avoir besoin de repos. Vous n’êtes pas responsables de vos émotions et de vos ressentis pendant ces périodes où votre corps est en plein bouleversement.
Pour maintenir un équilibre hormonal normal, pensez à faire appel aux cures de notre gamme “Cycle Menstruel”, conçues exclusivement pour prendre soin du corps des femmes à chaque période de leur vie : du début des règles jusqu’à la ménopause. En cas de douleurs trop fortes, ou de difficultés importantes à gérer vos émotions, parlez-en à votre gynécologue ou consultez un médecin.
Un rappel de nos petits “tips” en cas de règles douloureuses :
Les pertes blanches sont des sécrétions normales et naturelles du vagin qui interviennent tout au long du cycle menstruel. Elles jouent un rôle important dans la santé reproductive et la propreté de la zone intime. Leur aspect, texture et couleur évolue en fonction des phases du cycle. Pour mieux les gérer et savoir reconnaître les signes anormaux, il est important de comprendre l’origine des pertes blanches et leurs fonctions.
Aussi appelées leucorrhées, les pertes blanches sont évacuées naturellement par le vagin. Elles sont produites dès la puberté, avant les premières règles, et jusqu’à la ménopause. Ces sécrétions sont composées en grande partie de glaire cervicale, une substance transparente ou blanchâtre, plus ou moins épaisse, qui est produite par le vagin et l’utérus pour faciliter la fécondité. Elles peuvent également provenir des glandes Skene (sous forme de liquide fluide et transparent évacué lors d’un plaisir intense) ou des glandes Bartholin (lubrification de la vulve et du vagin).
Quelle que soit leur origine, les pertes blanches sont des écoulements naturels, c’est-à-dire des pertes physiologiques, qui prouvent le bon fonctionnement de l’organe génital.
Les pertes blanches contiennent du mucus vaginal, des bactéries, des bacilles, ou encore des acides lactiques, éléments essentiels au maintien du pH acide du vagin.
Au niveau de leurs rôles, ils sont multiples, et varient en suivant le cycle menstruel :
Au moment de l’ovulation : la glaire cervicale est libérée par le vagin pour favoriser la remontée des spermatozoïdes vers l’ovule
Après la période d’ovulation : juste avant les règles, la fonction est inversée, la glaire cervicale est maintenant produite pour bloquer le passage des spermatozoïdes, le corps n’est plus en période de fécondation
Pendant les rapports sexuels : rôle de lubrification des parties intimes
Tout au long du cycle : protection et auto-nettoyage du vagin. La glaire cervicale permet de garder un pH équilibré et de lutter contre les agressions extérieures comme les bactéries, mycoses, virus ou champignons.
Les sécrétions vaginales interviennent sous l’influence des hormones. De ce fait, elles évoluent et s’adaptent à la période du cycle menstruel et des besoins du corps.
Elles sont plus abondantes au moment de l’ovulation, pour favoriser la fonction reproductive. Grâce à une forte concentration d’œstrogènes, la glaire cervicale libérée par le vagin est épaisse, ce qui va aider les spermatozoïdes à traverser les trompes et à rejoindre l’ovule pour le féconder. Au milieu du cycle, elles s’épaississent encore plus et peuvent avoir un aspect de blanc d’oeuf cru. Elles annoncent la fin de la période d’ovulation. Puis, juste avant les règles, pendant les 10 derniers jours du cycle, elles sont moins abondantes. Tout simplement pour bloquer le passage des spermatozoïdes. La période de fécondité est terminée.
Juste avant l’arrivée des règles, pendant la phase lutéale du cycle menstruel, les pertes blanches sont généralement épaisses et collantes. Elles annoncent l’arrivée des règles tout en jouant un rôle important au niveau du système reproductif.
Les pertes pré-menstruelles sont reconnaissables par leur texture et leur couleur. Elles sont blanchâtres, épaisses et ont un aspect collant. Comme la plupart des sécrétions vaginales, elles doivent rester inodores.
Les jours précédents les règles, elles peuvent devenir brunâtre ou marron. Dans ce cas, on parle de spotting, mais pas d’inquiétude, c’est un phénomène normal lié à l’expulsion de “vieux sang” par l’utérus. Ensuite, la couleur des règles devrait redevenir habituelle, entre le rouge vif et le bordeaux.
Les pertes blanches avant les règles ont un rôle tout particulier. En plus d’annoncer l’arrivée des menstruations, elles permettent de créer une barrière pour empêcher les spermatozoïdes de passer dans l’utérus. La glaire cervicale produite à ce moment là est considérée non fertile (contrairement à la glaire produite avant et pendant la phase ovulatoire). Après l'ovulation et avant les règles, le corps n’est plus prêt à accueillir une grossesse. On peut considérer que les pertes pré-menstruelles ont un effet “contraceptif naturel”, car elles bloquent la mobilité des spermatozïdes. Mais attention, cette solution naturelle n’est pas fiable pour autant, même si une grossesse est peu probable à ce moment du cycle. Si vous souhaitez vous protéger d’une grossesse éventuelle, consultez votre gynécologue qui vous proposera une solution adaptée à vos besoins et vos envies : pilule contraceptive, stérilet en cuivre, stérilet hormonal, implant…
PS : nous vous rappelons qu’aucune contraception hormis le préservatif protège contre les maladies sexuellement transmissibles. Le Safe Sex avant tout !
Bien que les pertes blanches soient des sécrétions normales et naturelles du vagin, il est quand même conseillé de les surveiller tout au long du cycle. En effet, certains signes comme une couleur inhabituelle, une forte odeur ou encore une texture différente peuvent signaler une anomalie (mycose, infection, bactéries…). Savoir détecter les sécrétions anormales permet de les soigner efficacement.
Si tout va bien, vos pertes blanches doivent avoir une couleur transparente ou laiteuse, une texture plus ou moins épaisse en fonction du cycle, et surtout être inodores.
Certaines situations ou symptômes peuvent vous alerter. Si vous remarquez un de ces signes, n’hésitez pas à consulter un médecin :
Plusieurs pathologies peuvent toucher la sphère intime. Il est important de savoir détecter les signes anormaux pour les soigner au plus vite.
Une infection détectée rapidement est plus facile à guérir. Si vous remarquez un ou plusieurs de ces signes anormaux, consultez un médecin :
Le professionnel de santé pourra vous prescrire le traitement adapté, et/ou vous faire passer des analyses plus poussées pour détecter le moindre problème.
Les parties intimes ne se nettoient pas comme les autres parties du corps. C’est une zone complexe, qu’il faut traiter avec attention. Certaines habitudes quotidiennes doivent être mises en place pour avoir une hygiène intime efficace et respecter sa flore vaginale.
Un manque d’hygiène engendre un risque de prolifération de bactéries et un risque d’infections. Au contraire, une hygiène excessive ou des produits non adaptés peuvent déséquilibrer le pH physiologique, et donc la flore vaginale. Il faut trouver un juste milieu !
Les gestes à connaître pour une bonne toilette et un confort intime au quotidien :
Pendant la toilette : évitez les toilettes intimes excessives pour éviter de déséquilibrer votre flore vaginale. Frictionnez légèrement la partie extérieure de votre vulve, pour rappel, l’intérieur du vagin est auto-nettoyant. N’utilisez pas de gant de toilette, ce sont de véritables nids à bactéries. Privilégiez l'eau claire ou les solutions lavantes intimes avec un pH physiologique, adapté à la flore intime. Enfin, séchez vos parties intimes avec un linge doux, lavé régulièrement.
Au quotidien : Tout au long du cycle, évitez les vêtements trop moulants et les matières synthétiques. Le coton, matière naturelle, est recommandé pour les sous-vêtements. Ceux-cis doivent être lavés au moins à 60°C et séparés du reste du linge. Enfin, évitez de garder trop longtemps une culotte mouillée (comme un maillot de bain par exemple) pour vous protéger de la prolifération de bactéries qui pourrait se produire.
Pendant les règles, changez régulièrement de protection hygiénique. Si vous utilisez des culottes menstruelles, changez les régulièrement et, si possible, faites une "pause" de quelques heures par jour, car la matière absorbante des culottes menstruelles peut parfois causer des irritations et déséquilibrer la flore de la vulve et du vagin, plus sensible aux déséquilibres à ce moment du cycle.
Les parties intimes demandent une attention toute particulière.
DO : pour en prendre soin efficacement, privilégiez les douches plutôt que les bains longs ou très chauds, et un soin lavant adapté au pH de la zone intime, sans savon avec des agents surgraissants et hydratants, adaptés à un usage quotidien. Vous pouvez également soutenir votre flore intime et mieux appréhender vos cycles menstruels et la santé de votre intimité grâce aux compléments alimentaires et aux bienfaits des plantes, naturellement présents dans la nature.
Notre gamme Santé intime, vous propose un large choix de cures et de tisanes aux plantes équilibrantes pour prévenir et aider à apaiser les symptômes liés à un déséquilibre de la zone intime, comme une irritation, une mycose ou une infection urinaire. Ils sont formulés à base d’actifs naturels : plantes, minéraux ou encore vitamines, pour prendre soin de votre corps et de votre santé.
DON’T : n’utilisez pas de savon trop parfumé ou de produit exfoliant qui sont beaucoup trop agressifs pour cette zone fragile. Rincez abondamment après chaque lavage, et séchez délicatement avec un linge doux et propre. Évidemment, il est fortement déconseillé d’y appliquer des produits tels que les parfums ou déodorants.
La première chose à retenir, est que les pertes blanches avant les règles et tout au long du cycle menstruel sont normales et naturelles. Elles sont indispensables pour le bon fonctionnement de l’appareil reproductif, et contribuent à l’auto-nettoyage du vagin. Oubliez les idées reçues, elles ne sont pas sales, bien au contraire ! C’est en partie grâce à elles que votre hygiène intime est au top !
En cas de signes anormaux (odeur, couleur ou texture inhabituelle), consultez au plus vite un médecin.
Afin de savoir prendre soin de vos parties intimes, retenez ces 4 points essentiels :
Enfin, ÉCOUTEZ-VOUS !
Chaque femme est unique, et vit ses cycles menstruels différemment. Il est indispensable de s'écouter pour prendre soin de son corps et de son intimité.
Si vous détectez un signe inhabituel au niveau de vos pertes blanches ou autre, prenez rendez-vous avec un médecin ou parlez-en à votre gynécologue. Il est préférable de s'inquiéter pour rien, plutôt que de passer à côté d’une anomalie qui pourrait être grave.
Qu'il soit au repos ou en activité, notre organisme a besoin de carburant pour fonctionner correctement. C'est principalement dans l'alimentation qu'il va puiser l'énergie dont il a besoin, en activant un processus naturel appelé métabolisme. Certains facteurs comme un déséquilibre hormonal, l'âge ou encore des maladies peuvent ralentir ces réactions chimiques, et donc réduire la dépense énergétique. Cela engendre fréquemment une prise de poids. Il existe des habitudes à prendre au quotidien pour booster son métabolisme et ainsi affiner sa silhouette.
Le métabolisme est un processus qui regroupe l'ensemble des réactions chimiques au sein de l'organisme. Il inclut la digestion des aliments, la décomposition et l'assimilation des nutriments, ainsi que la production et le stockage de l'énergie. Il transforme tout ce qui est consommé, boissons et aliments, en énergie nécessaire au fonctionnement de l'organisme et des fonctions vitales comme la respiration, la température corporelle, la digestion, la circulation sanguine ou encore la gestion du niveau d'hormones.
Fondamentalement, il existe deux types de métabolismes :
Le processus de perte de poids est directement lié au métabolisme. Le poids corporel est calculé en fonction de la différence entre la quantité d'énergie libérée (catabolisme) et la quantité d'énergie que le corps consomme (anabolisme).
L'énergie excédentaire, c'est-à-dire l'énergie produite en surplus est stockée sous forme de graisse dans le corps. Cela engendre donc une prise de poids. La surproduction d'énergie liée à un métabolisme qui n'utilise pas correctement l'énergie produite est l'une des causes du surpoids. Dans ce cas, on parle de métabolisme lent.
La différence de métabolisme est un facteur qui explique que certaines personnes ont tendance à prendre plus de poids alors que d'autres restent minces quelle que soit leur alimentation. Le métabolisme lent brûle moins de calories au repos.
D'autres facteurs peuvent engendrer une prise de poids, par exemple, les hormones, des maladies, une alimentation trop riche ou le manque d'exercice physique.
Avant de se pencher sur les astuces pour booster son métabolisme, il est important de bien comprendre son fonctionnement et ses particularités. Ce processus est complexe, et il doit être équilibré pour garantir un organisme sain.
Le métabolisme de base est le besoin minimum de l'organisme pour survivre. Il est estimé à environ 1100 à 1500 Kcal chez l'adulte, ce qui correspond à 45 % de la dépense énergétique journalière chez les sujets très actifs, et 70 % chez les sujets sédentaires. Le métabolisme de base augmente lors d'une activité physique, une augmentation de la température corporelle, lors d'une grossesse, la consommation de tabac, une agression...
Dès lors que le physique et le psychique d'un individu sont touchés. Au contraire, il baisse naturellement avec l'âge, ou certains facteurs (maladies, hormones...).
La dépense énergétique correspond à la somme du métabolisme de base, de la thermorégulation, de l'action dynamique spécifique et du travail musculaire. Autrement dit, c'est le résultat de tout ce qui influe sur le métabolisme.
La vitesse du métabolisme dépend des individus et de leurs habitudes de vie, mais aussi de leur santé. Un métabolisme lent à tendance à stocker plus facilement les graisses. Les nutriments ingérés sont assimilés plus lentement par l'organisme en raison de diverses causes comme le stress, une alimentation déséquilibrée, un trouble hormonal ou encore une sédentarité prolongée.
A contrario, un métabolisme rapide brûle très vite les calories, ce phénomène peut être causé par une activité physique très régulière, une hyperactivité, ou encore un taux de stress et de nervosité élevé.
Plusieurs facteurs influencent le métabolisme :
En résumé, tous ces facteurs favorisent le ralentissement du métabolisme. Un métabolisme lent brûle moins de calories, ce qui perturbe l'assimilation des nutriments et augmente le risque d'accumulation de graisses responsables de la prise de poids.
Avoir un métabolisme lent n'est pas une fin en soi. Il existe des astuces qui permettent de stimuler et de booster son métabolisme, afin de favoriser une meilleur utilisation des calories et d'éviter le stockage des graisses dans le corps. Pour augmenter un métabolisme lent, il est conseillé de fractionner les repas et d’augmenter son apport en protéines.
Il faut également boire suffisamment d'eau pour maintenir son corps hydraté et l'aider à se détoxifier. Enfin, il est nécessaire de pratiquer une activité physique régulière et d'éviter le stress.
Le premier facteur qui permet d'augmenter son métabolisme est d'avoir une activité physique. La pratique d'une activité physique régulière favorise le brûlage des calories et donc la perte de poids. Pour cela, pas besoin de passer des heures à la salle de sport. Marcher environ 30 minutes par jour est un bon début pour booster son métabolisme.
L'importance de la musculation : prendre de la masse musculaire permet d'augmenter la quantité des cellules à nourrir même au repos. Ainsi, le métabolisme de base est plus élevé, et les calories sont plus rapidement brûlées.
Les bienfaits du HIIT : le HIIT est une pratique sportive qui consiste à optimiser le temps d'entraînement avec des périodes d'efforts intenses et des périodes de récupérations courtes. Ce type d'activité augmente la dépense calorique, améliore la condition cardiovasculaire et optimise la combustion des graisses, tout en boostant le métabolisme de base.
Enfin, l'alimentation est également un facteur important à prendre en compte pour booster son métabolisme.
Certains aliments sont à privilégier :
Certaines mauvaises habitudes ralentissent le métabolisme et influent sur l'élimination des calories et la prise de poids. Pour surveiller son poids, il est important d'adopter de bonnes habitudes alimentaires, et d'exercer une activité physique régulière. Il est également conseillé d'éviter les régimes soi-disant miraculeux, qui sont de véritables pièges.
Le manque d'activité physique, et la consommation régulière de produits industriels, trop gras et trop sucrés jouent un rôle négatif sur le métabolisme. Au niveau de l'alimentation, il faut privilégier les protéines pour une digestion plus énergivore. La pratique d'un sport, quant-à-elle, augmente la masse musculaire.
Les régimes draconiens qui promettent une perte de poids fulgurante en très peu de temps vous font rêver ? Oubliez cette option. Ils ne sont pas adaptés au corps humain. Pire, lorsqu'ils sont pratiqués, l'organisme se sent en danger et il a besoin de plus d'énergie pour s'adapter à ce nouveau rythme. Conséquences ? Une reprise de poids rapide, et une perte de temps. L'effet « yo-yo » peut aussi engendrer une fatigue chronique.
Des habitudes quotidiennes supplémentaires peuvent être mises en place pour booster son métabolisme et favoriser la perte de poids.
C'est le soir et lorsque vous dormez que votre corps brûle le plus de calories. Un sommeil de qualité et réparateur possède de nombreux bienfaits pour le métabolisme, puisque cela contribue à soutenir un métabolisme sain et à réduire le risque de fringales liées à la fatigue pendant la journée. Pour un sommeil de qualité, essayez de dormir 8h par nuit et couchez-vous le plus possible à des heures régulières.
Il existe des périodes pendant lesquelles le métabolisme est ralenti malgré une bonne alimentation et une activité physique régulière. C'est le cas pendant la ménopause, souvent synonyme de prise de poids.
Heureusement, Circles a mis au point le complément alimentaire idéal : MENO.
MENO a été conçu pour accompagner les femmes pendant la ménopause et la pré-ménopause. Il aide à favoriser une transition hormonale calme et sereine, et à réduire les signes tels que les bouffées de chaleur, la transpiration, l'agitation ou l'irritabilité grâce à sa teneur en actée à grappes. Enrichi en magnésium, il contribue à réduire la fatigue, soutient un métabolisme énergétique normal et au fonctionnement normal du système nerveux.
Booster son métabolisme grâce à nos astuces simples à mettre en place, c'est la garantie d'un organisme sain, tout en évitant la prise de poids !
Pour cela, gardez en tête nos deux conseils majeurs :
Faites attention à votre alimentation ! Évitez au maximum les produits industriels et augmentez votre consommation de protéines. Pratiquez également une activité physique régulière pour booster votre métabolisme et éviter le stockage des graisses. Votre organisme vous remerciera !
Adopter ce mode de vie, c'est bien, le garder sur la durée, c'est mieux ! Il vaut mieux mettre en place des petits changements au quotidien que vous allez tenir, plutôt que vous lancez dans une activité physique que vous ne tiendrez pas. Par exemple, privilégiez la marche ou le vélo au maximum pour les trajets courts, ou prenez les escaliers plutôt que l'ascenseur. C'est la même chose pour l'alimentation. Fixez-vous des objectifs, changez vos habitudes et vous sentirez les résultats.
Une alimentation équilibrée consiste à consommer plus de fruits et légumes, d'aliments riches en Oméga-3 ainsi qu'en protéines. Mangez sainement mais continuez à vous faire plaisir pour votre bien-être mental et hormonal. Vous éviterez ainsi les situations de frustration qui peuvent être une source de stress.
Si vous souffrez de troubles hormonaux, ou d'une maladie génétique qui perturbe votre métabolisme, prenez rendez-vous avec votre médecin. Il pourra vous proposer des traitements ou alternatives adaptées à vos besoins spécifiques.
Démangeaisons, plaques rouges, pellicules… Si vous remarquez l’un de ces symptômes, vous souffrez peut-être d’eczéma du cuir chevelu. Cette maladie inflammatoire peut survenir sur plusieurs zones du corps. Pour la traiter correctement, il est important d’en connaître la cause. Il existe plusieurs sortes d’eczéma du cuir chevelu, mais quelle que soit son origine, des traitements efficaces existent.
L’eczéma du cuir chevelu est une maladie inflammatoire qui se manifeste par des démangeaisons, l’apparition de plaques rouges, de croûtes et de pellicules à la racine des cheveux. Il en existe plusieurs sortes : la dermite séborrhéique, l’eczéma atopique ou encore l’eczéma allergique. Seul un rendez-vous chez un professionnel de santé peut déterminer l’origine de la maladie et ainsi définir le traitement adapté.
Dès les premiers signes, il est recommandé de consulter un dermatologue. Celui-ci va observer avec attention le cuir chevelu pour déceler les traces causées par l’inflammation. En fonction du résultat, il déterminera le type d’eczéma. Une consultation chez un allergologue peut-être conseillée en complément, pour réaliser des tests d’allergie. Ces rendez-vous permettent de déterminer la ou les causes de l’eczéma et de signaler d’éventuelles autres maladies. Il existe différentes solutions de traitement en fonction de la zone touchée (cuir chevelu, visage, mains, pieds…) et de son intensité.
Il existe plusieurs formes d’eczéma. Certaines sont génétiques, d’autres sont causées par des réactions allergiques à des produits ou des facteurs environnementaux. En fonction du type d’eczéma, les zones touchées et les symptômes peuvent varier.
La dermite séborrhéique est une forme d’eczéma qui affecte principalement le cuir chevelu. Elle cause une réaction inflammatoire des couches supérieures de la peau. Cette maladie peut être héréditaire, ou survenir lors de changements hormonaux comme pendant l'adolescence. Elle est fréquente chez les nourrissons, c’est ce que l’on appelle les “croûtes de lait” : des croûtes épaisses situées sur le crâne, qui disparaissent généralement aux alentours de 18 mois. Chez l’adulte, la dermite séborrhéique se manifeste par des pellicules grasses qui poussent par crise.
On reconnaît une dermite séborrhéique sur le cuir chevelu en fonction de plusieurs indicateurs : apparition d’éruptions cutanées, de croûtes, de lésions contenant du sébum, et de plaques qui démangent. Suite aux grattages fréquents, elle peut même être à l’origine d’une perte partielle de cheveux. Plusieurs facteurs peuvent causer une dermite séborrhéique sur le cuir chevelu :
Bien que la dermite séborrhéique soit fréquente, il existe d’autres types d’eczéma avec des caractéristiques et des symptômes différents.
L’eczéma atopique, aussi appelé dermatite atopique, est une maladie inflammatoire chronique de la peau. Elle se développe principalement chez les personnes qui présentent des allergies (acariens, poils d’animaux, pollens…). Non contagieuse, elle se manifeste par poussées lors d’expositions aux allergènes. Cette maladie cause des démangeaisons, et touche principalement les enfants de moins de 3 ans. Elle peut ensuite disparaître totalement, ou persister à l’âge adulte.
Le facteur génétique est la première cause d’eczéma atopique. C’est le résultat d’une anomalie immunologique et cutanée transmise génétiquement :
Ces différentes réactions provoquent les mêmes symptômes : démangeaisons, lésions cutanées (rougeurs, aspect rugueux, suintements…) ou encore croûtes blanchâtres. Elles peuvent apparaître sur le cou, le front, le menton, les joues, les fesses et la tête, chez les nourrissons et les enfants de moins de 3 ans. Chez l’adulte, on retrouve ces symptômes au niveau des plis du corps : coudes, arrière des genoux…
La dermatite atopique peut causer plusieurs complications :
L’eczéma allergique, aussi connu sous le nom d’eczéma de contact est une autre forme d’eczéma. Cette fois, la maladie se manifeste après un contact direct de la peau avec un allergène. Elle peut survenir même en l’absence d’un terrain allergique génétique.
Les causes les plus courantes concernant l’eczéma allergique concernant :
Quelle que soit l’origine de la réaction allergique, les symptômes restent identiques. Des plaques rouges et sèches apparaissent et sont accompagnées de démangeaisons. Il est également possible de détecter de fines vésicules remplies de liquide clair et des croûtes.
Ces symptômes sont la conséquence d’un contact direct entre la peau et la substance allergisante. Elle peut être localisée sur le cuir chevelu, les mains ou le visage et s’étendre sur tout le corps en cas de forte réaction. L’eczéma atopique et de contact peuvent cohabiter chez une même personne.
Comme nous l’avons mentionné précédemment, il existe plusieurs matières et substances allergènes que l’on retrouve dans les vêtements (teintures, pesticides, herbicides…), les chaussures (colles, caoutchouc, cuir…) ou encore les cosmétiques. Par exemple, pour les produits de beauté, il existe une liste de 26 molécules allergènes historiques dans laquelle on retrouve l’Amyl Cinnamol, le Citronellol, l’Eugenol ou encore le Linalool. Ces noms sont mentionnés obligatoirement sur les étiquettes des produits. Ils proviennent principalement d’ingrédients parfumants utilisés dans des crèmes ou des lotions (parfums, huiles essentielles…).
Certaines professions sont très exposées aux allergènes, et présentent plus de risques de développer un eczéma de contact : les personnes qui travaillent dans le bâtiment, la coiffure, les professionnels de santé ou encore les horticulteurs en font partie. Attention, il existe également des allergènes qui se déclenchent en contact avec les UV. Ce sont des photos allergènes (cosmétiques qui contiennent des huiles essentielles, certains médicaments…). Il est conseillé d’éviter les expositions au soleil pendant le traitement.
L’eczéma du cuir chevelu est une forme fréquente d’eczéma. Cette maladie nécessite des traitements spécifiques et adaptés à la zone. Généralement, ce sont des lotions ou des shampoings qui sont prescrits.
Dès l’apparition de signes d’eczéma du cuir chevelu, le premier réflexe est de prendre rendez –vous avec un professionnel de santé spécialisé dans les problèmes de peaux (dermatologue) ou les allergies (allergologue). Il pourra ainsi déterminer les causes de ces réactions et trouver le traitement adéquat. En attendant, il est conseillé d’éviter tout contact avec le produit suspecté d’avoir déclenché les symptômes. Ensuite, si un allergisant est détecté par la série de tests cutanés, il faudra le bannir catégoriquement à l’avenir. En utilisant correctement les soins prescrits par le médecin, les démangeaisons doivent s’atténuer, et les résultats se faire ressentir.
En cas de suspicion d’allergie ou de fragilité, il vaut mieux éviter tout ce qui peut provoquer un eczéma du cuir chevelu. Par exemple, privilégiez les shampoings qui ont le moins d’ingrédients possibles et les colorations végétales pour éviter au maximum toute réaction allergique.
Afin de maintenir un cuir chevelu équilibré et de cibler l'inflammation qui peut être facteur d'eczéma ou d'irritations cutanées autant sur la peau que sur le cuir chevelu, vous pouvez également faire des cures de compléments alimentaires comme le Trio Peau & Cheveux de Circles. Le trio contient les cures CLEAR et GROW, ainsi que l'infusion RESET, et est particulièrement indiqué pour aider à équilibrer le cuir chevelu et soutenir la santé des cheveux dès la racine. Adapté à toutes les phases de la vie, le trio soutient la santé de la peau et des cheveux cheveux en cas de perte de vitalité ou de chute liés à un changement hormonal (grossesse, ménopause…) ou à une période de stress.
Le cuir chevelu est une zone qui doit être entretenue et traitée correctement pour éviter toute réaction. En cas d’eczéma, choisissez un shampoing doux, adapté au cuir chevelu sec. Après avoir laissé poser quelques instants, rincez votre tête à l’eau tiède pas plus de 5 minutes, puis passez à l’essorage avec une serviette propre, sans frotter. Si vous utilisez un sèche-cheveux, maintenez la température basse.
Pour le coiffage, privilégiez une brosse à poils doux et évitez les peignes qui peuvent être agressifs. L’été, pensez à protéger votre crâne du soleil avec un chapeau pour éviter les ecchymoses du cuir chevelu et les cheveux secs.
Ce sont les solutions prescrites par les spécialistes en fonction du type d’eczéma et des symptômes qui apparaissent. Il en existe plusieurs, par voie orale et cutanée.
On note deux types de shampoings médicamenteux :
Ces shampoings sont à utiliser à raison de 2 fois par semaine pendant un mois. Pour qu’ils agissent efficacement, il faut les laisser poser environ 5 minutes avant de rincer. En entretien, ils peuvent être réutilisés hebdomadairement pendant 3 mois suivant le traitement pour éviter les récidives.
En plus des shampoings, il existe également des lotions ou des crèmes qui peuvent être prescrites pour atténuer et faire disparaître l’eczéma du cuir chevelu. Le plus souvent, ce sont des produits à base de cortisone, qui contiennent des dermoticoïdes. Ils apaisent les démangeaisons et les inflammations, et hydratent le cuir chevelu. En quelques semaines, les symptômes s’estompent.
Pour les cas les plus sévères, les spécialistes peuvent prescrire un traitement systémique. C’est un produit qui agit en pénétrant dans l’organisme pour le guérir ou le protéger d’un agresseur extérieur. Dans le cas de l’eczéma du cuir chevelu, ce sont des comprimés à avaler par voie orale ou des injections locales.
D’autres traitements que les shampoings ou les lotions existent pour traiter l’eczéma du cuir chevelu. Parfois, la prise de médicaments par voie orale est inévitable. Dans ce cas, ce sont des comprimés à base de cortisone ou de type antihistaminiques qui sont délivrés. Ils agissent contre les réactions allergiques qui causent d’eczéma, en faisant provisoirement "baisser la garde" du système immuniatire. Ils sont utilisés comme traitements temporaires pour calmer des démangeaisons trop importantes, qui nuisent au sommeil par exemple. Certains médecins pratiquent également la mésothérapie du cuir chevelu. Ce sont des injections locales à base de vitamines, d’oligo-éléments et d’acide hyaluronique. Elles doivent être réalisées sur un cuir chevelu sain et traité. Cette solution est conseillée pour réactiver la biostimulation de la croissance capillaire en cas de perte de cheveux liée à un eczéma, un changement hormonal ou une carence.
Le traitement oral contre l’eczéma du cuir chevelu offre des résultats rapides même sur des cas sévères. Il est uniquement adapté aux eczémas liés à une réaction allergique. La contenance en cortisone peut engendrer des effets secondaires comme la somnolence, la prise de poids ou encore des maux de tête. Ils sont à éviter en cas de glaucome ou de maladie cardiovasculaires. Il faut également prendre en compte qu'un traitement à base de cortisone peut présenter diverses contre-indications médicamenteuses, affaiblir les défenses immunitaires et être photosensibilisant. En ce qui concerne les femmes allaitantes, un avis médical est indispensable avant toute prise.
Les injections quant à elles sont une solution adaptée aux personnes qui sont guéries et qui ne présentent plus aucun signe d’eczéma du cuir chevelu, mais qui souhaitent réhydrater la zone, ou stimuler la pousse en cas de perte de cheveux.
En cas de symptômes et d’apparition des signes d’eczéma du cuir chevelu, il existe des habitudes à mettre en place pour éviter que le problème s’aggrave ou ne persiste.
Il est conseillé de choisir des produits capillaires le plus naturels possibles, sans allergènes. Privilégiez les shampoings et soins pour cheveux sans parfum, doux et hydratants.
Le lavage des cheveux ne doit pas durer plus de 5 minutes, avec l’application du shampoing et le rinçage. L’eau doit être tiède. Évitez la chaleur du sèche-cheveux et de trop frictionner les cheveux pour les sécher. Utilisez toujours une serviette propre pour essorer sans frotter, et un sèche-cheveux à température modérée.
Le stress augmente la production de cortisol dans le corps, l’hormone du stress. Cela crée une réponse inflammatoire au sein de l’organisme et une perturbation de la fonction de la barrière de la peau. La formation d’eczéma peut alors survenir en cas de situation de stress ou de choc.
D’autres facteurs aggravants peuvent être à l’origine de la formation d’eczéma :
L’eczéma du cuir chevelu doit être détecté et soigné dès les premiers signes pour un résultat durable. Avant la prescription d’un traitement, les médecins doivent déterminer le type d’eczéma et en définir la ou les causes. Avec une bonne hygiène, et le traitement adéquat, cette maladie se résorbe facilement.
Pour l’eczéma du cuir chevelu, comme pour toute forme d’eczéma, il faut prendre en compte le problème dans sa globalité. Cela signifie qu’il faut traiter la zone, mais aussi chercher les causes des crises. Ainsi, vous pourrez adopter un nouveau comportement pour éviter l’apparition des plaques et des démangeaisons, et obtenir de meilleurs résultats.
Prendre rendez-vous avec un dermatologue ou un allergologue est le premier réflexe à avoir pour déterminer les causes de l’eczéma (allergique, héréditaire, environnemental…). C’est la seule solution pour avoir le bon traitement.
Le jeûne intermittent est un thème dont on entend de plus en plus parler depuis quelques années : dans les magazines, au travail, dans notre entourage familial, via les réseaux sociaux… Et de plus en plus, on peut lire ou entendre dire que louer les multiples bienfaits du jeûne intermittent : pour perdre du poids, pour réguler les hormones, lutter contre les troubles menstruels comme les douleurs de règles, le SPM, le SOPK, l’endométriose et même pour aider à mieux gérer les symptômes de la ménopause. Mais qu’en est-il vraiment ? Le régime du jeune intermittent est-il une mode passagère ou est-ce une vraie solution aux bienfaits durables ?
Commençons par le début, qu’est-ce que le jeûne intermittent ?
Le jeûne intermittent, comme son nom l’indique, recommande de jeûner par intermittence. Concrètement ça veut dire qu'on alterne les phases de jeûne et les phases pendant lesquelles on mange.
Il existe différentes manières de pratiquer le jeûne intermittent, le mode de jeûne le plus commun étant le jeûne intermittent 16:8. Ce qui signifie que l'on peut manger pendant une fenêtre de temps de 8h (par exemple entre 9h et 17h) et qu'une fois ce temps écoulé, on ne mange rien pendant 16h (on peut toutefois boire des boissons non caloriques comme de l'eau ou des infusions non sucrées), puis on recommence.
Le but est de prolonger la phase de jeûne (= le temps entre le dernier repas de la journée et le premier du jour suivant) car cela aiderait à soutenir le processus naturel de détoxification du corps et augmenterait la sensibilité de l'organisme à l'insuline. Or, l'insuline joue un rôle capital dans la régulation de la glycémie et du métabolisme, et en la régulant, le jeûne intermittent pourrait aider à perdre du poids, mais aussi lutter contre l'inflammation et de nombreux autres symptômes qui peuvent être liés à l'inflammation.
Pour comprendre comment fonctionne le jeûne intermittent, il est essentiel de comprendre le rôle de la glycémie dans l’organisme, notamment au niveau hormonal.
La glycémie, c’est le taux de sucre dans le sang, elle augmente à chaque fois qu’on mange, plus ou moins rapidement en fonction de l’indice glycémique des aliments (= un aliment à indice glycémique élevé, comme par exemple une barre chocolatée fait monter rapidement et fortement la glycémie, un aliment à IG faible, comme les épinards, n’a qu’un faible impact sur la glycémie.
Ce qui pose problème avec la glycémie, c’est qu'une glycémie trop élevée de manière chronique peut entraîner une variété de symptômes : inflammation, acné, fringales, prise de poids, fatigue, difficulté de concentration… une hyperglycémie chronique liée à une surconsommation de sucres et d’aliments industriels est même la cause principale du diabète de type 2.
En réduisant la fenêtre de temps pendant laquelle on prend ses repas, le jeûne intermittent contribue à augmenter la sensibilité de l’organisme à une hormone très importante : l’insuline. Cette hormone est cruciale pour la régulation de la glycémie. Quand la glycémie augmente, le corps produit de l’insuline (merci le pancréas) qui va faire baisser la glycémie, en envoyant le message au corps de consommer le glucose (= le sucre) qui est dans le sang (ou de le stocker pour plus tard).
Sauf que chez certaines personnes, peut se produire une résistance à l’insuline, ce qui signifie que le corps ne réagit pas suffisamment à la présence de cette hormone. Au lieu de redescendre en réponse à l’insuline, la glycémie peut continuer d’augmenter de manière incontrôlée, ce qui peut alors conduire à une inflammation : douleurs, troubles digestifs, déséquilibre hormonal, fatigue, fringales…
Aussi chez les personnes qui présentent une résistance à l'insuline—c'est notamment le cas chez certaines femmes touchées par le SOPK—le glucose est stocké au lieu d’être utilisé comme “carburant” (= transformé en graisse), ce qui peut se traduire par une prise de poids inexpliquée (= on grossit sans forcément manger beaucoup) et surtout, la perte de poids peut s'avérer très difficile.
En augmentant la sensibilité de l'organisme à l'insuline, le jeûne intermittent peut aider à réguler la glycémie et lutter contre les effets néfastes d'une hyperglycémie chronique comme la prise de poids ou la difficulté à en perdre.
On l'a déjà évoqué plus haut : la résistance à l’insuline est souvent corrélée au SOPK. Les femmes concernées par cette pathologie hormonale souffrent de symptômes divers : acné, hirsutisme, cycles irréguliers, fatigue chronique, mais aussi infertilité, prise de poids, difficultés à en perdre. Pratiquer le jeûne intermittent peut aider à atténuer certains symptômes du SOPK, en équilibrant la glycémie et en luttant contre l'inflammation qui caractérise ce syndrome.
L’une des préoccupations les plus fréquentes à l’approche de la ménopause, c’est la prise de poids, ce qui est notamment lié au fait que le métabolisme ralentit et que le corps stocke davantage la graisse après 40 ans. Pratiquer le jeûne intermittent à l'approche de la ménopause peut aider à combattre la prise de poids en améliorant la sensibilité à l’insuline et en stimulant le métabolisme.
Le régime du jeûne intermittent est efficace pour combattre l’inflammation qu’une glycémie trop élevée peut provoquer. Ainsi, la pratique du jeûne intermittent peut être bénéfique pour les personnes qui souffrent d’endométriose, et contribuer à réduire les douleurs chroniques que cette maladie peut provoquer. La pratique du jeûne intermittent peut avoir des bienfaits en cas de déséquilibre hormonal d'origine inflammatoire, pour les femmes qui ont SPM très marqué ou qui souffrent de règles très douloureuses (à condition de ne pas le pratiquer n’importe comment, on y reviendra).
Des études récentes ont démontré les bienfaits du jeûne intermittent en cas de maladies auto-immunes comme le diabète de type I ou la polyarthrite rhumatoïde (une maladie des articulations extrêmement douloureuse). Le jeûne intermittent semble être efficace pour réduire les marqueurs d’inflammation, soutenir la santé du microbiote digestif, et même pour stimuler le mécanisme d’autoréparation cellulaire de l’organisme.
S’il est vrai qu'il peut apporter de nombreux bienfaits, le jeûne intermittent n'est pas tout à fait la solution miraculeuse et sans aucun effet adverse que certains veulent nous faire miroiter, le jeûne intermittent a également des limites et des inconvénients. Avant de vous lancer les yeux fermés dans la pratique de ce mode d'alimentation, il est important de prendre connaissance de ses aspects moins positifs.
Le jeûne intermittent est loin d'être une solution universelle qui convient à tout le monde. Déjà, parce que tout le monde ne peut pas suivre ce mode d'alimentation qui nécessite une certaine discipline et organisation. Mais surtout, certaines pathologies, certaines situations peuvent être une contre-indication, et pratiquer le jeûne intermittent dans ces conditions peut poser un risque pour la santé.
Si vous êtes actuellement dans une situation de stress intense, d’épuisement mental ou psychique ou de convalescence, changer de mode d’alimentation et réduire la fréquence des repas n’est pas la chose à faire. Votre corps a besoin de se reposer et le jeûne intermittent peut être un facteur supplémentaire d’épuisement. Si vous avez une situation médicale qui nécessite une attention particulière, que vous avez une maladie chronique, que vous suivez un traitement médicamenteux, ne pratiquez pas le jeûne intermittent sans avoir au préalable consulté un professionnel de santé qualifié. Le jeûne intermittent ne convient pas non plus aux femmes enceintes ou qui allaitent.
J' peux pas, j’ai jeûne intermittent ! Changer de mode d'alimentation représente aussi une contrainte sur le plan social et relationnel : après tout, ne pas manger le soir ou le matin = un repas qu’on ne peut pas partager avec sa famille ou entre amis. Pratiquer le jeûne intermittent et ne plus manger après 17h ou 18h, ça veut aussi dire ne plus participer aux dîners entre amis, devoir renoncer au plaisir du popcorn au cinéma, à l'apéro spontané entre collègues après le travail... Pratiquer le jeûne intermittent de façon assidue demande une certaine rigueur et des sacrifices (on précise que, même si ce n'est pas un aliment, l’alcool est évidemment également "interdit" pendant la phase de jeûne puisqu'il fait monter la glycémie).
Une erreur très fréquente, surtout quand on commence le jeûne intermittent, c’est de penser que ça consiste à manger moins. Le principe du jeûne intermittent n’est pas de manger moins ou de sauter un repas, mais de "condenser" la quantité que l'on mangerait en une journée sur un temps plus restreint. Même s'il est vrai que naturellement, la pratique du jeûne intermittent amène souvent à une réduction, voire un arrêt des grignotages "inutiles" (bye bye le snack de minuit ou la glace qu'on mange en regardant une série...), le jeûne intermittent n'est pas synonyme de réduction calorique.
Sauter systématiquement un repas tous les jours va souvent se traduire par une perte de poids rapide dans un premier temps. Mais si on continue à “mal” pratiquer le jeûne intermittent de cette façon, on risque l’épuisement à long terme, car le corps ne reçoit pas suffisamment d’énergie pour fonctionner autant sur le plan physiologique que mental. Le backlash risque alors d'être d'autant plus fort, et si on a constaté une amélioration de certains symptômes dans un premier temps, ils risquent de revenir décuplés par la suite.
Avoir des plages horaires restreintes pendant lesquelles on peut ou pas s’alimenter comme c'est le cas dans le jeûne intermittent peut être un facteur (déclencheur ou réveillant) de troubles du comportement alimentaire (TCA). Avant de pratiquer le jeûne intermittent, les personnes ayant un historique de trouble du comportement alimentaire (boulimie, anorexie, orthorexie…) ou qui pourraient être susceptibles d'en développer un doivent se rapprocher d'un professionnel de santé et idéalement, être suivies par un médecin et/ou un psychologue formé sur ces questions.
Le jeûne intermittent est devenu de plus en plus tendance ces dernières années, notamment auprès des femmes, car de plus en plus de personnes pratiquent ce régime alimentaire et en parlent, surtout sur les réseaux sociaux. De plus en plus, des études publient des résultats qui semblent prometteurs sur de nombreux aspects : obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, rhumatismes… Le jeûne intermittent peut être bénéfique pour certains déséquilibres hormonaux comme le SOPK, pour aider à stimuler le métabolisme et lutter contre la prise de poids pendant la (pré)ménopause ou pour combattre l'inflammation qui fait souffrir les femmes touchées par l'endométriose, mais on manque de recul sur les bienfaits du jeûne intermittent à long terme.
Si on est honnêtes, on doit reconnaître que les femmes n'ont pas le même rapport à leur corps que les hommes. Les femmes sont beaucoup plus susceptibles d'avoir des complexes et — même à poids sain ou "normal" — de penser qu'elles ont des kilos "en trop". Or, l'un des principaux objectifs du jeûne intermittent, c'est de soutenir la perte de poids. Mais l'idéal d'un corps mince, réduit au minimum de masse grasse, qui est souvent mis en avant par des influenceurs ou coachs masculins n'est pas applicable de la même manière aux femmes.
Par exemple : le corps des femmes contient environ 11% de graisse de plus que celui des hommes, et c’est tout à fait normal, c’est même nécessaire ! Le pourcentage de masse grasse saine pour les femmes est entre 20-30% (et oui ! entre ⅕ et ⅓ de notre corps est, non devrait être constitué de graisse !) tandis que chez les hommes, il se situe entre 8-20%.
Or, la graisse, si elle est là, c’est qu’elle a une fonction : la graisse sert bien sûr de réserve énergétique et à protéger les organes, mais la graisse corporelle participe également à régulation hormonale. Et si trop de graisse augmente le risque de certaines maladies, en avoir trop peu n’est pas bon non plus ! (encore une fois, tout est une question d’équilibre 😉).
Si le jeûne intermittent peut être bénéfique pour les femmes qui ont des difficultés à perdre du poids, notamment en cas de surpoids, de SOPK ou en cas d’insensibilité à l’insuline, perdre trop de poids—et trop de graisse—peut aussi être un facteur de déséquilibre hormonal et de dérèglements du cycle menstruel (le risque étant un déficit d’œstrogènes conduisant à des cycles irréguliers, voire même une aménorrhée, des troubles de la fertilité…)
Or, parmi tous les conseils sur "comment pratiquer le jeûne intermittent" : livres, podcasts, coachs, nutritionnistes, youtubeurs, médecins... l'écrasante majorité ne prend pas suffisamment en compte la spécificité du corps des femmes et le rapport parfois biaisé que les femmes peuvent avoir à leur corps (même inconsciemment, on continue à penser que perdre du poids = une bonne chose, même si cela peut avoir des conséquences néfastes sur la santé).
Aussi, il est important de souligner que les besoins du corps féminin changent en fonction du cycle — et des phases de vie — à cause des variations hormonales qui le traversent. Ainsi, il n'est pas recommandé de pratiquer le jeûne intermittent pendant tout le cycle. Dans son livre dédié au sujet du jeûne intermittent Fast like a girl, l'autrice Mindy Peltz recommande par exemple de ne jamais pratiquer de jeûne pendant la phase prémenstruelle, soit à partir du 20é jour du cycle jusqu'au début des règles, car cette phase est une phase pendant laquelle le corps a besoin de nutrition.
Le jeûne intermittent est une solution qui peut être intéressante pour cibler spécifiquement certains symptômes liés à un déséquilibre hormonal ou à des pathologies comme l'endométriose ou les maladies auto-immunes. Les bienfaits du jeûne intermittent ont été démontrés—mais il ne faut pas oublier l'importance de le pratiquer de manière safe et raisonnée.
On l’a déjà dit plus haut, mais on le répète, le jeûne intermittent, ce n’est pas réduire son apport calorique ou sauter un repas ! Si vous voulez pratiquer le jeûne intermittent efficacement, évitez de faire cette erreur, car cela risquerait de se solder par un épuisement à la fois mental et physique, si ce n’est une situation dangereuse pour la santé ou qui peut potentiellement être un risque de développer un trouble du comportement alimentaire.
Comme pour toute nouvelle chose, il est préférable d’y aller progressivement (et, on le répète, de se faire accompagner par un.e professionnel.le de santé qualifié). Si vous mangez 3 repas par jour, il vous sera sans doute difficile de passer au jeûne 16:8 du jour au lendemain (c'est surtout une idée moyennement bonne pour ne pas dire mauvaise).
Vous pouvez par exemple commencer par retarder un peu l’heure à laquelle vous prenez votre petit-déjeuner : plutôt que de manger avant d’aller au travail, préparez un sandwich que vous mangerez pendant votre première pause de la journée, sans oublier que encore plus que l'heure à laquelle vous mangez, c'est ce que vous mangez qui est déterminant pour l'équilibre des hormones et de la glycémie. Vous pouvez aussi prendre l’habitude de dîner un peu plus tôt et ne plus grignoter après ce dernier repas.
Une grande partie des personnes qui pratiquent le jeûne intermittent choisissent de ne pas manger le matin. C’est sans doute le choix le plus pratique, car on gagne du temps le matin : ne pas avoir à préparer et prendre de petit-déjeuner = autant de temps qu’on peut redistribuer ailleurs : on peut dormir un peu plus longtemps, prendre plus de temps sous la douche, faire du sport, ou tout simplement aller au travail sans avoir à se presser… La grande question est de savoir si on peut boire du café pendant la pratique du jeûne intermittent ? La réponse est oui, mais.
Il est tout à fait possible de boire du café ou du thé pendant la pratique du jeûne intermittent, à condition de le boire noir, sans sucre ou lait ajouté. Le problème, c’est que certaines personnes peuvent avoir tendance à vouloir “masquer” la sensation de faim avec le café. N’oublions pas que ne pas manger = ne pas donner d’énergie au corps, il se peut donc qu’on soit fatigué et qu’on ai du mal à se concentrer. Le mauvais réflexe à avoir dans ce cas, c’est de vouloir se donner un coup de boost en abusant du café. Car si la caféine est effectivement un stimulant et qu’elle permet de lutter contre la fatigue, elle fait aussi partie des irritants, c’est-à-dire qu’elle peut être un facteur d’inflammation—ou même pire : elle peut stimuler la production de cortisol, aka l’hormone du stress.
Plutôt que de boire du café pendant la période de jeûne du jeûne intermittent, il est plus recommandé de boire des infusions, comme l’infusion RESET, dont les plantes ont des propriétés équilibrantes et détoxifiantes.
Le jeûne intermittent est un régime qui demande une certaine rigueur pour être pratiqué correctement et profiter des bienfaits, mais il ne convient pas ne doit pas être une excuse pour manger n’importe quoi / comment ou pour ne plus s’alimenter suffisamment.
Si votre collègue vous vante les innombrables bienfaits que le jeûne intermittent lui a apporté, tant mieux, mais ça ne veut pas dire que ce sera la même chose pour vous ! Si vous vous sentez mal, que vous constatez des symptômes inhabituels, il est préférable d'arrêter et de consulter un professionnel de santé sans attendre.
Il est important de garder à l’esprit qu’il se passe des choses dans notre corps pendant le cycle et qu’en fonction de ces phases, le corps a des besoins différents. Les variations hormonales impactent nos besoins physiologiques et nos émotions, le sommeil, l’appétit, le métabolisme, l’énergie, l’humeur… Pour cette raison, si vous pratiquez le jeûne intermittent, nous vous déconseillons de le pratiquer à 100% de la même manière tout au long de votre cycle menstruel. Pendant la phase prémenstruelle, le corps a des besoins particuliers : les hormones baissent, c’est une phase de repli sur soi, on est plus sensible émotionnelement autant que physiquement et le corps a besoin davantage de repos, mais aussi d’énergie (et donc de calories). Il est donc plutôt déconseillé de pratiquer le jeûne intermittent pendant la phase qui précède les règles.
Le jeûne intermittent est une solution intéressante pour réguler la glycémie et aider à perdre du poids et réguler les hormones en cas de déséquilibre hormonal, mais ce n’est pas la seule !
Nos cures naturelles sont également une solution qui permet d’aider à naturellement équilibrer les hormones et lutter contre les dérèglements du cycle ou pour atténuer les symptômes liés à la ménopause ou la préménopause.
Pour savoir quelle cure est faite pour vous et peut vous aider à soulager vos problématiques, vous pouvez faire notre diagnostic gratuit.
L’intérêt du jeûne intermittent, c’est que le jeûne prolongé aide à augmenter la sensibilité de l’organisme à l’insuline. Sauf que ces bienfaits peuvent aussi être atteints sans jeûner, ou plutôt, avec des "mini-jeûnes" entre les repas. Au lieu de jeûner, vous pouvez simplement essayer de limiter le grignotage. C'est moins contraignant et presque aussi efficace ! En réalité, plus l’espace entre les repas est court, plus le risque de résistance à l’insuline est fort. En espaçant les repas — environ 5-6h entre deux repas en journée et 12h entre le dernier repas de la journée et le repas suivant — on permet à l’organisme d’avoir le temps de digérer et à la glycémie de redescendre avant le repas suivant, de la même manière (ou presque) que le jeûne intermittent.
Parmi les cures Circles, certaines aident à réguler naturellement la glycémie. Le GOLDEN RITUAL—boisson adaptogène inspirée du Golden Milk ayurvédique— par exemple contiennent des ingrédients comme le curcuma, qui a des propriétés anti-inflammatoires et dont les bienfaits pour équilibrer les hormones et le cycle sont connus depuis des millénaires. Le GOLDEN RITUAL contient également du Maitaké, un champignon adaptogène très réputé pour ses nombreux bienfaits, y compris sur la régulation de la glycémie. D'après des études récentes, le maitaké serait même efficace pour naturellement booster le métabolisme et aider les personnes qui souhaitent perdre du poids.
Depuis quelques années, on entend de plus en plus parler des bienfaits du vinaigre de cidre pour réguler la glycémie. Le vinaigre de cidre a effectivement de nombreux bienfaits pour la santé : des études ont démontré que boire du vinaigre de cidre dilué dans un verre d’eau avant un repas permet de limiter l’impact glycémique de certains aliments. Le vinaigre de cidre est également une source naturelle de probiotiques, ce qui en fait un allié d’une digestion saine, en plus de ses bienfaits équilibrants sur la glycémie.
Certaines plantes ont un effet naturellement régulateur de la glycémie, c'est notamment le cas de la bardane ou du curcuma, que l'on peut retrouver dans CLEAR, notre cure détox et acné hormonale. Son effet régulateur de la glycémie et anti-inflammatoire fait de CLEAR une cure efficace pour lutter contre les symptômes liés à l'inflammation ou l'excès d'androgènes comme les fringales, la fatigue, l'acné, la perte de cheveux ou encore les cycles irréguliers.
En conclusion, il faut effectivement reconnaître que le jeûne intermittent comporte un certain nombre de bienfaits comme la régulation de la glycémie, une aide pour la perte de poids et la régulation du métabolisme.
Mais s’il permet d’améliorer certains symptômes, le jeûne intermittent a aussi des limites et des contre-indications, puisqu’il ne convient pas à tous (et toutes !) et peut chez certaines personnes poser un risque d’épuisement ou même risquer de réveiller un trouble du comportement alimentaire.
Pour cette raison, notre avis sur le jeûne intermittent est divisé : il peut certes être bénéfique, mais il faut s’assurer de le pratiquer correctement et pour les bonnes raisons.
Enfin, il est important de souligner que les bienfaits que peut apporter le jeûne intermittent peuvent être atteints par d’autres moyens comme la pratique d’une activité physique régulière, une alimentation équilibrée qui met l’accent sur les protéines et les bonnes graisses ou encore les bienfaits de certaines plantes que l’on peut retrouver dans nos cures naturelles.
Aussi, il ne faut pas oublier que l’on manque de recul sur les bienfaits du jeûne intermittent sur le long terme et sur le corps des femmes. Notre avis sur le jeûne intermittent est que s'il peut être utile pour certaines personnes, et à un certain moment, le jeûne intermittent ne doit pas être considéré comme une solution miracle et sans danger.
On entend souvent parler d'acné sur le visage, ou sur le corps, mais rarement sur le cuir chevelu. Pourtant, c'est une zone qui peut également être touchée, en raison de différents facteurs comme les dérèglements hormonaux, la surproduction de sébum ou certaines infections par exemple. L'apparition de boutons sur le cuir chevelu peut être une source de complexes et, si on a les cheveux courts, difficile à cacher.
Heureusement, il existe des solutions naturelles qui vous aideront à les réduire tout en en comprenant la cause.
Les boutons sur le cuir chevelu peuvent apparaître à tout âge, chez les hommes comme les femmes. Ces éruptions cutanées se manifestent à la racine des cheveux, et peuvent emporter avec elles certains désagréments comme des démangeaisons, des rougeurs ou encore des pellicules. Les causes peuvent être dues à des facteurs internes (bouleversements hormonaux, surproduction de sébum, acné...) ou externes (infections et bactéries, produit cosmétique inadapté, allergie...). Si vous remarquez ou si vous ressentez des boutons sur votre cuir chevelu, pas de panique, il existe des solutions naturelles pour les réduire, et même des astuces pour les éviter.
Avant de vous présenter les solutions, concentrons-nous sur le problème. Il est important de comprendre d'où peuvent venir les boutons sur le cuir chevelu afin de mieux les traiter.
L'acné est une maladie inflammatoire du follicule pilo-sébacé, la structure à l'origine de la création d'un poil ou d'un cheveu, et où s'ouvrent les glandes sébacées, responsables de la production de sébum. Lorsque le sébum s'écoule mal, les pores s'obstruent et engendrent alors l'apparition de boutons, de pustules voire de kystes. Ce type d'acné peut se manifester sur le visage, le torse et le dos, mais aussi sur le cuir chevelu : c'est le follicule pileux du cheveu qui s'enflamme. Des bosses d'acnés réparties sur le long de la racine ou sous le cuir chevelu surgissent alors. L'acné du cuir chevelu peut être bénigne, elle peut simplement être la cause d'un changement hormonal ou d'une période de stress. Dans certains cas plus sévères, elle peut être la cause de chute de cheveux ou de démangeaisons, ce qui nécessite un traitement adapté.
Les boutons sur le cuir chevelu peuvent être dus à de multiples causes :
Les facteurs hormonaux : les changements ou les déséquilibres hormonaux comme une grossesse, la puberté, un contraceptif ou le syndrome prémenstruel.
Les facteurs externes : la pollution, une réaction allergique ou un produit cosmétique inadapté.
La surproduction de sébum : ce que l'on appelle l'hyperséborrhée peut être causée par le stress, le tabac, la fatigue, une alimentation trop riche et sucrée, mais aussi une surexposition au soleil.
Les bactéries et les infections : elles peuvent être à l'origine de maladies comme la folliculite du cuir chevelu qui engendre une chute capillaire, l'acné du cuir chevelu, la dermatite séborrhéique (plaques rouges, squames, démangeaisons...) ou encore l’eczéma allergique (démangeaisons, rougeurs...).
L'apparition de boutons sur le cuir chevelu peut avoir plusieurs conséquences, sur la santé physique mais aussi psychologique des personnes touchées.
Les inflammations dues à l'acné ou à une maladie de peau peuvent être douloureuses. Situées sur le cuir chevelu, elles peuvent engendrer des maux de têtes et des migraines, ainsi que des démangeaisons. Sur le long terme, elles peuvent également être la cause d'une chute de cheveux, et de l'apparition de cicatrices si les boutons ne sont pas traités correctement.
L'aspect inesthétique des boutons sur le cuir chevelu peut être à l'origine de complexes et de perte d'estime de soi, surtout pendant les périodes de bouleversements hormonaux comme la puberté ou le syndrome pré-menstruel. Cela peut produire un état dépressif, voir de l'anxiété et un isolement progressif. Si vous êtes dans ce cas, ne vous inquiétez pas, il existe des ingrédients naturels aux super pouvoirs pour lutter contre ces méchants boutons et retrouver un cuir chevelu de toute beauté !
Stop l'ambiance morose, intéressons-nous aux solutions pour réduire les boutons sur le cuir chevelu.
Circles vous propose toute une gamme pour prendre soin de vos cheveux et de votre cuir chevelu, en maintenant leur équilibre et leur santé.
Le Duo Réequilibrage & Détox : u
Un duo de choc pour soutenir l'équilibre des hormones et de la peau à long terme. Ce concentré de bienfaits contient des ingrédients naturels issus de plantes comme l'ortie, le gattilier ou le romarin, qui vont vous aider à lutter contre les problèmes de peau, à maintenir une fonction hépatique normale et à contribuer à l'équilibre hormonal féminin. On y retrouve également des minéraux tels que le magnésium qui contribue à retrouver des fonctions psychologiques normales et à réduire la fatigue.
Le Trio Peau & Cheveux :
Le trio gagnant pour détoxifier votre organisme, et retrouver une belle peau et des cheveux en bonne santé. Des plantes aux propriétés purifiantes, des minéraux et des vitamines vont agir ensemble pour améliorer l'état de votre peau, de vos cheveux et de vos ongles, tout en régulant l'activité hormonale de votre corps.
Certaines huiles essentielles agissent contre les boutons du cuir chevelu, et peuvent être utilisées pour les réduire ou prévenir leur apparition. Attention l'utilisation de certaines huiles essentielles est interdite pour les femmes enceintes et allaitantes.
Le tea tree : puissant antibactérien, le tea tree purifie et limite les inflammations acnéiques.
Le Palmarosa : avec son action purifiante, aseptisante, antibactérienne, et astringente, le Palmarosa est idéal en cas de points noirs et de pores dilatés.
Les huiles essentielles pures doivent être utilisées très localement. Pour les boutons du cuir chevelu, déposez-en à l'aide d'un coton tige sur chaque pustule. Pour une action plus globale, vous pouvez en ajouter quelques gouttes dans votre shampoing, dans une huile végétale ou un hydrolat par exemple. Pensez à toujours bien rincer l'huile essentielle et à ne pas vous exposer au soleil si vous laissez poser le produit, car c'est une substance photosensibilisante.
Comme la nature est bien faite, elle nous a donné des ingrédients aux propriétés magiques. C'est le cas du miel (merci les abeilles !). En effet, en plus d'être un aliment riche en sucre qui ne périme jamais (oui oui, jamais), le miel a des propriétés antibactériennes, ce qui lui permet de tuer les germes, de détoxifier, de cicatriser et de nettoyer la peau en profondeur. Pour effectuer un masque maison, mélangez 2 cuillères à soupe de miel avec un verre de vinaigre de cidre et d'eau. En plus de réduire les inflammations, ce mélange va contribuer à révéler votre chevelure de rêve en lui apportant brillance et douceur, le combo gagnant ! Lorsque votre mélange est fait, appliquez-le sur la zone et massez légèrement avec des mouvements circulaires avant de laisser poser 30 à 40 minutes. Ensuite, rincez à l'eau claire et effectuez votre routine cheveux habituelle.
Il existe d'autres remèdes naturels qui aident à lutter contre les boutons du cuir chevelu. Bonne nouvelle, vous avez forcément un de ces ingrédients dans vos placards, sinon vous pouvez les trouver facilement dans le commerce, et à moindre coût !
Les huiles végétales : les huiles de coco, de ricin ou de jojoba nourrissent et hydratent les cheveux et le cuir chevelu. Elles ont également une action anti-inflammatoire et aident à combattre les bactéries. Elles peuvent être appliquées en bain d'huile à laisser poser quelques heures, ou ajoutées au shampoing.
L'aloe vera : ce cadeau de la nature aux multiples vertus est hydratant, apaisant, réparateur, antifongique et cicatrisant. Sous forme de gel, appliquez-le uniformément sur votre cuir chevelu et laissez poser quelques heures avant de rincer.
Des gestes simples et des habitudes quotidiennes peuvent être mis en place afin de garder un cuir chevelu équilibré et des cheveux en bonne santé. Bonne nouvelle, on vous les partage !
Il est important de nettoyer régulièrement son cuir chevelu pour éliminer les impuretés comme la pollution, les excès de sébum ou les cellules mortes. Pour cela, pensez à utiliser un produit adapté à votre type de cheveux, et avec des ingrédients non agressifs (évitez le paraben ou le sulfate).
Privilégiez les shampoings doux avec le moins d'ingrédients possibles. Lorsque vous effectuez votre routine capillaire, prenez le temps de faire un massage pour stimuler la circulation sanguine du cuir chevelu, ce qui va activer la pousse et freiner la chute des cheveux. Les accessoires que vous utilisez dans votre routine capillaire doivent également être respectueux du cheveu pour éviter les agressions. Nettoyez régulièrement vos brosses et vos peignes pour éliminer les bactéries et les germes. Enfin, brossez vos cheveux matin et soir pour activer la micro circulation et répartir le sébum efficacement.
Enfin, gardez en tête que la santé de votre peau et de vos cheveux est impactée par vos habitudes alimentaires. Évitez les aliments trop riches et sucrés, et privilégiez les fruits et légumes, les protéines ainsi que les acides gras Omega-3 qui contribuent à maintenir une peau et des cheveux sains.
Vous l'aurez compris, même si les boutons sur le cuir chevelu peuvent apparaître lors de changements hormonaux, d'un déséquilibre ou de réactions suite à des éléments externes, il existe de nombreuses solutions pour y remédier.
Nos conseils et solutions à mettre en place pour réduire les boutons sur le cuir chevelu et ralentir leur apparition :
Utiliser les cures Circles adaptées à vos problématiques : problèmes de peau, rééquilibrage hormonal, boost du système immunitaire... Il existe forcément une solution qui vous convient.
Penser aux remèdes naturels : huiles essentielles, huiles végétales, miel, aloe vera, bicarbonate de soude... Il existe de nombreux ingrédients issus de la nature qui vous aideront à apaiser vos maux et à réduire l'apparition de vos boutons.
Adapter les habitudes du quotidien : parce que la beauté de la peau et des cheveux passe aussi par l'organisme, il est important de manger équilibré, de boire suffisamment d'eau et d'avoir un sommeil réparateur.
Le maca, non, la maca ! Cette plante que certains disent miraculeuse pour le bien-être et la santé des femmes est bien genrée au féminin elle aussi ! Et pour cause : la liste des problématiques sur lesquelles elle peut être bénéfique est longue, très longue : syndrome prémenstruel, ménopause, règles douloureuses, libido, fertilité, énergie, peau, cheveux, même le sommeil n'y échappe pas ! Pour toutes les situations, toutes les problématiques liées aux hormones ou à la santé des femmes, et à tout âge, la maca semble être une plante de choix. Mais d’abord, un peu d’histoire.
La maca, que l’on appelle aussi Gingeng Andin ou Ginseng Péruvien, est une plante—un tubercule pour être tout à fait précises—originaire des Andes péruviennes. Elle pousse à très haute altitude, entre 3500 et 4500m (soit presque la taille du Mont Blanc, qui culmine à 4809m d’altitude), et c’est l’une des seules plantes à survivre à des conditions climatiques extrêmes : très fortes chaleurs et soleil brûlant le jour, gel intense la nuit, vents violents et soutenus qui dessèchent la plupart des végétaux et causent une importante érosion des sols, créant de ce fait des conditions semi-désertiques. On suppose d'ailleurs que cette résistance hors du commun est une des explications de ses multiples bienfaits, un peu comme si sa force se transmettait directement à celle ou celui qui la consomme. Consommée depuis des siècles par les populations natives, son utilisation s'est étendue dans le monde entier au cours des dernières années, en raison de ses très nombreux bienfaits pour la santé.
Concrètement la poudre de maca, c'est : des glucides (65 à 75%), des protéines (9 à 13 %), des matières grasses (0,6 à 0,9%) et des fibres (4 à 8%, principalement de la cellulose et de la lignine). Jusqu'ici rien d'exceptionnel, même si la maca est un aliment très complet, qui a très largement contribué à sa bonne réputation. Source de protéines végétales de qualité, elle contribue à l’entretien et au développement de la masse musculaire (c'est l'une des raisons pour lesquelles elle est très appréciée des sportifs). Riche en fibres, elle est excellente pour la digestion et aider à stimuler le transit en douceur.
La richesse de la maca, ce qui la rend si populaire, c'est sa teneur exceptionnelle en vitamines, minéraux et antioxydants. En effet, elle est extrêmement riche en vitamine C antioxydante, bien connue pour ses nombreuses vertus santé. La vitamine C stimule les défenses immunitaires, aide à lutter contre la fatigue, booste la vitalité et aide aussi l’organisme à lutter contre l’oxydation responsable du vieillissement prématuré des cellules. Un autre avantage non négligeable : la maca est une bonne source de fer non-héminique. Ce mix vitamine C + fer est particulièrement bénéfique car on sait aujourd'hui que l’assimilation du fer est fortement favorisée en présence de vitamine C au sein du même repas.
La maga est également riche en cuivre et en manganèse et une précieuse source de Vitamine B1 (aussi appelée Thiamine). Elle contient également des oligo-éléments, des phytostérols et des glucosinolates (des composés considérés comme ayant des propriétés anticancéreuses). La principale substance bioactive est une alcaloïde appelée macaridine.
Adapto-quoi ? Adaptogène ! Les plantes dites adaptogènes sont des plantes qui ont des propriétés équilibrantes dans les deux sens, c’est-à-dire qu’elles adaptent leurs effets en fonction des besoins de l’organisme. Pour donner un exemple : une plante peut être à la fois énergisante et apaisante, c’est-à-dire qu’elle va avoir un effet stimulant quand il le faut (= donner de l’énergie pendant la journée) sans pour autant exciter ou perturber le sommeil. Au contraire, les plantes adaptogènes sont souvent bénéfiques autant pour booster les capacités cognitives et l’énergie physique, stimuler la concentration, tout en favorisant un sommeil réparateur et de bonne qualité.
Contrairement aux excitants comme la caféine (à tout hasard), les plantes adaptogènes favorisent un équilibre interne durable et aident à mettre en place un “cercle vertueux” de la régulation de l’énergie et du sommeil, tandis que la caféine a tendance à stimuler la production de cortisol (= l'hormone du stress) et, consommée en excès, peut compromettre l’endormissement et la qualité du sommeil, ce qui à son tour va causer de la fatigue le lendemain et encourager une consommation excessive de café pour combler cette fatigue.
La maca peut aider à réduire les manifestations du syndrome prémenstruel et les symptômes prémenstruels (SPM) tels que les crampes avant les règles, les sautes d'humeur et la fatigue. Les nutriments présents dans la maca contribueraient notamment à réguler les niveaux d'hormones et à réduire l'inflammation, ce qui peut contribuer à soulager les symptômes de SPM. Ce n’est pas une coïncidence si nous avons choisi d’ajouter de la maca au MOCHA RITUAL, notre boisson bien-être apaisante cacao/chicorée !
L'association des bienfaits de la chicorée pour la digestion (elle contient de l'inuline, un prébiotique naturel qui soutient la digestion et aide à lutter contre les ballonnements), du cacao riche riche en magnésium et en anti-oxydants et des bienfaits de la maca en fait une boisson idéale pour remplacer le café — temporairement ou durablement — et se faire du bien avant / pendant les règles ou à tout moment du cycle et de la journée.
La maca est également un aliment de choix pour la régulation de l'humeur et pour aider à réduire les niveaux de stress et d'anxiété. La maca semble être efficace pour accompagner et réduire les symptômes dépressifs, notamment chez les femmes ménopausées. Ces bienfaits s'expliqueraient notamment par le fait que la maca stimulerait certains neurotransmetteurs, comme la sérotonine et la dopamine, communément appelées hormones du bonheur et de la récompense, qui sont associées à une meilleure humeur et à une réduction du stress.
La maca est connue pour être un stimulant naturel de la libido des hommes, mais également de la libido féminine ! Des études ont notamment démontré que consommer de la maca semble être une solution en cas de perte de libido causée par la prise d'antidépresseurs, et chez les femmes ménopausées. Les mécanismes sont encore assez peu étudiés, mais on suppose que certains nutriments de la maca aident à réguler les niveaux d'hormones sexuelles, telles que la testostérone et l'œstrogène, qui sont importantes pour la libido. Pour cette raison, la maca est particulièrement intéressante pour stimuler la libido en cas de déséquilibre hormonal lié à un faible taux d'œstrogènes et pendant la préménopause et la ménopause.
La maca peut également améliorer la circulation sanguine dans le corps, y compris dans les parties génitales, ce qui peut contribuer à une augmentation de la libido et des sensations de plaisir, ce qui peut contribuer à une amélioration de la libido et de la qualité de vie sexuelle.
La libido féminine est un sujet encore (beaucoup !) trop peu exploré, mais la bonne nouvelle, c'est que la maca y apporte sa touche !
La racine de maca est un précieux allié en cas de projet bébé, surtout (mais pas que) en cas de cycles irréguliers, trop longs (comme c'est souvent le cas en cas de déséquilibre hormonal lié au SOPK ou suite à l'arrêt de la pilule) ou en cas de cycles trop courts liés à un taux d'œstrogènes trop bas. Consomme de la maca peut aider à booster la fertilité naturellement, car il semblerait que son effet régulateur hormonal aide à favoriser une ovulation saine et régulière (ovulation de bonne qualité = la base pour tomber enceinte). La maca favorise-t-elle seulement la fertilité des femmes ? Non ! Elle est tout aussi bénéfique pour la fertilité masculine, car elle boosterait la qualité et la mobilité des spermatozoïdes (les efforts doivent venir des deux côtés après tout #égalité).
La bonne nouvelle : LUST, notre cure dédiée au désir et à la libido, qui favorise naturellement la fertilité, qui surprise, surprise, contient de la maca, convient aussi bien aux hommes qu'aux femmes !
Si la maca est bénéfique pour apaiser les symptômes du SPM comme les sautes d’humeur, les seins douloureux, la fatigue, les troubles du sommeil… elle est au moins aussi utile dans le cadre de la ménopause et de la préménopause ! Pendant la ménopause et la péri-ménopause, la production des hormones féminines baisse peu à peu, ce qui peut causer des symptômes qui sont souvent difficiles à vivre au quotidien. La maca aide à compenser la baisse des hormones à cette phase de la vie, ce qui en fait un allié pour une transition hormonale plus apaisée.
La maca contribuerait à apaiser les symptômes associés à la ménopause comme les bouffées de chaleur, la fatigue, les difficultés de concentration, les variations d’humeur soudaines, les suées nocturnes, mais aussi les problématiques intimes comme la sécheresse vaginale, la perte de libido ou les problèmes de lubrification pendant les rapports (une vie sexuelle épanouie après 50 ans, on dit OUI !)
On en parlait plus haut : la maca est considérée comme un adaptogène, c'est-à-dire qu'elle aide le corps à s'adapter au stress à la fois physique et mental. En aidant à réguler les réponses de l'organisme face au stress (la production de cortisol surtout), la maca pourrait potentiellement réduire les effets de la fatigue et d'épuisement liés au stress.
Sa forte teneur en protéines en fait également une plante très utile pour la récupération musculaire après un effort physique. Les études concluantes sur ce sujets manquent, mais certaines personnes affirment que la maca aurait un effet stimulant sur l'endurance physique, elle permettrait de réduire la sensation de fatigue pendant un effort. Au vu des nombreux bienfaits de la maca sur la récupération musculaire et pour lutter contre la fatigue, on comprend mieux pourquoi la maca est tellement appréciée par les sportifs !
Après tout ce qu’on vient de lister, on pourrait penser que les bienfaits de la maca s’arrêtent à l’aspect humeur/libido/fertilité (et c’est déjà plus que bien !). Et pourtant, non, la maca ne cessera décidément jamais de nous surprendre puisque ses vertus s'étendent également à d’autres aspects du bien-être, comme la santé et l’équilibre de la peau (#cestjamaistrop).
Les antioxydants présents dans la maca peuvent aider à protéger la peau contre les radicaux libres et à ralentir le vieillissement, tandis que les acides aminés aident à hydrater et à nourrir la peau de l’intérieur, ce qui est particulièrement bénéfique pour les peaux matures et aide à contrebalancer le fait que la peau a tendance à devenir plus fine et plus fragile avec l’âge (et les variations hormonales dûes à la ménopause).
La maca peut être consommée quotidiennement, sous forme de poudre, de capsules ou de pilules. Son léger goût de noisette caramélisée fait que l'on peut facilement l'intégrer à des smoothies, des boissons chaudes, des céréales, yaourts...
La maca est également présente dans certains produits de notre gamme, comme LUST, notre cure dédiée au désir et à la libido, très appréciée pour ses vertus apaisantes et anti-stress.
Le MOCHA RITUAL, notre boisson adaptogène chicorée-cacao contient également de la maca, elle complète parfaitement le reishi, un champignon réputé pour ses propriétés énergisantes et anti-stress. Alternative saine au café, le MOCHA RITUAL est LA boisson de choix idéale pour énergiser naturellement le corps et l'esprit et aider l'organisme à faire face au stress du quotidien.
Si vous envisagez de consommer de la maca, assurez-vous de consulter votre médecin en amont.
La chute de cheveux chez la femme a souvent une cause hormonale. Arrêt-pilule, hyperandrogénie, SOPK, ménopause, post-partum... ce sont sans doute les causes les plus fréquentes de la perte de cheveux, mais pas la seule ! Comme nos corps sont complexes, un déséquilibre hormonal n'est pas toujours le seul élément qui puisse expliquer une chute de cheveux soudaine ou inhabituelle : des carences nutritives, la carence en fer particulièrement, peuvent aussi souvent être en cause.
Quand on pense carence en fer, on pense en premier à un état de faiblesse physique et mentale, à une grande fatigue. Une carence en fer est effectivement fréquemment associée aux symptômes suivants : pâleur, fatigue, maux de tête, sensation de faiblesse musculaire...
...Mais les conséquences d'une carence en fer peuvent être mutliples, puisqu'une carence en fer peut avoir des conséquences autant sur le plan physique, que neurologique, que capillaire. Ça vous semble incohérent ? On vous explique.
Avant de comprendre pourquoi une carence en fer peut être la cause d'une chute de cheveux, il est important de comprendre à quoi le fer sert dans notre organisme.
Le fer, c'est un peu un messager interne qui assure la distribution d'oxygène dans l’organisme. C’est lui qui aide les globules rouges à fixer l’oxygène, afin de pouvoir le transporter dans le corps et le distribuer partout où il est nécessaire (ce qui est effectivement partout : de la racine des cheveux à la plante des pieds). Grâce à lui, nos cellules sont nourries et peuvent remplir leurs fonctions quotidiennes : les muscles nous aident à nous mouvoir, notre cerveau formule des pensées, notre système digestif digère les aliments pour nous donner de l’énergie.
Mais le fer ne s'arrête pas là. Il joue un rôle clé dans la formation même des globules rouges. Quand le fer manque, la production des globules rouges est ralentie et, si les globules rouges viennent à manquer, on peut se retrouver en situation d'anémie.
Le fer agit aussi comme "maître d'orchestre" de notre système immunitaire. Il favorise la croissance et l'activité des défenseurs de notre organisme – les lymphocytes et les macrophages. Ensemble, ces cellules protègent notre corps contre les agressions des intrus qui peuvent compromettre notre santé, les virus et les bactéries.
Mais ce n'est pas tout ! Le fer est également très utile sur le plan cognitif et neurologique. Il soutient le développement et le fonctionnement de notre cerveau : en contribuant à la fabrication de neurotransmetteurs — les messagers chimiques qui guident les signaux entre nos cellules nerveuses — il nous est littéralement indispensable pour pouvoir penser et réfléchir.
OK, mais alors, quid du fer et des cheveux ? On y vient : le fer dans notre organisme joue un rôle fondamental dans la santé de nos cheveux et une carence en fer est fréquemment associée à une chute de cheveux. Le fer assure non seulement la division cellulaire essentielle à la croissance des cheveux, mais également la production des protéines qui les composent.
Cette double fonction du fer s'explique par son rôle indispensable dans la nutrition cellulaire et sa fonction dans la formation de l'hémoglobine, la molécule qui transporte l'oxygène vers toutes les cellules, y compris le cuir chevelu et les follicules responsables de la croissance capillaire.
Pour résumer (et simplifier) : le fer aide le corps à produire les cellules qui constituent nos cheveux et à transporter l'oxygène indispensable à la santé du cuir chevelu et à la croissance des cheveux et quand il manque, cela peut se répercuter sur l'aspect et la santé des cheveux.
Une carence en fer peut impacter les cheveux de la façon suivante :
Les femmes sont davantage exposées au risque d’une carence en fer, car les saignements pendant les règles peuvent représenter un risque accru de carence en fer et d’anémie. Même si le sang perdu pendant les menstruations ne fait pas diminuer la quantité totale de sang qui circule dans système vasculaire, la perte de sang pendant les règles peut—surtout en cas de règles abondantes ou très abondantes—faire baisser le taux de fer et de globules rouges dans l’organisme et affaiblir le corps.
Le fer joue un rôle vital dans la croissance du fœtus et le développement du placenta pendant la grossesse. Le fer est essentiel à la croissance et à la santé du nouveau-né (la formation des globules rouges, le transport de l’oxygène, le soutient des défenses immunitaires, comme expliqué plus haut, tout ça s’applique aussi—même beaucoup plus—aux nouveaux-nés). Pendant la grossesse et l'allaitement, le fer nécessaire à la croissance du fœtus et du nourrisson est produit par la femme enceinte ou qui allaite, parfois au détriment de ses propres réserves de fer, ce qui peut parfois entraîner des carences.
Certains troubles de l’appareil digestif peuvent entraver la digestion et avoir pour conséquence une malabsorption de certains nutriments, vitamines et minéraux, dont le fer fait évidemment partie. La malabsorption est une cause courante d'une carence en fer chez les personnes souffrant d'une maladie digestive comme la maladie de Crohn, le syndrome de l’intestin irritable, ou certaines intolérances alimentaires, comme la maladie cœliaque ou l’intolérance au lactose. Cette malabsorption peut également être augmentée par les troubles digestifs liés aux règles
Certains régimes alimentaires qui bannissent certains aliments, comme le régime végan ou végétarien peuvent effectivement être un facteur de carence en fer. Ceci dit, même si le cliché des végétariens anémiés a parfois la vie dure, il n'y a pas que le steak dans la vie (et heureusement !) et ne pas consommer de produits animaux n'entraîne pas automatiquement de carence en fer (et heureusement !), car il existe de nombreux aliments naturellement riches en fer, y compris parmi les végétaux. Les légumineuses comme les pois chiches ou les haricots font d'ailleurs partie des aliments les plus riches en fer, ils dépassent même la viande ! Végétarien.ne, vegan.e ou omnivore, tout le monde peut en réalité être concerné par une carence en fer !
La liste des causes de carence en fer ne serait pas complète sans le stress. Le stress est bien connu pour impacter négativement de nombreux aspects de la santé et du bien-être : équilibre hormonal, sommeil, acné, digestion, concentration... et la santé des cheveux et l'absorption du fer par l'organisme ne font pas exception.
Un stress chronique altère la quantité d'acide gastrique dans notre système digestif, ce qui peut causer une moins bonne absorption des nutriments issus de l'alimentation par notre organisme. Or, certains de ces nutriments sont essentiels à une bonne assimilation des minéraux, dont le fer, par le corps, ce qui peut conduire à des carences (en fer, mais pas que, le magnésium est souvent également fortement impacté par le stress).
La bonne nouvelle, c’est que la chute de cheveux et les cheveux fragilisés par une carence en fer sont, dans la plupart des cas, des symptômes réversibles ! Une fois l’équilibre rétabli, quand le corps a refait un “stock” suffisant de fer, les follicules pileux sont de nouveau alimentés en oxygène, de nouvelles cellules capillaires sont produites et la croissance des cheveux peut reprendre son cours normal.
Pour éviter le risque de carence en fer, le réflexe n°1 c’est bien sûr d’en consommer ! L’idéal est de veiller à inclure quotidiennement des sources de fer naturelles à son alimentation.
Les femmes étant particulièrement à risque de développer des carences en fer, il peut être bénéfique de consommer davantage de ces aliments pendant la phase prémenstruelle et pendant les règles, ainsi que pendant la grossesse et l'allaitement, afin d'aider à prévenir une carence.
Les meilleures sources de fer dans l'alimentation sont :
Il n'est pas toujours simple de donner à son corps tous les nutriments dont il a besoin, surtout si les signes d'une carence en fer sont déjà là. Pour cette raison, nous avons choisi d'ajouter du fer à GROW, notre cure dédiée à la force et la croissance des cheveux.
En plus du fer, GROW contient des plantes et ingrédients aux multiples bienfaits pour des cheveux sains et fortifiés, pour favoriser la pousse ou pour lutter contre la chute de cheveux d'origine hormonale.
Les bienfaits de GROW :
Pour aider le corps à mieux absorber le fer, il est recommandé de consommer des aliments riches en fer avec des sources de vitamine C, car la vitamine C aide à “fixer” le fer. De nombreux fruits et légumes (frais) sont naturellement riches en vitamine C, comme les agrumes, les fruits rouges, mais aussi les légumes verts, qui sont à la fois source de fer ET de vitamine C, une bonne raison de plus de ne pas les négliger (#doublebonus).
Notre conseil : prenez votre cure GROW accompagnée d'un jus d'orange frais, afin de maximiser ses bienfaits et aider le corps à assimiler le fer contenu dans la cure.
À l'inverse de la vitamine C, certains aliments et boissons peuvent entraver l'assimilation du fer. C'est le cas de la caféine et de la théine, qui bloquent l’assimilation du fer par l’organisme, ainsi que les aliments riches en calcium. Pour cette raison, nous recommandons d'attendre au moins 2h entre la consommation de café, thé, sodas et boissons caféinées et de produits laitiers et la prise de votre cure GROW.
Notre conseil : plutôt qu'un café, optez pour une tasse de MOCHA RITUAL avec du lait végétal, avant ou après avoir pris votre cure GROW. Le MOCHA RITUAL est non seulement sans caféine, mais il contient de la chicorée, qui est particulièrement indiquée pour prévenir les carences en fer.
Citer des aliments riches en fer, c'est bien, vous donner une recette naturellement source de fer et qui fait du bien, c'est mieux ! On vous partage donc une recette de houmous ultra simple et riche en bienfaits, qui deviendra, on l'espère, un incontournable allié de votre équilibre et de votre bien-être !
Manger du houmous pour avoir des beaux cheveux, on n'y penserait pas forcément, mais les bienfaits sont là ! Le houmous se compose de quelques ingrédients incontournables d’une alimentation saine et équilibrée : les pois chiches, le tahini, le jus de citron et l'huile d'olive, qui peuvent contribuer à atténuer les manifestations d'une carence en fer (et faire du bien aux hormones au passage).
100g de pois chiches, c'est 34% de l'apport journalier recommandé de fer. Les pois chiches sont également une source précieuse de folate, qui aide à la production de globules rouges.
Le houmous contient également du tahini, de la purée de sésame. Le tahini est une excellente source de cuivre, dont l’un des principaux rôles est d'aider les globules rouges à assimiler le fer. Le cuivre est également un antioxydant et aide à maintenir la structure des vaisseaux sanguins.
Le jus de citron est évidemment essentiel pour équilibrer le goût du houmous et lui donner une note fraiche et acidulée, mais il contient également de la vitamine C, qui, on le rappelle, aide à l’assimilation du fer par l’organisme.
Si la libido chez la femme est déjà un sujet tabou, la perte ou la baisse de la libido féminine l'est encore plus. Entre tabous, injonctions diverses (et contradictoires, sinon c’est pas drôle), gêne, voire honte (injustifiée) à en parler, la libido, encore plus que la sexualité, est un sujet bien trop peu abordé.
Une vieille idée reçue est que les femmes ressentiraient simplement moins de désir et seraient moins intéressées par le plaisir et la sexualité. Cette idée est reçue est deux choses : elle est hyper sexiste et surtout, elle est fausse !
D’après l’étude Circles que nous avons réalisée en 2019*, près de 50% des femmes ne sont pas satisfaites de leur vie sexuelle. Et l’une des premières raisons citées par les femmes que nous avons interrogées, c’est la baisse ou la perte de libido.
*étude réalisée sur près de 2000 femmes en France et à travers l’Europe
Contrairement à la libido des hommes, qui est plutôt stable (en réalité, elle varie plutôt sur un rythme de 24h), la libido des femmes est changeante, car directement connectée au cycle menstruel. En fonction de la phase du cycle dans laquelle on se trouve, la libido de la femme peut varier : elle est généralement montante pendant la phase folliculaire et atteint son maximum au moment de l’ovulation, puis baisse quand vient la phase lutéale, avant les règles. Il est aussi très fréquent d’avoir un deuxième pic de libido juste avant ou au début des règles (et ça tombe bien, parce qu’avoir des orgasmes est une manière naturelle et très efficace pour aider à soulager les douleurs liées aux règles), même si tabous oblige, tout le monde n’est pas forcément à l’aise avec le sexe pendant les règles.
Mais si la libido des femmes est en soi variable, il peut arriver qu’elle fasse durablement défaut, ce qui peut devenir gênant. Une libido en berne durablement, pendant plusieurs semaines, plusieurs mois, voire plusieurs années, risque d'affecter le bien-être et l’équilibre psychique, ainsi que l’estime de soi. Une perte durable de la libido peut également causer des problèmes dans le couple (même s'il est bon de rappeler qu’un rapport sexuel n’est jamais “dû”, y compris dans un couple).
Si la libido des femmes est changeante et que par nature, le désir va et vient au fil du cycle, une perte de libido durable, voire une libido totalement absente peut indiquer que quelque chose ne va pas. Car même si le désir (tout comme le cycle menstruel d’ailleurs) n’est pas une nécessité absolue pour la survie du corps humain, la présence de libido chez la femme est un indicateur de bonne santé et, surtout, le signe d’un équilibre hormonal et d’un cycle menstruel sains.
Il existe plusieurs facteurs qui peuvent expliquer une perte de libido chez la femme, nous allons tenter de vous les expliquer et surtout, vous donner quelques clés pour y remédier (spoiler : et autant vous le dire tout de suite, tout n’est pas “dans la tête” ou un problème de “frigidité”).
Quand l’équilibre hormonal est perturbé, le cycle menstruel ne “fonctionne” pas comme il devrait. Cela se manifeste en premier (et surtout, de la manière la plus visible) au niveau des règles : selon le type de déséquilibre hormonal, on constate un retard de règles, le cycle peut être très long, ou très court, les règles irrégulières, très abondantes, trop faibles, voire complètement absentes. Les déséquilibres hormonaux qui impactent le plus fréquemment la libido féminine sont ceux qui vont affecter l’ovulation comme l’excès d’androgènes, le SOPK, mais aussi un taux d’œstrogènes trop faible ou la ménopause.
En premier lieu, nous vous recommandons d’identifier le type de déséquilibre hormonal dont vous pouvez souffrir, pour cela, vous pouvez faire notre diagnostic hormonal. En quelques questions simples, il vous donnera des pistes et des explications pour non seulement connaître votre profil hormonal, mais aussi en comprendre la ou les causes potentielles et vous donner des clés pour aider vos hormones à se rééquilibrer naturellement. Notre article pour décoder la couleur de vos règles peut aussi vous aider à comprendre la cause de vos symptômes menstruels et prémenstruels.
Parler de vos problématiques à un professionnel de santé : médecin traitant, sage-femme ou gynécologue peut également vous aider à déterminer la cause de vos symptômes et à trouver un traitement adéquat.
Même si les femmes s’en doutaient depuis longtemps, l'info commence seulement à être connue globalement : les contraceptions hormonales, la pilule en premier lieu, ont souvent pour conséquence d’impacter négativement la libido de la femme. (Les études sur le sujet sont malheureusement difficiles à quantifier, car les critères d’évaluation et les situations personnelles des femmes participant aux études sont très variables).
La raison est ici aussi principalement hormonale : pour garantir une contraception sûre et efficace, les contraceptions hormonales diffusent des hormones de synthèses dans l’organisme. En fonction du type de contraception : stérilet hormonal, pilule œstro-progestative, pilule progestative, implant ou patch, les hormones vont alors bloquer l’ovulation et/ou modifier la glaire cervicale pour empêcher une éventuelle grossesse. Ces hormones de synthèse vont alors remplacer les hormones naturelles et perturber le cycle menstruel (et c’est leur but). Sauf que cette perturbation du cycle peut fréquemment se traduire par une perte totale ou partielle de la libido.
Au-delà des facteurs hormonaux, c'est bien sûr le stress qui occupe la première place toutes catégories confondues des facteurs pouvant expliquer une baisse de libido chez la femme. Et à ceux qui disent que "c'est dans la tête", c'est en réalité le contraire : une étude de 2013 a constaté que le stress chronique avait en premier lieu des conséquences sur "l'excitabilité physique" (= sensations dans les organes génitaux), bien plus que sur le taux d'excitation mental. En d'autres mots : même si on a envie (ou envie d'avoir envie), le corps ne suit pas.
Le stress cause une surproduction de cortisol (aka l'hormone du stress), qui met le corps dans une forme d’état d’alarme quasi permanent. Le cortisol, qui maintient cet état d'hypervigilance en mode “actif” tant qu’il est présent a — entre autres — pour conséquence de bloquer une partie des récepteurs de plaisir dans le cerveau.
Réduire son stress, plus facile à dire qu'à faire. Nous savons à quel point il est difficile (ou, si on veut être vraiment honnêtes, impossible) d’échapper au stress, qui est partout, et particulièrement quand on est une femme. Le stress au travail, le stress à la maison, le stress dans les transports, le stress de vouloir bien faire, le stress d’avoir l’impression de ne pas faire suffisamment bien les choses, de ne pas être à la hauteur, le stress de devoir être performante, heureuse, de bien présenter, tout le temps, partout, dans toutes les circonstances et à toute heure de la journée (et de la nuit).
Tout comme il n’existe pas de facteur de stress universel, il n’existe pas une solution miracle pour remédier au stress. Nous n’allons pas vous donner une recette universelle anti-stress, car le stress, c’est aussi une question personnelle. Notre conseil, c'est de trouver votre recette anti-stress à vous, car seule une méthode ou une activité qui vous convient sera celle que vous aurez envie de pratiquer. Pour la trouver, le mieux c'est de chercher et de tester des choses différentes : les balades en forêt, la méditation guidée, les cours de kickboxing pour transpirer en tapant dans quelque chose pour se défouler, la poterie, les cours de fitness avec la musique à fond… à vous de voir ce qui vous aide le plus à vous débarrasser du stress et à produire des endorphines, aka les hormones du bonheur.
(Ceci dit, même s’il n’existe pas de solution universelle, l'activité physique est souvent une bonne piste. Plusieurs études ont démontré les bienfaits d'une pratique sportive régulière pour diminuer le niveau de stress et d’anxiété, et sur le SPM, mais il s’agit de trouver celle qui vous donnera envie de la pratiquer de façon régulière..
L'effet excitant de la caféine est un des facteurs pouvant contribuer au stress et à l'anxiété. Si vous cherchez à diminuer votre consommation de café, nous vous recommandons le MOCHA RITUAL. Il a été pensé avec des ingrédients reconnus pour leurs bienfaits en cas de stress, comme le reishi, un champignon adaptogène réputé pour ses bienfaits pour lutter contre le stress et l’anxiété, ainsi que du maca, un adaptogène stimulant, à qui on attribue également des propriétés aphrodisiaques et stimulantes de la fertilité.
Si vous êtes en couple, il y a de fortes chances pour que votre libido (et son absence ou ses variations) impactent votre vie, mais également celle de votre partenaire et donc de votre couple. Mais la réciproque est vraie également : si la libido de chacun a des répercussions sur la vie de l’autre, ce que le ou la partenaire fait (ou ne fait pas) peut être tout aussi impactant sur la libido de sa partenaire. Entre les tâches ménagères, le stress au travail, le linge qui n’a pas été plié, les courses à faire, les enfants ou une hygiène corporelle qui a été un peu délaissée… Il n’est pas toujours facile d’entretenir la flamme de la passion et le désir sexuel tous les jours (et c'est bien normal !).
Sans grande surprise, les femmes sont disproportionnellement plus concernées par une baisse de la libido après quelques années de vie commune. D’après une étude britannique publiée en 2017, elles seraient même plus de deux fois plus nombreuses (34% contre 15%) à constater une baisse de leur désir, qui s’explique notamment par le fait qu’en couple hétérosexuel, les femmes sont majoritairement responsables de l’organisation du foyer et des tâches ménagères.
La charge mentale, le fait d’avoir l’impression de devoir penser à tout et de devoir tout organiser prend énormément de place dans la vie des femmes et, souvent, ce stress impacte d’autres domaines, et la libido féminine en fait les frais.
Mais il n’y a pas que des études sur la baisse de la libido, il y en a aussi sur les solutions : cette étude australienne de 2022, publiée dans le Journal Of Sex Research, a constaté que les femmes dont les partenaires participaient davantage aux tâches ménagères avaient une libido plus active et étaient globalement plus satisfaites de leur vie sexuelle. Au final, l’équation est plutôt simple : tâches ménagères réparties de façon équitable = moins de charge mentale unilatérale = plus de place pour le plaisir et la sensualité. CQFD.
La communication ! Le manque de libido et la baisse de la fréquence des rapports sexuels dans un couple est souvent plus problématique quand on n'ose pas en parler. Aborder le sujet calmement, dans un lieu qui s'y prête et dans un moment apaisé pour en parler et formuler vos besoins et vos envies, mais aussi écouter l'autre, afin de trouver ensemble des solutions qui vous conviennent à tous les deux.
Pous vous aider dans cette discussion, le travail de la psychothérapeute belge Esther Perel, qui a consacré la majorité des son travail au fonctionnement du désir dans le couplepeut vous aider. Dans cet épisode du Podcast "Les Artichauts", elle parle du désir, explique ses mécanismes, ce dont il a besoin pour vivre et ce qui l’éteint à presque tous les coups.
Mais il ne faudrait pas non plus oublier qu'il n’y a pas que les rapports sexuels pour une vie de couple et une intimité heureuses ! Les câlins, surtout le peau à peau, sont un moyen naturel de stimuler la production d’ocytocine, une hormone associée au bonheur, que le corps produit notamment pendant… un orgasme !
Les variations hormonales de la ménopause et de la préménopause affectent le quotidien, mais également la libido des femmes qui entrent dans cette nouvelle phase de vie. Pendant la ménopause et la préménopause, les œstrogènes sont en chute libre, l’ovulation devient irrégulière et la libido féminine peut fondre comme neige au soleil. Le taux d’œstrogènes en baisse a également d’autres conséquences sur le plan physique : peau sèche, cheveux secs et cassants, mais aussi un assèchement des muqueuses, dont les muqueuses de la zone intime. La sécheresse vaginale, en plus d’être gênante au quotidien, peut rendre les rapports sexuels plus difficiles, voire même douloureux (et augmenter le risque d’irritations intimes et de mycoses, ce qui peut être une cause psychologique supplémentaire de la baisse de la libido).
La prise de poids qui accompagne également souvent le début de la ménopause est un autre facteur pouvant impacter la libido féminine. Même si une prise de poids n’est pas quelque chose de problématique en soi, le fait de voir son corps changer peut donner une impression de perte de contrôle, et parfois causer un certain mal-être et une baisse de moral (bien que ce ne soit pas justifié : il n’est pas nécessaire de faire une taille 36-38 pour être belle et désirable et pour vivre une sexualité épanouie !). Être bien dans son corps et se sentir désirable fait partie des piliers d’une libido féminine saine. Quand l’estime de soi baisse, la libido en pâtit également.
Le plaisir solitaire est un formidable moyen de se (re)connecter à son désir et son plaisir, et ce, à tous les âges de la vie. Lovetoys, podcasts audioérotiques, littérature… il existe aujourd’hui de nombreuses façons de (ré)apprivoiser son désir et de (re)découvrir le plaisir !
Le Trio Ménopause Sereine, c’est notre solution complète pour toutes les problématiques liées à l’arrivée de la ménopause :
Il existe d'autres facteurs qui peuvent causer une baisse de la libido féminine : la dépression, les problèmes de thyroïde ou encore certaines maladies comme le cancer, les défaillances cardiaques, rénales ou hépatiques.
Certains médicaments ou traitements médicaux peuvent également inhiber la libido. C’est notamment le cas de certains anti-dépresseurs, qui peuvent fortement diminuer la libido des femmes (et des hommes). Certains médicaments peuvent aussi atténuer les sensations dans les organes génitaux, ce qui peut rendre l’orgasme difficile, voire impossible.
Si vous suivez prenez un traitement médicamenteux et que vous ressentez une perte ou une baisse de libido et que celle-ci vous pose problème, parlez-en à votre médecin, qui saura vous aiguillez et vous aider à trouver une solution adaptée.
Le SPM, on en entend de plus en plus parler, mais au fait, c'est quoi exactement le syndrome prémenstruel ?
Ok d'accord, mais concrètement ?
Concrètement, ça veut dire que les symptômes prémenstruels, soit ceux qui arrivent peu avant les règles (mais parfois beaucoup plus tôt que ça, on en reparlera un peu plus tard), et qui nous pourrissent la vie sont bien réels et non pas seulement dans la tête.
En réalité le syndrome prémenstruel, ça peut ressembler à tout. On regroupe les symptômes en 2 catégories principales : les manifestations physiques/physiologiques et les symptômes d'ordre psychique/émotionnel.
Ces symptômes du SPM ne sont que la pointe de l’iceberg, puisqu’en réalité on compterait plus de 150 symptômes (jusqu’à plus de 200 d’après certains) du syndrome prémenstruel !
Les symptômes du SPM sont nombreux et parfois difficiles à identifier précisément, certaines personnes vont par exemple avoir des gingivites chroniques ou des irritations vaginales/vulvaires récurrentes, des symptômes qu’on n’associe pas forcément au syndrome prémenstruel, alors qu’il existe bien un lien de causalité entre les deux ! Surtout, vu de l’intérieur, on ne fait pas forcément le lien entre avoir des idées noires et l’arrivée imminente de nos règles (ou alors quelques jours plus tard, quand les règles arrivent et qu'on a un moment d'Eurêka soudain).
Quand on se dispute avec son copain, qu’on a l’impression d’être nulle, de ne pas être productive au travail… ces émotions sont bien réelles (de la même manière que la vaisselle qui n’a pas été rangée et qui a déclenché une dispute énorme est bien réelle, et la frustration qui s’en suit est bien réelle) et nous n’avons pas été habituées à identifier notre comportement comme pouvant aussi être la conséquence d’un déséquilibre hormonal bien réel.
La différence est parfois subtile, mais elle existe. En gros, le mot syndrome désigne un ensemble de symptômes dont la causalité avec la condition n’est pas forcément établie (c’est-à-dire qu’on sait que ce symptôme est lié au syndrome prémenstruel, mais on ne comprend pas très bien la cause exacte). On appelle souvent syndrome quelque chose qu'on ne comprend pas très bien et dont la cause n'est pas précisément définie, ce qui est bien le cas du syndrome prémenstruel.
À la différence, une maladie est quelque chose de plus "concret" dans le sens où le rapport de cause à effet est clair et que la liste des symptômes possibles est référencée.
Malheureusement, le syndrome prémenstruel est, encore aujourd’hui, trop souvent ignoré par le corps médical. Nombreuses sont les femmes qui, ayant tenté d’aborder le sujet avec leur médecin/gynécologues, se sont vues répondre par un haussement d’épaules qui semblait dire “qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse ?”.
Mis à part la pilule contraceptive, (ou dans certains cas, les antidépresseurs) il n’existe pas vraiment de prise en charge médicale du syndrome prémenstruel, ce qui s’explique notamment par le fait que c’est une condition méconnue, car très peu étudiée. Même si le terme SPM (ou plutôt PMS, pour premenstrual syndrome) existe dans la littérature médicale américaine depuis les années 1930, il fallut attendre les années 1980 pour que ce terme se popularise et que le syndrome prémenstruel commence quelque peu à se faire connaître. Entre-temps, on a continué à traiter les femmes d’hystériques et de les culpabiliser, leur rejetant la faute, comme si elles étaient incapables de maîtriser leurs émotions.
Dire que l’Histoire médicale n’a jamais été particulièrement clémente avec la condition des femmes serait un euphémisme. On sait aujourd’hui que les femmes ont plus de chances de mourir ou d’être blessées grave (un risque supérieur de 73%) dans un accident de la route parce que les dispositifs de sécurité (airbags, ceintures de sécurité) ont été testés avec des mannequins de simulation d'accident masculins (taille et poids d’un homme “moyen”, soit environ 1m80 et 80kg, bien loin de la corpulence moyenne des femmes).
La prise en charge des femmes pour une crise cardiaque est aussi beaucoup plus tardive, pour la simple et bonne raison que les symptômes d’un infarctus ne sont pas les mêmes chez les hommes et chez les femmes, mais les médecins ne sont formés qu’à identifier les symptômes “standards” (c’est-à-dire masculins). La fédération française de cardiologie en a d’ailleurs fait une vidéo poignante.
Heureusement, les choses bougent (il était temps !) et les gynécologues commencent à être plus à l’écoute sur le sujet. Le syndrome prémenstruel est même listé sur la page internet du CNGOF (Collège National des gynécologues et obstétriciens français).
Reste le problème du traitement de ce syndrome. Une solution souvent proposée est la prise d’un contraceptif oral (pilule contraceptive) ou d’un traitement hormonal, par exemple à base de progestérone. Ces traitements peuvent certes être efficaces dans la prise en charge des symptômes menstruels et prémenstruels, mais ce sont des “solutions pansement”, c’est-à-dire qu’il ne font que dissimuler les symptômes et non traiter la cause même du problème, si on l’arrête, les symptômes reviennent souvent au galop.
On sait maintenant que le syndrome prémenstruel est directement lié aux hormones, plus précisément à un déséquilibre hormonal. Le cycle menstruel est divisé en plusieurs phases et les deux hormones du cycle menstruel ont des fonctions distinctes :
Les œstrogènes, les hormones du début du cycle menstruel, sont surtout responsables du développement de la muqueuse utérine, préparent l'ovulation et créent les conditions les plus propices à une fécondation éventuelle. Les œstrogènes ont aussi tout un tas d’autres fonctions : elles jouent un rôle par exemple sur l’immunité, notre niveau d’énergie, l’humeur, notre envie de socialiser et même l’aspect de notre peau et de nos cheveux (le good hair day, la mine resplendissante, c’est elles !).
La progestérone, c’est l’hormone qui prend le relais une fois que les œstrogènes ont fini leur boulot : la muqueuse utérine est bien en place, l’ovulation a lieu, on n’a plus vraiment besoin d’elles. La progestérone maintient la muqueuse utérine pour laisser le temps à un ovule fécondé de s’installer. S’il n’y a pas de fécondation, le taux de progestérone baisse progressivement, ce qui déclenche les règles.
Mais la progestérone a aussi d’autres effets : sur l’appétit (on a plus faim), le sommeil (on dort plus), le niveau d’énergie (on est plus fatiguée), l’humeur (mood Netflix et canapé plutôt que sortie tous les soirs).
Le déséquilibre hormonal le plus fréquent, c’est l’excès d’œstrogènes (il touche plus de 80% des femmes). Dans ce cas, l’équilibre entre œstrogènes et progestérone est perturbé : il y a trop d’œstrogènes et la progestérone n’arrive pas à compenser suffisamment. Le résultat : humeur dépressive, troubles du sommeil, digestion dérangée, fringales, sautes d’humeur. Plus le déséquilibre hormonal est important, plus ces symptômes sont intenses.
L’hygiène de vie, le sommeil, le stress, l’alimentation peuvent affecter les hormones et empirer les symptômes du syndrome prémenstruel. Certains aliments par exemple comme les aliments riches en sucre, les aliments industriels, le café ou encore l’alcool peuvent causer de l’inflammation et empirer non seulement les douleurs pendant les menstruations, mais aussi les symptômes prémenstruels comme les sautes d’humeur, les ballonnements, la dépression...
Heureusement, il existe des solutions naturelles au syndrome prémenstruel ! En premier lieu, il est important d’éviter tout ce qui peut aggraver l’inflammation. Nos conseils de survie pour combattre les menstruations douloureuses, mais aussi l’acné et bien sûr le SPM, sont les suivants :
Café, alcool, sodas, ils sont à éviter pendant au moins une semaine avant les règles (et à consommer avec modération le reste du temps). On peut les remplacer par des alternatives plus saines comme le golden milk, une boisson ancestrale à base de curcuma, connue pour ses bienfaits sur les hormones, la chicorée, le matcha, de l’eau infusée à la menthe ou au romarin…
Il y a des aliments qui empirent les symptômes, mais il y en a aussi qui font tout le contraire et aident à soulager naturellement certains symptômes ! Les meilleurs aliments pour le SPM sont : les légumes verts, les fruits rouges, les “bonnes graisses” (saumon, huile d’olive, huile de lin, oléagineux…), les épices comme le curcuma, la cannelle… On peut essayer d’en inclure un peu à chaque repas pour donner un coup de pouce à ses hormones et son corps tout au long de la journée.
Le sucre c’est un peu (beaucoup) le pire ennemi des hormones, pour le SPM et les douleurs, mais aussi et surtout en cas d'acné. Il cause de l’inflammation et surtout, il fait entrer dans un cercle vicieux : plus on en mange, plus on en a envie : douleurs de règles et SPM garantis !
Le conseil Circles :
La première chose : manger moins sucré ! Essayer d'utiliser moins de sucrant, même naturel, et sinon, remplacer le sucre par du miel ou du sirop de riz, d'agave ou de dattes quand c’est possible, éviter de grignoter des sucreries industrielles. En cas de fringale, on conseille de prendre un snack complet pour vraiment se rassasier, comme du beurre de cacahuète avec une pomme ou une banane. Le bonus : le beurre de cacahuètes et les bananes contiennent du tryptophane, un enzyme nécessaire à la production d’endorphine (qu’on appelle aussi l’hormone du bonheur).
Pour faire simple : manger du beurre de cacahuète et des bananes rend heureux, une bonne raison de ne pas se priver !
Souvent, on ne se rend pas compte qu’on est épuisée avant qu’il ne soit trop tard. État de stress permanent, sommeil insuffisant, on essaie d’en faire trop, tout le temps. Mais pendant les règles et pendant les jours qui les précèdent, notre corps est plus sensible. C’est normal d’avoir besoin de plus de sommeil et d’être un peu plus réservée, fatiguée, pas vraiment d’humeur sociable. S’écouter permet de poser des limites et de prendre soin de soi en amont, soit avant que les vrais dégâts ne commencent.
Si tu sens que le travail t’épuise ou que ton humeur est en dents de scie, essaie d’en prendre conscience et change toi les idées : va te promener, fais une petite méditation, appelle une amie, fais un exercice de respiration… Souvent, 5 à 10 minutes suffisent pour se recentrer et prendre du recul.
Si tu veux plus de conseils de ce genre et des idées concrètes d’exercice, télécharge notre ebook gratuit La méthode 7 jours, notre guide simple et efficace pour détoxifier tes hormones naturellement, te reconnecter à ton cycle et comprendre comment réduire ton SPM en toute simplicité.
Certaines plantes permettent non seulement de combattre les symptômes du syndrome prémenstruel, mais aussi d’équilibrer les hormones de manière naturelle pour éviter que le SPM ne vienne nous gâcher la vie une fois par mois.
C’est ce que fait la cure BALANCE, notre cure anti-SPM qui aide à réguler naturellement les hormones et aide à retrouver un cycle serein et combattre les symptômes physiques et psychiques du syndrome prémenstruel.
Les bénéfices prouvés des ingrédients de BALANCE sont :
🌺 Le gattilier contribue à l'équilibre hormonal féminin pendant le cycle menstruel et aide à maintenir un bon confort avant et pendant les règles et à soulager les symptômes de la ménopause.
💎 Le magnésium contribue à des fonctions psychologiques normales et à réduire la fatigue.
🌺 La rhodiole aide l'organisme à s'adapter au stress émotionnel.
🌱 Le ginkgo biloba favorise un bon équilibre mental et nerveux.
Les règles douloureuses sont (trop) bien connues de nombreuses femmes. Quand on souffre de dysménorrhée, il est difficile d’en faire abstraction et de vivre son quotidien normalement. On a toutes une pote ou une cousine qui doit poser un jour de congé au début de son cycle (et ce n’est PAS normal). Loin d’être tabou, c’est injuste de ne pas pouvoir profiter de chaque moment, même pendant ses règles.
Difficile quand on ne veut pas (ou qu’on ne peut pas) prendre de médicaments.
Même si les anti-douleurs et les anti-inflammatoires sont une solution qui soulage les règles douloureuses de manière efficace (et on les remercie de nous avoir déjà sauvé la vie), ce n’est pas la seule solution. Surtout, les anti-douleurs et anti-inflammatoires ne sont qu’une solution temporaire aux règles douloureuses, puisqu’ils ne traitent pas du tout la cause de la douleur et surtout, leur usage répété peut être mauvais pour la santé : l’ibuprofène peut endommager les muqueuses digestives, et, utilisé en excès, le paracétamol détruit le foie(comme quoi, il n’y a pas que les antibiotiques qui ne devraient pas être automatiques…)
Pourtant, il existe bien des solutions naturelles et ancestrales pour soulager les règles douloureuses, on vous en présente quelques unes dans cet article.
Certaines femmes ont des douleurs pendant leurs règles, mais aussi avant, ça fait partie du syndrome prémenstruel (le fameux SPM). Et, tout comme les règles douloureuses, nous ne sommes pas toutes égales face à ça (malheureusement). Pendant cette période qui précède les règles, on peut souffrir de maux de tête, d’acné... ou de rien du tout ! Les symptômes de règles sont variés et toutes les femmes vivent différemment leurs cycles. Puis, viennent les règles, et là aussi son lot de bonnes (ou mauvaises) surprises. Bien que certaines d’entre nous ne ressentent que de légères douleurs (la chance), d’autres se retrouvent coincées au lit. Impossible pour elles de vivre normalement durant cette période de leur cycle (et encore une fois, ce n’est pas normal !).
Pendant les règles, il n’est pas rare de souffrir de contractions dans le bas du ventre. Ces dernières sont causées par une trop grande concentration de ce qu’on appelle prostaglandine (#motcomptetriple au Scrabble). En gros, c’est une hormone qui est produite pour l'utérus se contracte (et ça fait mal). Ça permet d’éliminer le tissu endométrial, aka ce qui tapisse les parois de l'utérus. Ces "débris" sont évacués et passent par le vagin avant de quitter le corps : ce sont les règles.
En plus de ces dysménorrhées (c’est le nom scientifique des crampes utérines, aka les douleurs de règles), il n’est pas rare de souffrir aussi de douleurs au niveau du dos, des lombaires, des jambes ou des cuisses. Mais aussi de symptômes comme les maux de têtes, nausées, troubles digestifs en tout genre, diarrhée, ballonnements, constipation (oui, tout est possible, sinon c'est pas marrant) et de fatigue (on peut aussi vous en trouver d’autres, en tout, on recense plus de 150 symptômes divers et variés qui peuvent accompagner le syndrome prémenstruel et les règles).
L’endométriose, on en parle de plus en plus, mais ce n’est toujours pas assez. Cette maladie touche environ 10 % des femmes, elle mériterait d’être un peu plus connue. Son principal symptôme, c’est la (méga) douleur.
Tout au long du cycle, l’endomètre, qui tapisse l'utérus, s’épaissit. S’il n’y a pas fécondation, il va alors en partie être évacué, sous forme de saignements (bye bye cher endomètre, on se voit le mois prochain !).
Sauf que chez les personnes qui souffrent d'endométriose, il y a des cellules de "type endométrial" qui vont aller se poser dans d'autres endroits du corps. Ces cellules, appelées lésions, vont réagir comme l'endomètre, le vrai. Au fur et à mesure du cycle, le tissu grandit et se développe et, quand viennent les règles, se détache pour être évacué. Sauf que, quand ce tissu n'est pas dans l'utérus, les cellules (et donc le sang) n'est pas vraiment sur la bonne route pour être évacué normalement. Les cellules peuvent aller se balader un peu partout dans le corps (sauf là où il faut donc), et c'est la réaction inflammatoire face à cette anomalie qui va notamment être responsable des très fortes douleurs qui surviennent chez les personnes touchées par l'endométriose. Ce n’est clairement pas leur place, voilà pourquoi ça peut causer d’autres troubles pour la santé, plus ou moins graves (on ne panique pas - lisez la suite).
Pas besoin de vous faire un tableau sur les raisons pour lesquelles l'endométriose est considérée comme une maladie chronique et pourquoi les douleurs qui la caractérisent ne se limitent souvent pas seulement aux règles (les douleurs hors règles sont d'ailleurs l'un des premiers critères pour poser un diagnostic).
Alors, si vous avez des douleurs trop importantes, qui ne passent pas avec du paracétamol, ou, que ces dysménorrhées durent plus de quelques jours, notamment après vos règles ou qu'elles se propagent en dehors du ventre et du dos (comme de très fortes douleurs dans les cuisses) : consultez votre médecin ou votre gynécologue. Il déterminera un diagnostic et vous aidera à trouver des solutions adaptées (et ça vous évitera de trop paniquer). Pour une consultation ou des renseignements, une sage-femme en ville ou le planning familial peuvent aussi vous renseigner !
Même si on en parle plus (et heureusement !) obtenir un diagnostic d'endométriose ressemble aujourd'hui encore au parcours du combattant, puisqu'il faut en moyenne 7 ans pour obtenir un diagnostic (spoiler : les déserts médicaux dans les zones rurales n'aident pas). C'est justement pour lutter contre ce parcours du combattant, et pour éviter que les femmes n'aient à le parcourir seules, que l'association Endofrance propose un accompagnement en région via des bénévoles, qui aident les personnes concernées à trouver des médecins, afin d'obtenir des réponses plus rapidement (parce que même quand il s'agit de santé, avoir les bons contacts peut changer la donne).
Même si les symptômes dont vous souffrez ne sont pas liés à une endométriose, une consultation peut aussi permettre de déceler d'autres causes éventuelles des douleurs : adénomyose, fibromes utérins...
Il existe des femmes qui vivent leurs règles sereinement et sans douleur. Wah, la chance ! Pourquoi ne connaissent-elles pas les dysménorrhées comme près de 80% d'entre nous ? Est-ce inné ? simple hasard ? le karma ? une bonne fée qui s'est penchée sur leur berceau à la naissance ? Quelque chose nous dit que l'inflammation n'est pas innocente dans cette histoire. Mais on sèche sur les raisons pour lesquelles certaines femmes vont subir davantage les conséquences d'une alimentation déséquilibrée, du stress ou des perturbateurs endocriniens sur leur cycle, avoir un SPM infernal et des règles ultra douloureuses, tandis que d'autres peuvent vivre une vie à base d'apéros, de soirées raclettes et ne jamais dormir plus de 5h par nuit sans en subir les répercussions (jalouses, nous ? jamais de la vie !). Sur ce point, le mystère reste entier.
Par contre, nous pouvons vous donner des solutions naturelles pour soulager vos règles douloureuses ! Car oui, il est possible de dire « bye-bye » aux médicaments qu'on croyait pourtant indispensables pour soulager les douleurs liées à notre cycle menstruel. Vous pouvez les remplacer par des remèdes naturels, et vivre, vous aussi votre cycle sereinement.
Les plantes sont au centre de la médecine traditionnelle chinoise depuis des milliers d’années, mais même en Occident, la médecine "douce" par les plantes n'a pas toujours été aussi peu considérée ! La phytothérapie, la médecine grâce aux plantes permet d’utiliser des produits naturels pour cibler et aider à apaiser les douleurs liées aux règles (et pas que celles-ci d’ailleurs).
Celle qui a beaucoup gagné en popularité ces dernières années, c'est l’aromathérapie, qui repose sur les bienfaits des huiles essentielles. Chaque huile essentielle a des vertus thérapeutiques, quelques gouttes diluées peuvent être très puissantes pour soulager les douleurs liées à votre cycle. L'aromathérapie utilise des extraits de plantes très concentrés et, même si les huiles essentielles sont souvent efficaces, il est important de les manier avec précaution, car certaines peuvent être irritantes, voire même toxiques si elles sont mal utilisées.
La phytothérapie se rapproche de l’aromathérapie, mais, cette fois-ci, on ne va pas utiliser les extraits de plantes pour faire des huiles essentielles. On va utiliser les plantes entières (ou une partie entière de la plante : feuilles, fleurs, racines, tiges...) pour en faire des tisanes, décoctions, cataplasmes et infusions (gros plus : en plus d'être souvent très bonnes, la chaleur des infusions est une partie du remède à elle toute seule).
Ces deux façons de faire usage des plantes permettent d'aider à soulager un grand nombre de symptômes : crampes, syndrome prémenstruel, règles douloureuses, abondantes ou irrégulières, et bien plus encore.
Les plantes dites emménagogues sont des plantes médicinales qui permettent de soulager la dysménorrhée, mais aussi les irrégularités du cycle. Elles peuvent aussi vous aider à avoir des règles (plus) régulières, dans le cas où vos règles arrivent trop souvent à l’improviste ou que vous avez des cycles irréguliers (le mot emménagogue a une origine latine : ce sont les plantes qui aident à "faire venir" les règles).
Voici quelques-unes de ces plantes connues pour favoriser un cycle paisible (et pour faciliter le quotidien, CQFD).
Dans la mythologie, Achille l’aurait utilisée pour soigner les guerriers blessés (impressionnant, non ?). Pour nous autres, guerrières à notre manière, cette plante agit comme un antihémorragique : elle aide à diminuer la quantité de sang perdue d'un coup (bye bye flux méga abondant) et elle est antispasmodique. Elle contribue à apaiser nos contractions utérines, et nous procure en prime un effet relaxant (on dit oui !). Il est possible de l’utiliser en infusion (coucou FLOW, notre infusion spéciale règles douloureuses), diluée dans un bain chaud, en compresses ou en application cutanée
En version externe, notre préférée toutes catégories, c'est le macérât huileux d'achillée millefeuille en massage sur le ventre pour soulager les douleurs de règles, mais aussi les symptômes du SPM comme les seins douloureux ou les crampes. Pour l’appliquer sur votre peau, sur les zones douloureuses, il suffit faire macérer l'achillée millefeuille dans de l’huile d’olive pendant 2 à 3 semaines, dans un bocal en verre fermé, en le secouant de temps en temps. La macération permet d'extraire les bienfaits de la plante, qui se retrouvent alors dans l'huile. Un petit massage de cette huile à l’odeur enivrante, et vous voilà soulagée et détendue.
Aussi appelée Pied de Lion et Herbe aux Femmes. Encore une plante au nom étrange, mais qui fait toujours son effet. Comme son nom l'indique, cette plante a de nombreux bienfaits pour le bien-être des femmes à tout âge, pendant les règles, mais aussi pendant la ménopause et la préménopause. En infusion (comme on a choisi les meilleures, l'alchémille est elle aussi présente dans l'infusion FLOW) elle aide à rétablit votre équilibre interne (yesss). Elle active aussi la production de progestérone, l’hormone féminine produite durant la seconde moitié du cycle (et qui manque souvent en cas de SPM, de SOPK ou à l'approche de la ménopause). Et comme c'est souvent quand on manque de progestérone que les ennuis commencent, elle aide à apaiser le syndrome prémenstruel, contribue à apaiser les symptômes émotionnels liés au SPM tels que l'anxiété, les sautes d'humeur ou encore les troubles du sommeil, surtout à l'approche de la ménopause. Elle fait définitivement partie du Top 5 des plantes à connaître pour aider à retrouver un cycle menstruel régulier, cibler les règles douloureuses et aider à réduire les saignements forts.
Elle a de très (très) nombreuses vertus. C’est un anti-inflammatoire, antioxydant, antispasmodique et anxiolytique (ça fait beaucoup, hein ?). On vous a dit qu’elle pouvait être utilisée pour beaucoup de choses ! Utilisée en tisane ou décoction, elle contribue à soulager les troubles menstruels, les maux de tête et l’anxiété. Elle est également excellente à boire en infusion en cas de problèmes de sommeil ou de nervosité.
Le bonus : mettez les fleurs utilisées pour préparer l'infusion de côté après les avoir filtrées. Dans un linge propre, appliqué sur les contours des yeux et les paupières, c'est un excellent soin anti-cernes et anti-yeux gonflés (au cas où l'insomnie d'avant règles vous aurait guetté malgré tout).
Avec la camomille allemande, c’est fini de subir votre cycle menstruel, vous pouvez mieux profiter de chaque instant même pendant vos règles, mais aussi avant et après !
Souvent connu pour son effet aphrodisiaque (ce qui se rapproche plus du mythe que de la réalité, malheureusement), le gingembre a lui aussi beaucoup de bienfaits pour votre santé. Il peut être utilisé sous plein de formes : en infusion, en décoction, en compresse, en boisson, ou comme épice dans un plat, tout simplement ! Ce sont, en plus, des recettes faciles à faire soi-même ! Pour celles qui souffrent d’anémie, l’infusion vous redonnera de l’énergie (yesss). La décoction au gingembre aidera à calmer vos crampes utérines (et peut être utilisée pour les maux de gorge quand vous avez un rhume - pratique aussi). Parfois plus efficaces pour certaines que votre—indétrônable—BFF : la bouillotte, les compresses de gingembre détendent les muscles de votre bas-ventre pour éviter les crampes.
Le gingembre est aussi ultra-efficace en anti-nausée, quelles que soient leur origine : règles (car oui, les nausées font aussi partie des symptômes de règles chez certaines femmes qui ont gagné le package complet), grossesse ou même gueule de bois (ça arrive aux meilleures d'entre-nous). Si vous avez un peu trop bu et qu'en plus vous avez des règles douloureuses qui vous font souffrir le martyr, c'est le gingembre qui sera votre meilleur ami (en infusion chaude ou froide, il aide à hydrater, aka la base autant pour les règles que si on a un peu trop abusé du gin-to).
En version latte, le lait d'or, boisson ayurvédique ancestrale est réputé pour soulager toute une variété de maux, notamment hormonaux : des douleurs de règles aux insomnies, de l'acné aux problèmes digestifs, en passant par le syndrome prémenstruel et les déséquilibres du cycle... Notre version "pimpée" du lait d'or, le GOLDEN RITUAL, est enrichie en maitaké, un champignon adaptogène réputé ultra-efficace pour donner un coup de pouce au système immunitaire (en plus d'être délicieux évidemment).
OK, ce n'est pas tout à fait une plante, mais le magnésium est un minéral indispensable, et souvent, il peut presque à lui tout seul soulager les crampes et les douleurs liées aux règles (ainsi que le SPM, mais on en reparlera dans un article dédié). Le magnésium est un minéral essentiel au bon fonctionnement hormonal et au bien-être pendant le cycle. Quand il est là, on ne le remarque pas forcément, mais comme tout minéral qui se respecte, c'est quand il manque qu'on commence à souffrir de son absence, et pas qu'un peu. Malheureusement, la plupart des femmes dans nos sociétés modernes sont carencées en magnésium.
Les raisons de cette carence généralisée sont multiples : appauvrissement des sols dû à l'agriculture intensive (les plantes n'arrivent plus à extraire suffisamment de nutriments des sols et les produits alimentaires sont donc de bonne qualité), alimentation industrielle et transformée, la fatigue, le stress (le stress "vide" les réserves de magnésium), les médicaments, les perturbateurs endocriniens en tout genre, la pilule contraceptive...
Avant même de faire appel à des solutions pour combattre le symptôme des règles douloureuses, il est donc important de cibler également la racine du problème : la carence en magnésium.
En premier lieu, il est recommandé de favoriser les aliments naturellement riches en magnésium, tels que : le chocolat noir et le cacao (ou le MOCHA RITUAL, naturellement source de magnésium), les légumineuses, les bananes, les oléagineux, les céréales complètes, le tofu, les légumes feuillus verts, les poissons gras...
L'alimentation seule ne suffit cependant pas toujours à "réparer" une carence en magnésium qui s'est installée, c'est pourquoi BALANCE, notre cure dédiée à l'équilibre du cycle et des hormones et au bien-être pendant le syndrome prémenstruel, contient plus de 2/3 de la dose quotidienne de magnésium recommandée.
En bref, il existe de nombreuses façons de soulager les douleurs et l'inconfort pendant les règles, et ce, sans passer par la case médicament, grâce au pouvoir des plantes.
En infusion, dans l'alimentation, sous forme de cure de compléments alimentaires, les plantes et les minéraux peuvent vous aider à vous faire du bien naturellement.
(Mais si vous choisissez la voie médicamenteuse, c'est bien sûr tout aussi ok, c'est vous qui décidez ce qui vous convient le mieux !)
Commencer une cure, c’est ouvrir la porte vers une nouvelle vie pleine de possibilités ! Vous rêvez sans doute d'une efficacité immédiate et vous avez hâte de dire bye bye à tous ces symptômes qui vous gâchent la vie tous les mois : acné, douleurs de règles, sautes d’humeur, ballonnements, tensions mammaires, désagréments intimes…
Pour vous aider à maximiser l’efficacité de nos cures, histoire de mettre toutes les chances de votre côté pour une efficacité maximale, nous avons rassemblé nos meilleurs astuces et conseils, afin de vous permettre d’avoir la meilleure cure et les meilleurs résultats possibles !
OK, c'est un peu banal, mais quitte à enfoncer des portes ouvertes, ça ne fait pas de mal de le rappeler : la première chose à faire pour mettre tous ses jetons du bon côté et pour permettre aux cures de développer leur efficacité maximale, c’est de les prendre régulièrement ! Un oubli une fois, une pause de quelques jours pour cause de week-end imprévu n’est pas dramatique et ne risque pas de compromettre l'efficacité de la cure, mais c’est à éviter si possible, ou au moins à ne pas répéter trop souvent ;)
Pour bien penser à prendre votre cure tous les jours, placez-la dans un endroit qui fait partie de votre routine matinale : à côté de la bouilloire, de votre machine à café, sur la boîte à pain, à côté de votre brosse à dents… De cette manière, vous y penserez sans y penser, prendre votre cure deviendra complètement naturel et s’intégrera naturellement à votre routine quotidienne !
Si vous avez des difficultés à avoir une routine stable, vous pouvez aussi programmer un rappel dans votre téléphone (ça nous rappelle les années pilule) ou préparer les gélules à l'avance en les plaçant dans un verre, prêtes à être prises le lendemain matin.
Pour une efficacité maximale, nous recommandons de prendre les cures de préférence le matin, avec un repas complet et avec un grand verre d’eau. Cette recommandation ne sort pas de nulle part : les lipides et les protéines sont nécessaires pour que l’organisme puisse assimiler correctement les actifs de la cure et leur permettent de mieux agir et développer leurs bienfaits.
Aussi, il ne faut pas oublier pas que manger le matin est l’un des meilleurs moyens d’équilibrer naturellement et durablement les hormones, de réguler la glycémie, l'appétit et le métabolisme tout au long de la journée. En plus d'aider à optimiser les bienfaits et l'efficacité des cures, ces facteurs impactent positivement le bien-être et la santé de manière globale.
Il n’existe pas de meilleur petit-déjeuner que le petit déjeuner salé et protéiné, c’est le moment de le (re)découvrir ! Œufs au plat, toast avocat et saumon fumé, bowl de légumes grillés au yaourt… les possibilités sont (presque) infinies, c’est le moment de tester et découvrir des nouvelles choses, vos hormones vous remercieront !
Les cures, c'est bien, mais un rééquilibrage hormonal ne saurait pas être complet sans notre ebook, La Méthode 28 Jours ! Offert avec toute commande de 2 mois ou pour l'achat d'un pack, le ebook fait partie intégrante de notre programme et vient compléter les cures, pour une meilleure efficacité. Les conseils qu’il contient vous aideront non seulement à maximiser les bienfaits et l'efficacité des différentes plantes qui composent nos cures, mais aussi (et surtout) il contient des explications simples qui vont vous aider à comprendre votre cycle. Et qui dit savoir, dit pouvoir : apprendre à connaître son cycle et ses hormones est le meilleur moyen pour identifier l’origine de ses symptômes. Appliquer les conseils du ebook vous aidera à cibler la cause racine de vos déséquilibres et d'améliorer l'efficacité des cures, mais surtout, vous donnera les clés pour des résultats durables et éviter que les déséquilibres ne reviennent.
Équilibrer ses hormones est un processus complexe. Et complexe veut malheureusement aussi dire que cela ne se fait pas du jour au lendemain (on voudrait bien, pourtant !) Il est tout à fait normal de ne pas voir l'acné, le SPM ou les douleurs de règles disparaître du jour au lendemain ! Mais rappelez-vous que ne pas voir une amélioration radicale des symptômes pendant les premières semaines ne veut pas dire qu’il ne se passe rien ! Certains actifs de nos cures ont une action de fond, c’est-à-dire qu’ils agissent “sous la surface” et qu’on ne peut pas voir d’effets avant environ 5-6 semaines d’utilisation.
On en profite également pour rappeler une deuxième chose importante : chaque parcours est unique, essayez de ne pas vous comparer aux autres ! Qu'il s'agisse d'un avis lu sur le site, d'une amie qui a testé la cure avant vous, de quelqu’un qui a partagé son expérience sur Instagram… Chaque profil, chaque vécu est différent, et si certaines voient des bienfaits au bout de quelques semaines, il peut arriver que d’autres ne constatent pas de changements avant le 3e mois de cure (et c'est tout à fait ok).
Des cures naturelles miraculeuses ? On aimerait bien, mais ce n'est pas tout à fait ça. Nous avons déjà évoqué le ebook, mais d’autres aspects du quotidien sont également à prendre en compte. Mettre toutes les chances de votre côté et maximiser les bienfaits des plantes et l'efficacité des actifs qui composent nos cures, passe aussi par vous interroger sur la cause “environnementale” de vos déséquilibres. Un déséquilibre hormonal sort rarement de nulle part et comprendre les facteurs externes est une condition sine qua non pour permettre une amélioration durable de vos symptômes, y compris une fois la cure terminée (parce qu'une cause non résolue, c'est un risque de symptômes qui reviennent au galop une fois la cure terminée, et ce serait vraiment dommage !).
Cette étape n'est pas forcément la plus facile, car elle demande de faire un effort pour se remettre un peu en question et se confronter à des choses qu'on sait peut-être déjà, mais qu'on a tendance à ignorer de façon plus ou moins consciente... Une alimentation chaotique, vivre à 100 à l'heure, sans prendre le temps de faire des pauses, de manger au calme (et assise !), un état de stress permanent, un manque de sommeil chronique, crouler sous le poids de la charge mentale, ressasser des pensées négatives sans pouvoir s’arrêter ou tout simplement une routine skincare non adaptée… Sans surprise, tous ces éléments participent au déséquilibre hormonal et sont des facteurs non négligeables pour un grand nombre de symptômes : des règles douloureuses en passant par l’acné, du SPM aux déséquilibres intimes, des troubles digestifs à la libido absente… Et ne pas les adresser peut risquer de compromettre l'efficacité des cures.
Nous savons qu’il peut être (très) difficile de tout changer du jour au lendemain, et c'est tout à fait normal ! Tout comme certains actifs des cures agissent progressivement, mettre en place des changements dans son quotidien peut se faire pas à pas, inutile d'essayer d'atteindre la perfection du premier coup (et heureusement !)
Enfin, n'oubliez pas que nous sommes là pour vous ! Si vous avez des questions, besoin d'informations ou de conseils personnalisés, n'hésitez surtout pas à nous contacter en nous envoyant un mail à contact@wearecircles.com !